Bon, ça doit etre par-là? Sûrement, pas non plus comme si elle pouvait se tromper de fermes. Elles sont jamais que séparés par ving bonnes minutes de marche. Ca fait du bien quand-même de se balader loin de la cité comme ça, en plein printemps. Toutes les emmerdes de la ville paraissent si loin, contrairement aux siens.... Enfin bon, elle a tout le temps d'y penser un autre jour. Pour l'instant, juste profiter du vent, du ciel bleus et des champs qui se font gentiment secouer par le vent. Mais pas s'éterniser non plus. Ca reste toujours techniquement une journée de travail. C'est qu'elle a quitté la forge pour une livraison plus ou moins imprévue. Elle et Gwendolyn ont reçu une commande d'un fermier, pour des fers à sabots. Seulement, le client n'est jamais venu aux nouvelles depuis quelques jours. Alors plutôt qu'attendre, Judith a décidé de livrer et régler l'affaire d'elle-même. Et puis bon, au moins elle verrra pas Gwen tirer la tronche pour la journée. Bref c'était par où...Ah voilà.
Ca y est, enfin arrivée à la ferme. C'est pas si petit que ça en vrai. Les propriétaires doivent s'occuper de pas mal d'animaux vu le coin. C'est drôle n'empêche, vu la façon dont tout est agancé, on dirait un peu les fermes du pays. Plus proche de Caldiss que du désert, mais ça c'était acté. D'ordinaire, elle et son invocatrice ont plutôt tendance à avoir des altissiens dans la clientèle. Plus elle avance, plus la matte pose son regard à droite, puis à gauche avant de revenir à droite et encore à gauche. Vient alors la maison au bout. Jud' réajuste son sac avant de frapper à la porte...Et frapper une dizaine de secondes plus tard, sans réponses. Ses yeux se tournent plusieurs fois vers les fenetres sur le côté mais tout est fermé. Hm, bon, elle va pas crier non plus. Faut croire qu'elle va devoir chercher le client d'elle-même, chouette.
Premier réflexe, c'est d'aller voir le premier bâtiment, on dirait comme une grange. Sous le toit, pas mal de foin et-
Wop, un hénissement juste derrière elle. Forcément, elle sursaute avec un très bref cri avant de se retourner. Un cheval, bah oui, forcément, t'en connais d'autres qui hénissent de même. La matte penche légèrement la tête pour rapprocher son regard de l'animal. Un grand cheval, pelage brun très clair, et visiblement pas plus effrayé que ç-oh mais-
T-tu-
Cette race lui dit quelque-chose.
Lentement, elle fait un pas vers l'animal, qui parait méfiant mais pas tant que ça? Lentement, très lentement, la blonde vient approcher sa main près du visage, un peu stressée à l'idée que le cheval ne réagisse pas aussi bien. Et puis, finalement, il se laisse faire et autorise la main à se on poser sur sa tête. Une brève carresse juste pour sentir le pelage s'il s'agit bien de...
Shagya- Avec un sourire discret qui commence à étirer ses lèvres.
Elle ne s'est pas trompée, c'est bien un cheval du pays. Elle se permet même de lui tapoter gentiment le cou, et lui se laisse faire sans pour autant arrêter de bouger. C'est que c'est des bouillants comme race de souvenir. Elle en sait quelque-chose, elle et sa m-
Encore un sursaut, elle faisait juste un pas en arrière et pouf, voilà qu'elle vient de marcher sur ce qui a l'air d'une chaussure.
P-b-o-bo-b-pe-
Des conssonnes qui sortent de sa bouche sans rien former de cohérent alors qu'elle se retourne.
Ca y est, enfin arrivée à la ferme. C'est pas si petit que ça en vrai. Les propriétaires doivent s'occuper de pas mal d'animaux vu le coin. C'est drôle n'empêche, vu la façon dont tout est agancé, on dirait un peu les fermes du pays. Plus proche de Caldiss que du désert, mais ça c'était acté. D'ordinaire, elle et son invocatrice ont plutôt tendance à avoir des altissiens dans la clientèle. Plus elle avance, plus la matte pose son regard à droite, puis à gauche avant de revenir à droite et encore à gauche. Vient alors la maison au bout. Jud' réajuste son sac avant de frapper à la porte...Et frapper une dizaine de secondes plus tard, sans réponses. Ses yeux se tournent plusieurs fois vers les fenetres sur le côté mais tout est fermé. Hm, bon, elle va pas crier non plus. Faut croire qu'elle va devoir chercher le client d'elle-même, chouette.
Premier réflexe, c'est d'aller voir le premier bâtiment, on dirait comme une grange. Sous le toit, pas mal de foin et-
Wop, un hénissement juste derrière elle. Forcément, elle sursaute avec un très bref cri avant de se retourner. Un cheval, bah oui, forcément, t'en connais d'autres qui hénissent de même. La matte penche légèrement la tête pour rapprocher son regard de l'animal. Un grand cheval, pelage brun très clair, et visiblement pas plus effrayé que ç-oh mais-
T-tu-
Cette race lui dit quelque-chose.
Lentement, elle fait un pas vers l'animal, qui parait méfiant mais pas tant que ça? Lentement, très lentement, la blonde vient approcher sa main près du visage, un peu stressée à l'idée que le cheval ne réagisse pas aussi bien. Et puis, finalement, il se laisse faire et autorise la main à se on poser sur sa tête. Une brève carresse juste pour sentir le pelage s'il s'agit bien de...
Shagya- Avec un sourire discret qui commence à étirer ses lèvres.
Elle ne s'est pas trompée, c'est bien un cheval du pays. Elle se permet même de lui tapoter gentiment le cou, et lui se laisse faire sans pour autant arrêter de bouger. C'est que c'est des bouillants comme race de souvenir. Elle en sait quelque-chose, elle et sa m-
Encore un sursaut, elle faisait juste un pas en arrière et pouf, voilà qu'elle vient de marcher sur ce qui a l'air d'une chaussure.
P-b-o-bo-b-pe-
Des conssonnes qui sortent de sa bouche sans rien former de cohérent alors qu'elle se retourne.