Cela faisait à présent quelques jours depuis la funeste exécution du réprésentant.e eossien, ainsi que de la lourde révolte qui s’en est suivit, durant cette escarmouche, le magimorphe avait clairement prit position en faveur des eossiens, il était plus que clair qu’il n’y avait aucune justice dans cette mise à mort. Il avait aider des sirènes, violenter quelques soldats altissien & caldissien confondus, Judith s’était mangé une salle blessure, Aloe avait comme à son habitude œuvrée pour aider et soigner le plus d’habitant d’yggdrasil dans le besoin... Oh il avait aussi « sauver » le beau général à la chevelure d’un blanc si pur, mais il ne le savait pas, et Klaus n’avait aucune raison de le lui dire, qui sait comment celui-ci allait réagir ? Par ailleurs, il n’était pas même au courant de l’espèce de son partenaire, donc bon.
Quand bien même personne ne l’avait encore, reconnu sous son apparence de bête canine noir de jais, il se sentait tout de même un peu coupable de s’être retourné notamment contre sa propre nation, son origine et il voulait se racheter du mieux qu’il pouvait, ce qui se traduirait par des heures sup, et un travail d’arrache pied, cependant hier… en revenant tout lessivé, il avait décidé de passer à la taverne en bas de chez lui, non pas pour boire jusqu’à finir ivre, mais juste de quoi décompresser.
Il s’était alors, attablé loin du bar afin de ne pas être plus tenter, et se contentait d’épier les conversations aux alentours, les commérages, il ne connaissait aucun remède plus requinquant, l’homme du 3e étage semblait couché en douce avec son collègue à l’insu de sa femme, une autre était enceinte et ne l’avait pas annoncée a sa famille, quoi d’autre… oh ben ça alors !
Cette soirée là, NiKlaus eut une information qu’il n’aurait peut-être pas du entendre, mais qui le fit toute suite voir rouge, deux citoyens chuchotaient non loin de lui, il dû bien tendre l’oreille pour ne perdre aucune miette de cette conversation, il semblait que l’un d’entre eux, fut témoin d’une injustice, un peu plus tôt dans l’après-midi, une patrouille de deux soldats s’était présentés à iel dans son propre magasin dans, et avait commencé par dire qu’ils ont été envoyé par leur supérieur pour effectuer une fouille préventive dans toute la boutique car il semblerait qu’iel détienne des objets et/ou produits dangereux.
Bien entendu, lea commercant.e avait commencé par s’offusquer et avait malheureusement manifester quelques traces de colère, profitant de cela les deux soldats hauts gradés s’étaient permis de lui proposer un arrangement, un versement de 100 sicams chacun, afin qu’ils évitent tout problème que ce soit sur le matériel ou encore la réputation de son échoppe, qui semblait des plus prestigieuses étant donné sa localisation. Bien sûr, lea commerçant.e ne s’était que plus énerver et les militaires avaient commencé a jouer des bras, signifiant qu’iel n’était pas en position pour négocier.
Finalement, en étant dos au mur, iel n’avait plus vraiment d’autre choix que de ceder, cependant à l’aide ses mots, iel a sû être assez convaincant.e pour avoir 3 jours pour régler la note, et bien sûr si l’idée de contacter de l’aide que ce soit dans la fonction publique, iel allait le regretter amèrement.
Son récit était à l’entendre assez délicat, et cela se sentait qu’iel était dans le besoin, un besoin plus qu’urgent. Le magimorphe était à deux doigt de briser le verre qu’il tenait en main mais il ne fit rien, et décida d’agir au mieux pour cette personne.
Il se leva de sa chaise, et sans aucune gêne, s’installa à la table de celle-ci avec son amis. Imaginez un peu leur surprise, quand de but en blanc, il leur sortit : « Faisons leur la peau à ces deux batards » le temps pressait, car il se faisait tard pour le coup, et le magimorphe voulait leur régler leur compte le plus tôt possible. La date d’échéance était apparement pour demain, un plan fut mit sur pied, celui de les attendre paisiblement pour leur tendre un piège, Klaus lui-même.
En temps qu’Émissaire, il était assez bien haut-gradé pour régler cette affaire, il ne lui fallait qu’une déposition écrite & rédigée, ainsi qu’un témoin qui aurait au préalable entendu et vu de ses propres yeux l’escroquerie et ce « témoin » serait l’émissaire lui-même. Ainsi personne ne pourrait douter de sa parole, enfin du moins, si les soldats n’étaient pas eux aussi trop haut en grade.
C’est pour ça, qu’il se trouvait désormais, en plein début d’après-midi juste en face de l’échoppe de lea propriétaire menacé, en pleine lecture d'un roman bien entendu sur une histoire romantique n’attendant que l’apparition des deux enfoirés, c’est aussi à ce moment là qu’il pensa qu’il aurait peut-être dû demander un peu plus d’aide….
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Quand bien même personne ne l’avait encore, reconnu sous son apparence de bête canine noir de jais, il se sentait tout de même un peu coupable de s’être retourné notamment contre sa propre nation, son origine et il voulait se racheter du mieux qu’il pouvait, ce qui se traduirait par des heures sup, et un travail d’arrache pied, cependant hier… en revenant tout lessivé, il avait décidé de passer à la taverne en bas de chez lui, non pas pour boire jusqu’à finir ivre, mais juste de quoi décompresser.
Il s’était alors, attablé loin du bar afin de ne pas être plus tenter, et se contentait d’épier les conversations aux alentours, les commérages, il ne connaissait aucun remède plus requinquant, l’homme du 3e étage semblait couché en douce avec son collègue à l’insu de sa femme, une autre était enceinte et ne l’avait pas annoncée a sa famille, quoi d’autre… oh ben ça alors !
Cette soirée là, NiKlaus eut une information qu’il n’aurait peut-être pas du entendre, mais qui le fit toute suite voir rouge, deux citoyens chuchotaient non loin de lui, il dû bien tendre l’oreille pour ne perdre aucune miette de cette conversation, il semblait que l’un d’entre eux, fut témoin d’une injustice, un peu plus tôt dans l’après-midi, une patrouille de deux soldats s’était présentés à iel dans son propre magasin dans, et avait commencé par dire qu’ils ont été envoyé par leur supérieur pour effectuer une fouille préventive dans toute la boutique car il semblerait qu’iel détienne des objets et/ou produits dangereux.
Bien entendu, lea commercant.e avait commencé par s’offusquer et avait malheureusement manifester quelques traces de colère, profitant de cela les deux soldats hauts gradés s’étaient permis de lui proposer un arrangement, un versement de 100 sicams chacun, afin qu’ils évitent tout problème que ce soit sur le matériel ou encore la réputation de son échoppe, qui semblait des plus prestigieuses étant donné sa localisation. Bien sûr, lea commerçant.e ne s’était que plus énerver et les militaires avaient commencé a jouer des bras, signifiant qu’iel n’était pas en position pour négocier.
Finalement, en étant dos au mur, iel n’avait plus vraiment d’autre choix que de ceder, cependant à l’aide ses mots, iel a sû être assez convaincant.e pour avoir 3 jours pour régler la note, et bien sûr si l’idée de contacter de l’aide que ce soit dans la fonction publique, iel allait le regretter amèrement.
Son récit était à l’entendre assez délicat, et cela se sentait qu’iel était dans le besoin, un besoin plus qu’urgent. Le magimorphe était à deux doigt de briser le verre qu’il tenait en main mais il ne fit rien, et décida d’agir au mieux pour cette personne.
Il se leva de sa chaise, et sans aucune gêne, s’installa à la table de celle-ci avec son amis. Imaginez un peu leur surprise, quand de but en blanc, il leur sortit : « Faisons leur la peau à ces deux batards » le temps pressait, car il se faisait tard pour le coup, et le magimorphe voulait leur régler leur compte le plus tôt possible. La date d’échéance était apparement pour demain, un plan fut mit sur pied, celui de les attendre paisiblement pour leur tendre un piège, Klaus lui-même.
En temps qu’Émissaire, il était assez bien haut-gradé pour régler cette affaire, il ne lui fallait qu’une déposition écrite & rédigée, ainsi qu’un témoin qui aurait au préalable entendu et vu de ses propres yeux l’escroquerie et ce « témoin » serait l’émissaire lui-même. Ainsi personne ne pourrait douter de sa parole, enfin du moins, si les soldats n’étaient pas eux aussi trop haut en grade.
C’est pour ça, qu’il se trouvait désormais, en plein début d’après-midi juste en face de l’échoppe de lea propriétaire menacé, en pleine lecture d'un roman bien entendu sur une histoire romantique n’attendant que l’apparition des deux enfoirés, c’est aussi à ce moment là qu’il pensa qu’il aurait peut-être dû demander un peu plus d’aide….
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