Bah alors, où est-ce qu'il est ?
La boutique d'Elliott n'est pas spécialement grande ; en terme d'échoppe, elle pourrait d'ailleurs facilement passer inaperçue s'il n'avait pas mis une pancarte au-dessus de la porte. D'ailleurs, voilà un moment qu'il faut qu'il trouve un nom pour sa boutique, car "les potions d'Elliott", c'est assez générique et ennuyeux. Il manque parfois cruellement d'inventivité pour ce genre de choses, mais se promet d'y pencher un moment où il aura le temps. Et où il ne sera pas pris dans ses recherches et dans son travail. C'est-à-dire dans quelques années.
Mais quand ce moment arrivera, il se promet également de faire du tri dans ses tiroirs et ses casiers ; voilà une demie-heure qu'il cherche une recette d'une de ses potions. Il faut dire cependant qu'un remède pour soulager les rhumatismes, il n'en utilise pas tous les jours. Cela ferait toutefois tellement plaisir à sa voisine et Elliott, bien sûr, a à cœur de rendre service (surtout qu'il raffole des sucettes qu'elle lui donne). Perché sur son escabeau, il épluche les livres mais force est de constater qu'il devrait ranger un peu son bazar afin d'y voir plus clair. Cela devra attendre de toute façon puisqu'il est surpris par le tintement de sa clochette d'entrée. Un client vient d'arriver.
« Oh, bien le bonjour ! Entrez, entrez donc ! Bienvenue dans ma boutique ! »
Enjoué dès qu'il s'agit de marchander avec un nouveau personnage, le Donovan arbore un sourire avenant avant de commencer à descendre de son promontoire.
« Alors, dites-moi, que puis-je faire pour-... »
Vlan. Peu adroit quand il s'agit de faire autre chose que des mélanges douteux ou quand il est si concentré sur une tâche qu'on croirait une autre personne, l'apothicaire trébuche sur une des marches de son escabeau (heureusement peu haut) pour se rétamer par terre. Plus de peur que de mal, mais dans le processus, ses lunettes sautent de son nez pour se perdre sur le sol de son échoppe. En se redressant légèrement, celui aux cheveux blancs tente de faire comme si de rien n'était.
« Par la tignasse d'Oros, il me tarde d'inventer une potion pour régler mes problèmes de vues, héhé... Ahem, si par hasard vous voyez des petites lunettes rondes... »
Il lève ses yeux bleus vers le nouveau venu mais sans ses binocles, impossible de voir les détails. Ses paupières se plissent un peu alors qu'il aperçoit au milieu d'une masse floue de couleur une carrure qui semble pourtant assez grande (mais ça c'est probablement parce qu'il est à quatre pattes et qu'il cherche à tâtons ses correcteurs de vue) ainsi qu'une tignasse brune. L'odeur, elle, lui est toute aussi inconnue ; ce n'est pas un habitué.
La boutique d'Elliott n'est pas spécialement grande ; en terme d'échoppe, elle pourrait d'ailleurs facilement passer inaperçue s'il n'avait pas mis une pancarte au-dessus de la porte. D'ailleurs, voilà un moment qu'il faut qu'il trouve un nom pour sa boutique, car "les potions d'Elliott", c'est assez générique et ennuyeux. Il manque parfois cruellement d'inventivité pour ce genre de choses, mais se promet d'y pencher un moment où il aura le temps. Et où il ne sera pas pris dans ses recherches et dans son travail. C'est-à-dire dans quelques années.
Mais quand ce moment arrivera, il se promet également de faire du tri dans ses tiroirs et ses casiers ; voilà une demie-heure qu'il cherche une recette d'une de ses potions. Il faut dire cependant qu'un remède pour soulager les rhumatismes, il n'en utilise pas tous les jours. Cela ferait toutefois tellement plaisir à sa voisine et Elliott, bien sûr, a à cœur de rendre service (surtout qu'il raffole des sucettes qu'elle lui donne). Perché sur son escabeau, il épluche les livres mais force est de constater qu'il devrait ranger un peu son bazar afin d'y voir plus clair. Cela devra attendre de toute façon puisqu'il est surpris par le tintement de sa clochette d'entrée. Un client vient d'arriver.
« Oh, bien le bonjour ! Entrez, entrez donc ! Bienvenue dans ma boutique ! »
Enjoué dès qu'il s'agit de marchander avec un nouveau personnage, le Donovan arbore un sourire avenant avant de commencer à descendre de son promontoire.
« Alors, dites-moi, que puis-je faire pour-... »
Vlan. Peu adroit quand il s'agit de faire autre chose que des mélanges douteux ou quand il est si concentré sur une tâche qu'on croirait une autre personne, l'apothicaire trébuche sur une des marches de son escabeau (heureusement peu haut) pour se rétamer par terre. Plus de peur que de mal, mais dans le processus, ses lunettes sautent de son nez pour se perdre sur le sol de son échoppe. En se redressant légèrement, celui aux cheveux blancs tente de faire comme si de rien n'était.
« Par la tignasse d'Oros, il me tarde d'inventer une potion pour régler mes problèmes de vues, héhé... Ahem, si par hasard vous voyez des petites lunettes rondes... »
Il lève ses yeux bleus vers le nouveau venu mais sans ses binocles, impossible de voir les détails. Ses paupières se plissent un peu alors qu'il aperçoit au milieu d'une masse floue de couleur une carrure qui semble pourtant assez grande (mais ça c'est probablement parce qu'il est à quatre pattes et qu'il cherche à tâtons ses correcteurs de vue) ainsi qu'une tignasse brune. L'odeur, elle, lui est toute aussi inconnue ; ce n'est pas un habitué.