Une fois de plus, Judith a quitté la ville haute pour se rendre ailleurs. La ville haute est magnifique mais, elle ne s'y fera pas, pas avant un moment. Enfin c'est pas comme si elle avait du mal à se faire à tout. Plus encore que l'autre fois sur les quais, Judith veut s'isoler, loin de tout ça. Elle passe à travers la foule, tête baissée, le regard perdu. Ses pas la mènent jusqu'à des marches menant à un balcon. Le genre qui lui permettrait de voir la ville-basse et rester dans ses pensées. Elle pose ses coudes sur le rebord et regarde sans regarder, en silence. Trop d'idées noires qui viennent la hanter en ce moment. Des flash d'une ancienne vie. La voix de sa mère, le visage flouté de sa soeur, la silhouette de son père et encore et toujours Isaac. Son coeur bat la chamade. Elle se fait des idées. Isaac est peut-être encore en vie, sa mère et Basmath aussi qui sait? Ils ne peuvent pas êtres tous mort. Elle a le souvenir d'avoir sauvé la vie à Isaac. Il est forcément là quelque-part, dehors. Peut-être même qu'une partie de sa famille est ici, à Yggdrasil. Mais qu'est-ce qu'elle ferait si un jour, elle croiserait Basmath? Et qui lui dit que ELLE est encore vivante? Ça faisait déjà un moment que sa soeur n'avait plus envoyé d'argent. Elle est sûrement morte ou bien... Non non non c'est idiot. Elle n'est pas les avoir abandonné, elle ne peut pas l'avoir abandonné elle. Et puis c'était il y a quatre ans. Les choses ont sûrement changés.
Ce flot de pensées sombres qui continuent sempiternellement. Et puis, elle entends des pas, à grande vitesse. Soudain, un choc. Quelqu'un vient de lui rentrer dedans, e n c o r e. C'est vraiment une malédiction à ce rythme. La métisse se tourne, et tends la main par réflexe.
Par- Mais la personne s'est retourné et sans rien comprendre, Judith se fait emporter plus loin, comme traînée. Le karma vient de lui faire la chose la plus improbable possible. C'est sa main couverte de bandages qu'elle a tendu, mains dont les bandages ce sont prit dans quelque-chose, ce quelque-chose sur le visage de l'inconnue, inconnue qui s'est tournée brutalement et Judith qui s'est faite emportée dans le mouvement, surprise. Même pas eu le temps de réaliser la situation qu'elle fait involontairement des pas en avant jusqu'à revenir aux marches, glisser et... Et la voilà qui tombe, se prenant les marches une par une dans la douleur. Voilà maintenant Judith par terre et endolorie. Elle a mal et sent les brûlures sur son bras se raviver. Sans dire mots, elle tente comme elle peut de se relever. Encore sonnée parce qui vient de lui arriver. Sa vision fixe le sol puis ses mains...toutes les deux à découvert. Les bandages sur son bras se sont détachés et sont tombés. Voilà ce qui explique la douleur. Malgré la confusion, Judith se met à genoux, précipitamment, sans trop d'équilibre. Maladroitement essaie-t-elle de récupérer ce qu'elle peut de bandages en cachant son bras sous la cape.
Oh non non non... D'une voix anxieuse, enrouée.
Ce flot de pensées sombres qui continuent sempiternellement. Et puis, elle entends des pas, à grande vitesse. Soudain, un choc. Quelqu'un vient de lui rentrer dedans, e n c o r e. C'est vraiment une malédiction à ce rythme. La métisse se tourne, et tends la main par réflexe.
Par- Mais la personne s'est retourné et sans rien comprendre, Judith se fait emporter plus loin, comme traînée. Le karma vient de lui faire la chose la plus improbable possible. C'est sa main couverte de bandages qu'elle a tendu, mains dont les bandages ce sont prit dans quelque-chose, ce quelque-chose sur le visage de l'inconnue, inconnue qui s'est tournée brutalement et Judith qui s'est faite emportée dans le mouvement, surprise. Même pas eu le temps de réaliser la situation qu'elle fait involontairement des pas en avant jusqu'à revenir aux marches, glisser et... Et la voilà qui tombe, se prenant les marches une par une dans la douleur. Voilà maintenant Judith par terre et endolorie. Elle a mal et sent les brûlures sur son bras se raviver. Sans dire mots, elle tente comme elle peut de se relever. Encore sonnée parce qui vient de lui arriver. Sa vision fixe le sol puis ses mains...toutes les deux à découvert. Les bandages sur son bras se sont détachés et sont tombés. Voilà ce qui explique la douleur. Malgré la confusion, Judith se met à genoux, précipitamment, sans trop d'équilibre. Maladroitement essaie-t-elle de récupérer ce qu'elle peut de bandages en cachant son bras sous la cape.
Oh non non non... D'une voix anxieuse, enrouée.