Volf fut emmené à l'extérieur des tunnels par une connaissance. Le mercenaire était en sang et n'était même pas conscient. On le déposa simplement au sol, sur une petite étendue d'herbe. Ils étaient ressortit par hasard en plein milieu des ruines antiques. Pourquoi l'abandonna-t-il ? Simplement parce qu'il avait la flemme de s'occuper de lui. Ils n'étaient pas proche, juste membre de la même organisation secrète. Ils ne partageaient rien d'autre à part l'objectif principal de leur groupe.
Le bouffon était donc allongé au sol. Il respirait un peu difficilement mais sa vie n'était pas en danger. Quelques bandages lui permettaient de ne pas avoir d'hémorragie critique. Son masque était restait intact et on ne pouvait pas voir s'il souffrait vraiment. Il avait l'habitude de recevoir des coups alors peut être que la douleur était devenu presque aussi éphémère qu'un ventre qui gargouille.
En dessous des bandages plein de sous, il y avait la marque de deux énormes crocs au niveau de son épaule droite puis le même type de blessure sur sa jambe gauche. Il souffrait aussi de contusions sur le dos mais surtout du poison qui coulait dans ses veines. D'ailleurs, même si son masque cachait son visage, il y avait du sang qui perlait le long de ses lèvres. Le liquide rouge commençait à tacher l'herbe tout autour de lui.
L'autre homme s'en alla donc discrètement. Il allait faire nuit et l'air s'était un peu refroidit. Personne ne rodait encore dans les environs pour retrouver le corps du bouffon. En vérité, peut être que sa connaissance allait appeler quelqu'un pour le ramasser. Mais avec un peu de chance, quelqu'un le trouvera dans peu de temps. Dans son état, Volf ne pouvait même pas savoir dans quoi il pourrait se fourrer. Allait il se faire embarquer par des soldats, des fous furieux ou un monstre ?
Actuellement, Volf faisait un cauchemar. Il se trouvait dans une petite pièce sombre. Il se voyait plus jeune, recroquevillé sur lui même. Il était seul et n'avait rien mangé depuis longtemps. Il ne se passa rien d'autre à part le silence complet... Puis il avait l'impression d'entendre une voix féminine. Les mots n'étaient pas assez fort pour les comprendre.
Le bouffon était donc allongé au sol. Il respirait un peu difficilement mais sa vie n'était pas en danger. Quelques bandages lui permettaient de ne pas avoir d'hémorragie critique. Son masque était restait intact et on ne pouvait pas voir s'il souffrait vraiment. Il avait l'habitude de recevoir des coups alors peut être que la douleur était devenu presque aussi éphémère qu'un ventre qui gargouille.
En dessous des bandages plein de sous, il y avait la marque de deux énormes crocs au niveau de son épaule droite puis le même type de blessure sur sa jambe gauche. Il souffrait aussi de contusions sur le dos mais surtout du poison qui coulait dans ses veines. D'ailleurs, même si son masque cachait son visage, il y avait du sang qui perlait le long de ses lèvres. Le liquide rouge commençait à tacher l'herbe tout autour de lui.
L'autre homme s'en alla donc discrètement. Il allait faire nuit et l'air s'était un peu refroidit. Personne ne rodait encore dans les environs pour retrouver le corps du bouffon. En vérité, peut être que sa connaissance allait appeler quelqu'un pour le ramasser. Mais avec un peu de chance, quelqu'un le trouvera dans peu de temps. Dans son état, Volf ne pouvait même pas savoir dans quoi il pourrait se fourrer. Allait il se faire embarquer par des soldats, des fous furieux ou un monstre ?
Actuellement, Volf faisait un cauchemar. Il se trouvait dans une petite pièce sombre. Il se voyait plus jeune, recroquevillé sur lui même. Il était seul et n'avait rien mangé depuis longtemps. Il ne se passa rien d'autre à part le silence complet... Puis il avait l'impression d'entendre une voix féminine. Les mots n'étaient pas assez fort pour les comprendre.