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  • Party hard [RP LIBRE] - Page 2
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    Le dragon n'est plus, miracle est arrivé. Yggdrasil a protégé sa cité. Des mois de siège éreintant cessent, la ville millénaire respire à nouveau. Chaque soir, sous la lueur émeraude et bienveillante du grand arbre, les éossiens fêtent et célèbrent ceux tombés au combat. Après tant d'épreuves, la ville semble reprendre vie...
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    Natsume Shimomura
    Thirésias Talwarus
    Soren Donovan
    Elliott Donovan
    Aaron Sigmunddur
    9 participants

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    Ah oui, ça, des potions, il n'en manque pas... Il en a peut-être un peu trop, d'ailleurs, mais à force de faire des expériences et de ne pas ranger ses affaires, ça finit par s'accumuler et traîner un peu n'importe où. Le drôle d'oiseau qu'est Thirésias est toutefois quelqu'un de fort amusant. Il n'aura sûrement pas besoin de ses potions pour se divertir ce soir. Quoique, qu'il ne parle pas trop vite, car le volatile semble avoir oublié son cadeau et il regarde à présent l'apothicaire comme si celui-ci pouvait lui venir en aide. Le Donovan esquisse un sourire énigmatique, remontant ses lunettes rondes sur son nez.

    « Si j'avais une fiole pour l'étourderie ou la téléportation, je serai le premier à l'utiliser. »

    Et ça ne lui ferait pas de mal, d'être un peu moins désordonné. En revanche, cela lui donne effectivement une idée des plus douteuses.

    « Mais... Si tu es assez courageux... »

    Ses yeux bleus dévient vers sa sacoche dont il soulève l'ouverture pour montrer à son camarade de ce soir quelques potions qu'il a apporté. Ou disons plutôt, quelques tests un peu hasardeux.

    « J'en ai d'autres en réserve. Et si je sais qu'elles sont innocentes, j'en ignore toutefois les effets. On sait jamais, y'en a peut-être une qui pourrait ramener ton cadeau ?.. »

    Elliott sort une des fioles pour la présenter à son acolyte, comme pour dire "chiche". A son tour d'être provocateur. Mais de son point de vue, ça ne peut que donner un résultat amusant, non ?..

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    Faire la fête !!
    avec des gens qui font la fête


    Feignant une immense déception, Thirésias pousse un très très long soupir. Donc Elliott ne peut pas retrouver ses gâteaux déjà précipités dans le vortex de l’oubli (la poubelle). Ce n’est probablement pas si mal. De toute façon, Elliott a bien d’autres idées derrière la tête. Visiblement, l’apothicaire sait animer une soirée… bien à sa manière. En observant les fioles alignées dans la sacoche d’Elliott, les yeux de l’oiseau se mettent à briller. Est-ce que c’est là-dedans, que se trouve la fameuse potion qui fait briller les plumes ?!

    « Hmmm… voyons ça… »

    Fait-il en remuant ses doigts en signe de convoitise. Plutôt que prendre la fiole tendue par Elliott, Thirésias en désigne une autre, d’une jolie couleur turquoise, avec quelques débris rose qui flottent à l’intérieur.

    « Je voudrais celle-ci ! »

    Sans trop hésiter, le piaf débouche la fiole, renifle le liquide et agite le récipient comme s’il allait gouter un bon vin. En prenant une gorgée, il est surpris de constater que ce liquide a le gout des patates grillées. Très spécifique. Dans tous les cas, il ne sent aucune différence et reprend donc une gorgée, puis il repose la fiole entre les mains de son acolyte.

    « Moui… je ne sens pas trop de—ah ! »

    Sa main et son avant-bras sont en train de se couvrir de dessins luminescents étranges.

    « Oooooh ! Mais c’est très joli, c’est--- ah ! »

    L’oiseau plisse les yeux en observant les graphismes en train de se former. De loin, on dirait des feuillages ou des fleurs mais vu de près…

    Des fesses… Est-ce que ce sont des fesses ?! Et aussi des… oh-oh.

    « Euuuuuh… j’espère que ça part au lavage, quand même ! »

    Puis, il se rend compte qu’en redonnant sa fiole à Elliott, leurs mains se sont touchées. On dirait que les effets de la potion sont contagieux, car le bras d’Elliot commence également à se couvrir de dessins… mais les siens semblent différents. A cette vue, l’emplumé éclate de rire et recule d'un pas... percutant une autre personne au passage... qui commence donc à se couvrir de dessins sans s'en apercevoir. Oups...


    Proute caca :

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    Le retour est bien moins difficile que ce qu'il aurait imaginé, au final. Contrairement à ce qu'il aurait pu croire, personne ne réagit particulièrement et il se permet un soupir de soulagement en le comprenant. Bien qu'il soit parti avec l'idée « d'assumer ses actes » (aussi dramatique que soit cette pensée, mais il n'en avait pas conscience), le fait d'avoir l'esprit tranquille là-dessus lui permit de se détendre quasiment instantanément. Ses épaules s'abaissèrent et, aidé de Rosemarie et Samaël, il put glisser jusqu'à un coin tranquille sans se retrouver au milieu des agitations. Pas plus mal.
    Une voix plus fluette, toutefois, l'interpella. Haussant les sourcils d'étonnement en reconnaissant le filleul d'Enodril, il tourne en premier temps un air curieux vers le militaire, ne s'étant pas vraiment attendu à la présence de l'adolescent. Il est d'autant plus pris de court par le cadeau qu'il lui offre avec une attention sincère, les yeux grands ouverts et l'air visiblement stupide. Sa bouche s'ouvre et se ferme bêtement, ses joues prennent de vives couleurs.

    « C'est, je... M-merci. »

    Il balbutie car il n'est pas exactement habitué aux cadeaux, mais aussi car la sincérité du jeune garçon le déconcerte et le flatte. Embarrassé, il accepte toutefois la fiole qu'il serre légèrement dans sa paume.

    « Je ne suis pas brûlé, mais... J'imagine que j'aurais de quoi faire, si jamais. »

    Il se permet un léger sourire, timide et maladroit, mais tout de même. Il n'est pas vraiment habitué à ce genre de comportement envers lui, à vrai dire.

    ______________________

    Natsu grogne et fixe des fleurs en #8A4B08

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    N'allez pas me demander comment je me suis retrouvé ici, je me suis contenté de suivre tout le monde. Et par tout le monde, je veux dire mon fils, mon ancien élève, mon frère, et mon poto aubergiste. Même si je ne connais pas du tout le type dont on vient fêter l'anniversaire aujourd'hui, leur motivation m'avait rendu curieux et je m'étais décidé à venir leur filer un coup de main, d'une manière ou d'une autre. Cela dit, il faisait un moment que je n'avais pas vu Sam aussi... Déterminé et organisé, oui. Vraiment, c'était quelque chose à voir. Je ne crois pas que ça soit 'juste' car il sauvé mon fils de la mort, apparemment, ou en tous cas c'est ce que m'a dit la petite voix dans ma tête quand j'ai glané quelques informations. Enfin, j'aurais tout le temps de poser des questions plus tard, quand nous serons tranquilles.
    ... Enfin, ça, c'était le programme avant que l'invité principal et sa suite ne nous fassent faux bond. Ouch. Vraiment, je ne sais pas qui me fait le plus pitié, entre l'éossien, ses accompagnateurs, ou nous tous. Le silence est un peu gênant, au début. J'hésite à dire une connerie pour qu'on se moque de moi au lieu de réfléchir trop longtemps à ce qui vient de se passer. Un coup de coup de coude me prend par surprise et je reconnais la force bourrue mais inoffensive d'Aaron, visiblement d'humeur à changer les idées de tout le monde. J'esquisse une moue amusée et un sourire léger, ne manquant pas l'occasion de le charrier à mon tour.

    « Ah, mais si il faut se sacrifier pour en débarrasser... »

    Je ne perds jamais vraiment le nord quand il s'agit de m'empiffrer, comprenez. Même si l'âge et le manque d'exercice font que j'ai pris un peu de ventre, j'imagine, mais ça ne fait que plus de moi-même dans ce monde. Sans trop me gêner et oubliant temporairement le moment d'embarras d'il y a cinq minutes, je me tourne vers la montagne de gâteaux et autres grillades salées qui me donnent déjà l'eau à la bouche. D'ailleurs, parlant de ça, je saisis une brochette que je gobe en deux bouchées, ne prenant même pas le temps d'avaler avant de donner mon avis.

    « Ch'est chuper bon ! Tu t'es churpassé ! »

    J'vous jure, je pourrais mourir heureux. Enfin, non, pas vraiment, j'ai encore six gamins -... Hm, non. Sept. Zut, j'me trompe toujours. Enfin bref, tout ça pour dire que j'ai encore à faire sur cette terre, mais la cuisine d'Aaron me met toujours de bonne humeur. Elle est faite avec l'envie de faire plaisir, faut dire, et c'est le meilleur genre de choses à manger. J'aimerais bien qu'il lâche un peu le boulot, d'ailleurs : j'ai l'impression qu'il s'occupe tout le temps des autres, le bougre. Alors, volontairement, je cherche du regard quelque chose qui pourrait faire l'affaire, esquissant une mine enjouée quand je le trouve. Je me retourne brièvement vers le requin pour lui adresser une expression faussement prétentieuse et un ton joueur.

    « Hé, y'a du chamboule-tout, tu te sens d'attaque, papy ? »

    Bah quoi ? Je suis pas mauvais à ces trucs, cela dit, et ça l'éloignera un peu des fourneaux.

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    Aujourd'hui, ce n'est pas n'importe quel jour (ni n'importe quel rp). Il y a l'ami de Rosie, Natsume, qui va devoir souffler sa dernière bougie et des gens ont décidés d'organiser une fête. Enfin ça, c'est surtout Rosie qui lui en a parlé. Apparament, Natsume vit avec un collocataire, ou l'inverse, elle sait plus trop . Ce qu'elle sait, ce sont surtout toute les petites histoires que la grise lui a raconté. D'après la requine, ils sont très très copains copains, et n'ont même pas l'air de le calculer. Le genre de ragots qui fait vibrer les amatrices d'histoires à l'eau de rose...comme Rosie et Juju justement. Toujours est-il que sa bestie grise lui a dit que c'était le dit colloc' qui organisait la petite fête, chez Aaron. Alors forcément, la matte s'est pas priée de proposer un petit coup de main. Pas le temps d'aider ou en préparatifs. Gwen' a besoin d'une vendeuse à la forge pour une bonne partie de la journée. Cela dit, rien ne l'a empêché de s'auto-désigner pour le service à table. Un peu de temps mort ne tuera pas l'oncle Aara', et c'est pas comme si Judith fatiguait comme les vivants.

    Pourtant, la fête a "commencé" mais la matte n'arrive que maintenant, usant de la magie pour glisser sur le sol comme en patins.

    Wo-woa-

    Pas assez attentive et trop pressée, elle ne remarque que maintenant qu'il y a trois personnes juste vers l'entrée. Mais, comme la vie des fois réussit ses jets de dés, Judith parvient à ralentir juste à temps pour à peine toucher le brun à coté de ce qui avait l'air de Natsume. Viennent aussitôt les excuses alors qu'elle dépoussière son grand manteau.

    P-pardon ! Retard forge et-

    Ses yeux s'écarquillent en réalisant qui sont les gens devant elle. Natsume, Rosie et un inconnu. Un grand sourire qui s'affiche à leur vue.

    Rosie ! La bise sur chaque joue, enfin chaque pommette. Son regard qui s'en va vers Shimomura.

    Bonjour Nat-natus-natssusu-Nat-su-me ! Et bon anniver- Oh attendez c'est vrai que c'est sensé être une surprise. La matte vient plaquer ses mains sur sa bouche, même si le mal est fait. Dans la foulée, ses yeux orangés se tournent vers l'inconnu. Plutôt grand, les cheveux mi-roux mi-brun, l'air un peu atypique; mais maintenant qu'elle y pense, tout le monde semble tirer une tête assez étrange.

    Bonjour? D'un ton bien plus calme et neutre, voir froid. Elle le connait pas, alors par définition, elle se méfie.

    Elle qui voulait aller aider Aaron dès son arrivée...Hmm...C'est pas la mort si elle tarde juste un peu plus pour papoter avec eux? Pas que la mort lui fasse chaud ou froid maintenant.

    Résumé de la flemme :

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      Autant que ça a l’air de faire du bien à Natsume, à Rosie aussi, ça lui réchauffe le coeur, le câlin. Elle serre le dragon contre elle, doucement, pendant autant de temps qu’il en a besoin. Elle entend son petit merci et sourit, alors qu’il brise leur lien. La jeune femme sèche ses larmes aussi, gênée d’avoir pleuré comme ça alors qu’en vrai, elle a pas vraiment de raison. Son empathie, encore, hein.

      Quand Natsu dit qu’ils pouvaient retourner à la taverne, la requine hoche la tête, doucement, son regard doré se tourne vers Samael qui tient toujours son assiette. Lui aussi semble soulagé que tout se soit calmé. Et ensemble ils retournent tous vers la taverne. Le commentaire du Général sur les gateaux de Rosie lui donne des rougeurs aux pommettes.

        « A-ah je.. M-merci j’esp-père qu’ils sont b-bons… »


      Elle les avait fait avec Aaron plus tôt et il avait supervisé le tout, alors ce devait être mangeable, au moins, mais Rosemarie avait peur de les avoir foiré. Au moins, c’était vrai qu’ils étaient mignons……

      Une fois revenus, un jeune garçon approche de Natsume et lui donne un cadeau. Rosie sourit, avant d’entendre des bruits derrière elle et– OH OROS JUDITH.

      La requine sursaute, laissant passer un léger cri de ses lèvres qu’elle cache derrière ses mains. La blonde qui avait failli les percuter, a toute vitesse. Elle lui fait même la bise, ce qui donne une couleur pourpre au visage de la noiraude, pas tout à fait passé les sentiments qu’elle ressentait pour son amie, mais qu’elle tentait de ravaler. La requine se frotte le nez doucement avant

        « J-je suis cont-tente que tu s-sois là, J-Juju! J-je te prés-sente Samaël, c-celui qui m’a aidée i-il y a quelque temps de ç-ça à n-ne pas… à ce que je n-ne me fasse p-pas arnaquer. »


      Elle se sent encore stupide pour ça, mais bon, ça commençait à dater. Judith allait sûrement faire le lien avec ce qu’elles avaient euh… Parlées. Timide, elle joue nerveusement avec ses doigts en regardant l’assiette que Samaël tenait.

        « E-eum… J’ai f-fais des gâteaux a-avec Tonton Aa-aron plus tôt! P-prends-en s-si tu en v-veux. »


      Résumé :



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    Technoparade d'anniv
    avec gens stylés



    J’aurais du m’en douter ! Faust veut évidemment s’arranger pour se baffrer et… et pour m’éloigner de mes fourneaux. Je ne peux pas dire que je sois surpris, il m’a déjà dit que je travaillais trop. Ce n'est pas parce que je suis flatté par ses compliments que je vais le suivre, hein ! Et puis d'abbord, c’est toujours un plaisir pour moi, que de m’occuper de ma clientèle. Surtout quand elle est aussi adorable que ce soir !

    « Mais-euh ! Attends je… ! »

    Je regarde autour de moi avec nervosité. Quelqu’un a peut-être besoin de quelque chose… est-ce que tout le monde mange et boit à sa faim ? Personne n’est trop isolé ? Est-ce que Rosie va mieux ? Mes yeux ne tardent pas à retrouver la grise parmi les convives. Elles a de nouveau le sourire et propose ses biscuits à tout le monde, notamment à son amie Judith. Bon… me voila rassuré. J’imagine qu’une petite pause ne peut pas me faire de mal et que personne ne va mourir dans ce court laps de temps !

    « D’accord, d’accord, l’ancètre, arrêtes de m’tenir la jambe. » Je lui sourie en coin afin de lui faire comprendre que je plaisante. « Mais si l’auberge prend feu pendant ma pause, je dirais à tout le monde que c’est ta faute !! »

    Un rire gras plus tard, j’ai un petit sac rempli sable en main et mes yeux sont rivés sur les vieilles conserves quelques mètres plus loin. Ma concentration ne se focalise pas sur ma visée mais plutôt… sur la force que je ne dois pas mettre dans mon lancer. Je prefère tirer mollement dans les boites que risquer de blesser quelque. Et pour être mou, eh bah, c’est bien mou. Pas trop de force, c’est bien, mais il en aurait fallu un peu quand même. Là, je n’ai qu’effleurer la boite du haut a qui il a fallu plusieurs secondes pour tomber.

    « Hm… bon, a toi, alors, hein. »


    Je regarde Faust faire et jette un œil sur le reste de l’assemblée. Aaron le papa (enfin, le tonton) poule qui ne peut pas se détendre. Normal qu’on se moque de moi. Lorsque mon regard passe sur Samaël puis Natsume, quelques ragots me reviennent. Je me dis que cette vieille concierge de Faust est déjà au courant, comme il est proche de Sam, mais…

    « Dooooonc… Natsume c’est le p’tit copain de Sam, c’est ça ? Ça m’rajeunit pas, héhéhé ! »

    Je parle à voix basse, pour que les concernés ne m’entendent pas. Je soupire, un peu attendri... c'est qu'à 30 ans moi, la romance... bon, j'ai jamais eu trop de le temps pour ça, en fait, je me contentais de batifoler sans vraiment chercher quelque chose de sérieux. Mais aujourd'hui, quand j'y pense, je regrette un peu de ne pas avoir plus cherché que ça à me caser dans une petite vie tranquille. Ah, jeune Aaron... tu étais déjà trop marié à ton travail pour penser à tout ça, hein...!

    Un peu nostalgique et avec un sourire en coin, je poursuis.

    « Fin j’me gourre p’tet et le dis à personne, mais, vu ce que Rosie m’a dit au sujet de leurs lettres, j’crois pas ! »

    Je glousse comme une commère. Héhéhé, bah c’est malin.


    Blob résumai du pas mois de mai :


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    Je voulais lui changer les idées. Faut dire qu'il s'occupe de tout le monde tout le temps, Aaron, et si je compatis largement au problème, ben... Je sais que ça fatigue, de temps à autre, alors je veux qu'il s'amuse aussi de son côté. Pour ça que je fais la sourde oreille à ses inquiétudes, là, sur l'instant, et que je me contente de l'encourager quand il se décider à tenter sa chance. Attentif et curieux de voir ce qu'il va faire, je relève toutefois les sourcils quand j'observe... Un échec total, oui. Clairement, il s'est planté. Je grimace un peu de compassion sur le moment. Ouch.
    Je décide de ne pas tourner le couteau dans la plaie et prend sa relève en venant saisir une des boules de bois. Pour me la jouer un peu, ne nous mentons pas, je commence à faire quelques mouvements de bras (un peu pour exhiber mes muscles, aussi, oui, me jugez pas, j'en profite tant que je peux), à moitié pour commencer à viser. A moitié concentré, j'écoute distraitement ce qu'Aaron me dit.

    « Hm ? Le p'tit... ? »

    Au début, un peu naïvement, je ne comprends pas tout de suite où il veut en venir. Oui, ils sont colocataires et 'copains', j'imagine, je n'y ai pas pensé en détail jusqu'à maintenant. Faut dire que ça a été rapide et que Sam ne s'est pas épanché en détails, le cachottier ; il avait l'air juste... Très préoccupé par...
    … Attends.
    Mon regard divague vers les silhouettes éloignées du militaire et de l'éossien. Sans un mot, je les observe. Mes yeux suivent les expressions, les postures, les gestes. Si je ne connais pas le principal concerné de la fête, il en est toutefois autre chose de mon protégé que je connais presque comme un fils ou un frère, au choix. Et là, avec les commentaires d'Aaron, ça me saute aux yeux.
    Purée de merde, le petit cachottier !

    En revanche, j'ai oublié que j'étais en train de viser. Par réflexe, la balle est partie toute seule et est allée s'écraser dans le visage de quelqu'un. Ah, punaise ! En m'en apercevant, je grimace et j'essaie de faire un signe d'excuse. J'ai été pire encore qu'Aaaron, là.

    « Ah, merde ! Désolé ! »

    Héhé, ahaha. C'est que ça m'a surpris un peu, en fait. Faut dire que... Je m'inquiétais un peu pour Sam, à vrai dire. Il était tellement obsédé par sa carrière depuis un moment que, enfin... Je me disais que ça devait être un solitaire, en fait, comme vie. Pas qu'on ait besoin de ça pour ne pas l'être (et il ne faut pas que ça, d’ailleurs), mais... Ça me rassurerait un peu, de savoir qu'il sort un peu la tête de son environnement fermé et qu'il voit quelqu'un d'autre que ses collègues, surtout. Faut dire que je les connais bien aussi, malheureusement.
    Après m'être fait tout petit, je me retourne brièvement vers Aaron, curieux malgré tout de ce qu'il peut savoir. Bah quoi, faut bien que je me renseigne.

    « Franchement, j'étais pas au courant, mais... Maintenant que tu le dis... »

    Maintenant qu'il le dit, c'est comme si je ne voyais que ça. Puis, comment ça, des échanges de lettres ? … Tu veux dire que durant tout le temps où monsieur était à Altis... ? Ah, la vache, il est bien lancé dans le truc, là. Parce que, sans offense, elles ont un peu tendance à être superficielles, ses relations. Un autre point joue aussi.

    « … Je sais pas trop si ils sont au courant tous les deux, s'tu vois ce que je vois dire. Je connais pas trop l'autre, mais il est pas très brillant pour ce genre de choses, Sam, parfois. »

    Ne nous mentons pas trop. Je suis curieux, toutefois, à moitié car je suis une commère. Je me tourne un peu plus discrètement vers l'animorphe.

    « Mais... Comment tu sais ça, toi ? »

    Rosie, c'est sa nièce, c'est ça... ? Je suis curieux, surtout pour savoir si je peux aller en discuter tranquillement avec Samaël sans prendre trop de pincettes, ou si je dois faire gaffe à ce que je vais dire.

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    21 avril
    1002
    Party hard
    so have a good time
    Les invités, enfin, se détendent. L'atmosphère retombe. La musique offre un fond sonore assez léger pour ne pas étouffer nos voix pendant que nous parlons. La fête devient agréable. Je me permets de souffler tandis que ma nervosité s'affaisse elle aussi. Je stressais un peu que cette soirée ne se passe pas comme prévu. C'était une possibilité, après tout. Je ne pouvais pas m'attendre à ce que ça soit parfait et rien que la fuite du concerné fut assez claire pour que Oros me dise que je n'allai pas avoir ce que je désirais. Peu importe puisque nous sommes revenus à l'auberge et que quelques personnes sont venues nous voir afin de souhaiter une bonne fête à Shimomura. Soren, entre autres, s'est faufilé parmi la foule pour amener son propre cadeau au moine. Une pommade pour les brûlures... Je devine sans mal qu'il repense à cette fois où il l'a protégé d'une gerbe de flammes douloureuses ; même les dragons ne sont pas immunisés au feu. L'éoniste semble confus mais accepte tout de même chaleureusement le cadeau, perdu face à cette attention soudaine mais visiblement flatté. Le cadet aux cheveux détourne légèrement le regard, avant de rougir. Je souris, attendri, proposant à mon filleul un biscuit qu'il dévore d'abord du regard avant d'en prendre un poliment. Lorsque je lui indique que c'est Rosie qui les a préparés, il se tourne vers la requine avec des étoiles plein les yeux.

    « Ils chont délichieux madame ! »

    Puis, le plus petit s'en va se perdre aux quatre coins de l'auberge afin de cacher sa timidité, nous laissant tous les trois seuls à nouveau. Ou presque. Je sursaute en sentant derrière moi une odeur inconnue. Jeune femme au teint halé et cheveux clairs qui vient d'apparaître comme par magie, ou du moins trop vite pour que je la remarque tout de suite. Elle semble connaître au moins Natsum-... Shimomura et Rosie.
    Faut que j'arrête de faire ce lapsus mais en même temps tout le monde l'appelle Natsume.
    Et peut-être que je devrais en faire de même, moi, son propre colocataire et am-... Enfin bref. Rosie est en tout cas très enthousiaste face à la nouvelle venue et me présente même, me flattant au passage de la façon dont elle me révèle. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle se souvienne de cette vieille histoire, mais ça m'honore.

    « Vous n'êtes pas si en retard que ça, si ça peut vous rassurer. En fait, vous arrivez juste à temps. Un biscuit.. hm... "Juju" ? »

    Je lui présente le plateau que tiens depuis tout à l'heure avec les gâteaux de l'animorphe. J'étais censé être l'organisateur, mais je crois que je vais plutôt être relégué dans le service... Je suppose qu'il faut bien que je serve à quelque chose, en attendant que j'ai un créneau pour vérifier le gâteau.

    ______________________


    Spoiler :

    Natsu et Sam by Coba <3

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    Pour son plus grand plaisir, celui qui est devenu son acolyte de la soirée décide de se prendre au jeu et décide de choisir lui-même la fiole qu'il veut ingérer. Elliott regarde dans sa sacoche celle qu'il désigne et la sort avant de l'offrir à son partenaire de crime. Elliott devrait se sentir coupable d'impliquer quelqu'un qu'il connaît à peine dans ses bêtises mais sa curiosité le pousse à regarder le résultat et il attend donc que les premiers effets se fassent. Toutes les potions qu'il a dans son sac sont en fait des prototypes ratés de recettes qu'il voulait faire mais qui n'ont pas abouties ou qui ont eu un problème durant leur confection. Si les effets tardent à arriver chez son compatriote, ils finissent par se montrer lorsque son bras voit apparaître des tatouages brillants. Fasciné, Elliott se rapproche pour mieux voir mais lorsque Thirésias lui redonne la bouteille, le contact fait répéter les effets sur le propre corps du Donovan qui sursaute au début en voyant des dessins apparaître sur sa peau. Des symboles à la fois abstraits et d'autres qui prennent des formes comme des têtes de dragon ou de loup. Surpris, Elliott a un temps d'arrêt, espérant que c'est lié au hasard que ça n'a rien à voir avec son espèce de loup-garou. Sûrement une coïncidence, se dit-il pour se rassurer. Dans le même temps, Thirésias touche malencontreusement d'autres invités qui reçoivent eux-mêmes les effets de la potion, comme une maladie contagieuse qui se répand à vitesse remarquable.

    Afin de trouver un contre, Elliott choisit une autre potion cette fois de couleur mauve et en boit une gorgée afin de voir ce que ça fait. Le drôle de liquide à l'odeur de violette, une fois ingéré, fait apparaître autour de lui de la fumée qui l'enveloppe totalement. Puis, d'un seul coup, quand la fumée se dissipe, Elliott se rend compte que son environnement a changé. Tout est devenu plus grand. Les chaises, le bar, les gens...
    Ah, non. C'est moi qui ai rapetissé.
    Il se trouve désormais au niveau des chaussures de Thirésias, ne dépassant pas cinq centimètres au moins. La potion l'a fait devenir tout petit. Mais du coup, difficile de se repérer dans cet endroit devenu gigantesque pour lui. Dans la peur que l'oiseau ne le voit plus (et lui marche accidentellement dessus), Elliott agite les bras pour tenter d'attirer son attention.

    résumé :

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    Faire la fête !!
    avec des gens qui font la fête


    Les effets de cette potion ne sont pas bien graves, et puis, si Elliott est réellement apothicaire, c’est qu’il a des antidotes pout toutes ses mixtures… pas vrai ? En voyant qu’il se couvre également de dessins bizarres, le Donovan va rapidement chercher dans sa sacoche pour trouver un contre sort pendant que Thirésias s’amuse de la petite « catastrophe » qu’il a déclenché. Pour le moment, personne n’a l’air gêné ou d’avoir remarqué que des gribouillis s’étendent sur leurs peaux… Mais l’oiseau prendra quand même une gorgée de l’antidote. Il tend la main en voyant Elliott avaler un peu du remède et s’apprête à faire de même… mais voila que le binoclard se met à rapetisser à vue d’œil.

    « Euh… je crois que c’était pas le bon remède… »

    Sans blague. Bouche-béé, l’emplumé regarde le « pharmacien » se changer en lilliputien. Puis, en voyant Elliott si petit par terre en train de crier (avec une voix devenue suraigue), Thirésias emet un gloussement. Il se baisse et tend ses mains, paumes vers le haut, pour que le mini binoclard s’y hisse. Ce sera toujours moins risqué qu’être sur le sol où n’importe qui pourrait l’écraser.  

    « Awwww comme t’es mimi comme ça ! »

    Fait le magimorphe avec un sourire un peu gaga. Il a envie de parcourir toute la salle pour montrer le mini Elliott à tout le monde. Et c’est exactement ce qu’il va faire, avec son pharmacien modèle réduit et sa peau couverte de dessins moches, tout fier de leurs conneries.

    « Hééééé, regardez, Elliott !! Il a-- »

    Bonk.

    Une balle de bois atterrit dans sa face. Surpris dans son mouvement, l’oiseau perd l’équilibre, marche sur un pan de sa robe, tombe et s’écrase par terre, la face en premier sur le sol de céramique.

    « …Ouille… »

    La personne qui lui a envoyé la balle dans la tête s’est excusé, et il ne lui en veut pas… surtout qu’actuellement, Thirésias est inquiété par autre chose. A savoir : où est passé Elliott ?

    « Oh… oh non !!! Elliot ? E-ELLIOOOOTT !!? »

    Il se redresse en appuyant précautionneusement sur ses mains et a très peur de ce qu’il pourrait voir sous lui en se levant. En imaginant un mini Elliott écrasé, sous son poids, il commence déjà à larmoyer.

    « Oh… Oh non p-par l’Eos je… je JE CROIS QUE J’AI ECRASE ELLIOTT ! NOOOOOOOOOOOOON ! »

    Bah, oui, comme il ne le voit pu, c’est très certainement ce qui s’est passé. Voila que Thirésias, grande drama queen de son état, s’agenouille par terre et commence à pleurer, le visage dans les mains. Faut pas lui en vouloir, ça fait beaucoup d’émotions d’un coup. Mais il a quand même l’air bien couillon.


    Proute caca :

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    Le jeune Donovan semble content, au moins, ce qui me fait plaisir à voir. J'imagine que le contact est plus simple quand nous ne sommes pas en danger imminent de mort. Petit à petit, je me rends compte que ce genre de... Soirée, fait peut-être du bien aux autres. Que c'est mine de rien une excuse bien pratique pour mettre un peu de bonne humeur à l'ordre du jour. Malgré le bruit et les odeurs qui continuent de me fatiguer, j'esquisse un léger sourire, bien plus tranquille que tout à l'heure. Je m'étonne toutefois de voir toujours plus de gens arriver, clignant des yeux lorsqu'ils sont rejoints par une jeune fille. Jeune fille que je crois reconnaître, au passage, car elle correspond plutôt bien à une description que m'a déjà fait Rosemarie auparavant. Pendant qu'elle dévisage Enodril du regard, je la salue brièvement d'un petit mouvement de tête.

    « Bonjour... Judith, j'imagine. Merci. »

    J'imagine que je vais beaucoup l'entendre ce soir, même si j'ai du mal à m'y habituer. Dans tous les cas, ce n'est pas plus mal puisque cela me permet de croiser des personnes que je n'avais jamais vu jusque là. Toutefois, un point de détail me fait tiquer et je me tourne vers Rosie en la dévisageant un peu.

    « Comment ça, 'arnaquer' ? »

    Je me doute que ce doit être terminé et globalement inoffensif pour qu'elle en parle de cette façon, mais je ne peux pas m'empêcher d'être inquiet quand elle le présente de cette façon. Et si j'aurais sûrement eu une réponse entre temps, voilà que je suis surpris par le bruit sourd d'une chute et des... Des cris stridents de poulet paniqué. Ou quelque chose du genre. Tournant le regard sur le côté, je finis par voir Thirésias en train de... De pleurer par terre, oui. Et il aurait écrasé quelqu'un... ? Sauf que je ne vois rien, en fait. Personne n'a l'air blessé. Et je ne sais pas qui est 'Elliott' non plus, à vrai dire. Dévisageant l'invocation, j'essaie de donner du sens à tout ça, sans grand succès.

    « Qu'est-ce que... Thirésias, de quoi est-ce que vous parlez ? »

    Est-ce qu'il aurait déjà bu à ce point ? Il est bien tôt, tout de même, je trouverais ça un peu étrange. C'est qu'il a l'air vraiment sincère dans sa panique, en plus. Embêté et ne sachant pas vraiment quoi faire, je me tourne vers le général pour lui demander un peu d'aide, car c'est la première chose à laquelle je pense, inconsciemment.

    « Dites, Enodril, vous le connaissez ? Vous pourriez le renifler, ou... ? »

    Ou n'importe quoi. M'aider un peu, simplement. Cela m'embête (et m'agace aussi, ne nous mentons pas) d'entendre Thirésias me percer les tympans de cette façon.


    ______________________

    Natsu grogne et fixe des fleurs en #8A4B08

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    21 avril
    1002
    Party hard
    so have a good time
    La dénommée Judith semble méfiante mais je ne m'en formalise pas plus que ça. Elle l'air de connaître Rosemarie donc ce ne doit pas être une mauvaise personne, en tout cas. Je continue de sourire aimablement, me demandant si je n'irais pas faire un tour de la salle pour proposer des gâteaux à d'autres invités ; je suis toutefois arrêté dans cette idée par des cris de panique stridents venant d'un drôle d'oiseau que je connais bien. J'entends le nom de "Elliott" sortir et aussitôt je crains le pire. On ne sait jamais ce qui peut arriver quand le frère de Faust est dans les parages ; c'est vraiment un esprit libre et instable que je n'ai jamais trop réussir à saisir ou à travers qui je ne sais pas lire. Je crois que c'est ce qui me perturbe, d'ailleurs, qu'il soit aussi imprévisible. Son côté excentrique m'amuse parfois mais je sais aussi que son insouciance quant à ses expériences peuvent parfois se révéler... problématiques. En poussant un soupir, je dépose l'assiette sur une table haute à côté de moi, car j'ai un peu pitié de Thirésias quand même. En outre, quand Shimomura se tourne dans ma direction pour demander de l'aide, je ne sais pas quelle est cette chaleur qui envahit mes joues alors que je me trouve flatté qu'il fasse appel à moi. Je ne refuse jamais de porter secours à quelqu'un, bien sûr, mais inconsciemment, je sais que je ne pourrais encore moins refuser quelque chose au moine et je ne m'en rends pas encore trop compte pour le moment.

    « Je m'en charge. »

    Usant de mon flair pour repérer l'odeur du Donovan parmi toutes celles présentes dans l'auberge, je ferme les yeux pour me concentrer. Afin d'affiner mes sens, je me transforme en chien pour mieux percevoir son effluve. Quand je la capte enfin, je suis sa trace et remonte jusqu'à sa piste.

    « Hé Sam ! Sam, ici ! Iciii ! »

    Surpris, je rouvre les yeux et relève la tête pour tenter d'apercevoir Elliott. Mais sans succès. Il n'est pas aussi petit que Faust, pourtant, je devrais le voir...
    C'est en baissant en fait les yeux que je l'aperçois, en train d'essayer de tenir sur une balle en bois.
    Il a rétréci ?! Qu'est-ce qu'il a fabriqué, encore...
    Je reprends forme humaine et récupère Elliott dans la paume de ma main avant de l'amener vers notre groupe initial où se trouve Thirésias pour le rassurer.

    « Te voilà, toi. T'as encore ingurgité un truc qu'il fallait pas, hein ? »

    L'albinos, de sa petite stature, croise les bras sur son poitrine et esquisse un petit sourire suffisant.

    « Tu ne peux pas comprendre, tu as tout dans les muscles, toi, tu n'as pas un esprit scientifique. »

    Je lève les yeux au ciel, peu impressionné par son 'esprit scientifique' qui a failli donner envie à quelqu'un de l'écrabouiller et de lui broyer les os. Je montre le petit bonhomme aux autres.

    « C'est Elliott, un ami de longue date. »

    Le concerné lève son visage pour saluer ceux que je lui présente et exécute même une courbette en guise de salutation. Son regard bleu se pose sur l'éoniste avec un intérêt certain.

    « C'est un plaisir, Shimomura. Moi qui pensais que Sam allait rester dans son éternel célibat. »

    Je m'étouffe dans ma salive à ce commentaire non nécessaire, surpris et choqué qu'il ait eu l'air aussi à l'aise de le dire. Les joues cramoisis, je fais les yeux ronds à mon ami que je jetterai bien à l'autre bout de la taverne.

    « P-Pfft, alors... alors là, c'est pas du tout ce que tu crois. Si tu continues à dire des bêtises, je t'attache à une boule et je te fais rouler toute la soirée, si c'est comme ça. »

    Et lui, tout ce qu'il trouve à faire, c'est d'éclater de rire. Non mais j'vous jure...

    « Ça n'a rien de drôle. Thirésias s'est inquiété pour toi, tu sais ? »

    Au moins, ça a le mérite de calmer le Donovan, qui cligne des yeux d'un air tout à fait benêt et stupéfait. Visiblement, il ne s'attendait pas ça. Il faut dire que son inconscience amène souvent des conséquences auxquelles il n'a pas pensé.

    « Oh... C'est vrai, cette histoire ? »

    Bah oui c'est vrai, regarde-le, il a failli nous pondre un œuf de stress.
    Je secoue la tête, blasé. Il n'a jamais connu de champs de bataille mais je me demande comment il a pu survivre autant de temps que moi, parfois.

    ______________________


    Spoiler :

    Natsu et Sam by Coba <3

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    Faire la fête !!
    avec des gens qui font la fête


    Effondré et au bout de son slip, Thirésias se morfond sur le sol fort de l’auberge, avec l’envie de s’enterrer pour son « crime » hypothétique. Ses grands cris de pigeon martyrisé attirent du monde, donc le féte et Samaël. En reniflant, l’emplumé ne parvient qu’à peine à répondre aux question qu’on lui pose.

    « C’est… c’est … c’est…. Liott il est là il a bubu il fait mort il Elliot mais puis la potion et le truc il a boum et écrasé et…. Ca-caaaaaaaaw... »

    Pas la peine de cherche un sens à toutes ces jérémiades de gros didon. Tout ça pour qu’au final, Elliott n’ait rien du tout. Samaël n’a pas perdu de temps avant de le retrouver grâce à son flair canin. Il ramène l’apothicaire vers Thirésias, qui se redresse vivement en entendant la voix du petit chimiste. Le poulet se met à caqueter gaiement, pour peu, il lâcherait un grand "cocorico" au milieu de la taverne.

    « OOOOOH !! ELLIOTT !! TU ES EN VIIIIIE !!! »

    Il serait bon pour les oreilles des autres invités de ne pas crier, mais, comprenez, Thirésias est constamment dans une pièce de théâtre. Ses réactions ne sauraient être mesurées. Les mains jointes et toujours agenouillé par terre, l’invocation a les yeux qui brillent de larmes et de soulagement. Samaël profite d’avoir son ami entre les main pour le présenter à Shimomura et…

    Ah je comprends mieux pourquoi il ne captait rien à mes approches ! Il est complètement refoulé le pauvre ! Aïe, Aïe, aïe… on dirait qu’il y a du boulot pour que ces deux là se rapprochent un jour.

    Evidemment, le général change immédiatement de sujet et reporte son attention sur Thirésias qui pince les lèvres, un peu déçu de ne pas avoir droit à un peu plus de ragots. Mais bon… l’emplumé ne va pas dire « non » à l’idée d’être à nouveau le centre de l’attention.

    « Oh oui…. J’ai eu si peur… Oooooooh ! »

    Sur ces mots, il s’évente d’une main comme s’il allait s’évanouir à la manière d’une diva qui aurait trop donné de la voix. Malheureusement, du souffle, Thirésias en a beaucoup à revendre lorsqu’il s’agit de faire sa comédie.

    « J’ai besoin de réconfort… de belleaux hommes ou de belleaux non binaires pour me remettre d’aplomb, hm, hm… »

    Avec un air de chien battu, le piaf se redresse et s’avance doucement vers Samaël.

    « Dis-moi, Sam, tu m’autorises à me repose sur ton immeeeeeeeense torse de militaire très très costaud, fort, musclé et bien huilé… ? »

    A force d’exagérer, la formule n’en devient plus très flatteuse. Afin de ne pas être trop gênant non plus, l’oiseau sourie en coin, afin d’informer son interlocuteur qu’il plaisante à moitié.

    « Enfin, si ça ne vous dérange pas Shimomura, bien sûr ! Je ne suis pas un briseur de ménages, hahaha ! »

    Dis-donc, qu’est-ce que c’est subtil, comme manière de détourner la conversation à nouveau.


    Proute caca :

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