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  • la Nymphe & le Cerbère.
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    Le dragon n'est plus, miracle est arrivé. Yggdrasil a protégé sa cité. Des mois de siège éreintant cessent, la ville millénaire respire à nouveau. Chaque soir, sous la lueur émeraude et bienveillante du grand arbre, les éossiens fêtent et célèbrent ceux tombés au combat. Après tant d'épreuves, la ville semble reprendre vie...
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    La Nymphe & le Cerbère.

    ♫I love the way you lied♫



    Après sa question risqué, le magimorphe monta sa chope au niveau de ses lèvres, cette question pouvait faire remonté beaucoup de chose et pas seulement pour lui-même mais aussi pour le général plus âgé face à lui, de vu de son âge, il avait d’avantage d’expérience, et d’avantage de souvenir de tout ça, l’horreur de la guerre, mais cela devait surement être derrière lui depuis sa promotion au poste de général, loin des conflits, plus proche de la royauté

    Ainsi il écouta avec attention les paroles de son ainées sur ses motivation a intégrer l’armée, Alors comme ça c’était de famille ? La lignée De Venomania a possiblement tiré se renommée de sa, il ne fait que perdurer le rite ancestrale pour rendre fier sa maison et sa famille, tous doivent être fier de lui, était-il fier de lui-même ? Peut-être bien, il semble content d’avoir suivi cette voie, alors c’est l’important, quelque soit ses obstacles, il sera épanoui, Klaus le sentait.

    Il avait finit de parler et avait encore cette allure d’homme irrésistible qu’il semblait avoir continuellement, était-il entrain de jouer ses charmes ? En tout cas, il fallait le dire ça marchait & il était même plutôt attachant, vous ne trouvez pas ?
    Finalement il me renvoya la question, surement par simple courtoisie, Klaus n’était personne et était surement ennuyant pour le général, mais bon, il allait lui répondre, au moins pour satisfaire sa possible curiosité à son égard

    J’étais sûr que tu me re-enverrais la question… & théoriquement je n’étais pas sous tes ordres direct puisqu’à l’époque de ta vingtenaire je n’étais qu’un simple soldat, un pion parmi tant d’autre

    Il ne le lui laissa pas le temps, qu’il se mis déjà a sourire, pris une gorgée de sa chope en entama avec ses explications :

    Ça fait déjà un an que j’ai quitté l’armée, le temps est passé si vite, enfin bref, j’ai quitté l’armée lors de l’instauration de la paix des deux royaumes, chose que j’ai toujours voulu, j’ai donc décider de devenir un civil, non que la guerre m’avait effrayé ou quelque chose dans ce genre, mais qu’il n’y aurait plus de champ de bataille, ni d’effusion de sang .  .

    Il se rendit compte qu’après que la fin de sa réponse était quelque peut, sanguinaire ? Bon, c’est pas bien grave, au moins le général apprenait à le connaître d’une façon ou d’une autre.  Espérant que le noble général ne soit pas offusqué de sa vision des choses, il tenterait de le complimenté sur son  physique pour le retenir ou tout simplement le mettre à l’aise, cela avait toujours son effet, toute suite son interlocuteur était soit très gêné car il n’était pas gay, ou soit il était souriant et tous deux se lançait dans des tirades de dragues. Toutefois, il décida de le prendre de court et lui posa une nouvelle question :

      J’y pense, mais un homme tel que vous est véritablement célibataire ? en tout cas c’est le bruit qui cours, vous devriez la côté pourtant, Monsieur ne trouve pas chaussure à son pied ?  

    Beaucoup d’homme sont à son âge, mariée et ont des enfants, en particulier chez les Nobles, les familles qui se pressent de marier leur beau enfant aux enfants d’une famille tout aussi prestigieuse et fortunée, quel était la raison de cette exception à son cas ? était-il imbuvable ? Trop exigeant ? ou tout simplement pas assez prestigieuse ?
    C’était une question interessante, voir si Klaus avait ou non ses chances avec lui, Ben quoi ? quitte à faire une belle rencontre autant amenée une belle nuit avec, tient d’ailleurs il ne connaissait même pas son orientation sexuel, boarf, au pire il l’offenserait si il comprenait là ou le magimorphe voulait en venir et dans le meilleure des cas il serait en confiance qui sait ?              .


     

    NiKlaus.





    Gaby my lover.




    ©Codage sur Natu~ sur Libre Graph'


    Dernière édition par Klaus H. Evergarden le Mer 17 Juin 2020 - 13:04, édité 1 fois

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    la nymphe & le cerbère. avec Gaby & Niklaus +

    Gabryel Lyan de Venomania. Son nom est à la fois simpliste et compliqué, comme la personne qu'il est. Il s'ennuyait incroyablement ce jour là. Il en était même venu à se demander comment cela était-il possible d'être aussi peu diverti ? Pourtant ce n'était pas faute d'avoir essayé. Lorsque le soleil s'était levé, Gaby avait pris la route sur le dos de sa jument pour aller rendre visite à un agriculteur qui semblait avoir un soucis. D'après celui-ci des sangliers n'avaient de cesse de piétiner ses récoltes ce qui mettait en péril à la fois son alimentations mais aussi ses revenus. Alors évidemment, en tout bon soldat, le militaire dû trouver comment faire fuir les animaux ou les chasser. Il pris contact avec la guilde des chasseurs, mais pour s'assurer que le travail sois bien fait il resta avec eux. Heureusement, ça semblait avoir été plutôt rapide puisqu'il avait suffit de placer des pièges. Dans ces moments là, où l'ennui est plus que présent et où l'action se trouve dans du gibier piétinant un champ, Gabryel en venait presque à regretter la guerre. Mais où était donc passer le long sourire carnassier qu'il affichait sur le champ de bataille ? Épée en main, sort, vêtements couverts de sang et l'adrénaline qui pulsait dans ses veines, il avait été habitué à tout cela et aujourd'hui il semblait être en manque d'action. Bien sûr, il y avait toujours moyen de rire un peu et il l'avait bien remarqué Samaël, le capitaine altissien.

    M'enfin bon, au fond de lui celui à la chevelure nacrée savait qu'une occasion pareille ne se représentera pas aussi vite, alors il désespérait, seul. Enfin, pas tout à fait. Par mélancolie de la belle soirée qu'il avait passé, le général s'était assis dans une taverne et avait commandé une choppe. Pas de cuite ce soir, mais au moins de quoi se désaltérer. Son regard lavande décala parfois sur les jolies courbes des serveuses ou sur les oreilles très pointues des grands elfes pas loin de là. Un groupe derrière lui faisait par ailleurs beaucoup de bruit, riant et chantant. Le presque quadragénaire avala d'une traite le liquide amer et souffla bruyamment. Il avait tellement pris l'habitude de sourire faussement que même maintenant il affichait un très léger rictus. L'oeil pétillant, il vit une ombre bouger devant lui et il faut dire que Gaby fut très agréablement surpris qu'on vienne lui parler directement. Un peu d'amusement, enfin ? Posant sa bouteille face au général, l'homme s'exclama d'une voix claire et confiante :

    « Bien le bonsoir mon général, que fait un noble tel que vous par ici ? Vous ne seriez pas plus à l’aise avec vos " congénère" ? »


    Comme toujours la trogne du militaire se fit plus douce. Il était vrai qu'ici le noble faisait un peu tache. Sa superficialité ressortait encore plus et certains pouvaient même se moquer de la façon dont il était habillé. Ils étaient rares les très nobles à venir ici. Pourtant, étrangement, Gabryel appréciait toujours s'attabler dans une taverne et passer le temps. C'était en tout cas toujours mieux que de chasser des sangliers à coup de pièges... Il lui répondit, toujours aussi poli que d'habitude :

    « Bonsoir. Mes "congénères" ont torts de ne pas venir ici. L'ambiance qui y règne est toujours agréable. C'est toujours bien pour faire le tri dans ses pensées, entrer dans une sorte de torpeur et se séparer ne serait-ce que pour quelques heures du stress quotidien. »


    Je m'ennuie juste, pensait-il. Il valait tout de même mieux faire croire que son travail lui mettait une telle pression qu'il avait besoin de repos. Il suffit de le connaître un peu pour savoir qu'il ne s'accorderait pas une telle pause s'il avait réellement la pression. Pour combattre la pression, il suffit d'être parfait. Et c'est ce que Gaby se tuait à être tous les jours. Il est vrai que parfois ça ne marchait pas vraiment, mais après tout la perfection est subjective... Non ? Bref. Le regard perçant du militaire se fit plus appuyé et il articula, l'air angélique :

    « Excusez moi, votre visage me dit quelque chose mais je n'arrive pas à mettre un nom dessus. Qui êtes-vous ? »


    Étrangement, son visage lui était familier... Souriant légèrement, charmeur et infiniment professionnel, il n'affichait aucun sentiment en particulier. Il était parfaitement calme.
    kyro. 017 ldd

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    La Nymphe & le Cerbère.

    ♫Klauyel, la nouvelle eau !♫



    Lorsque le roturier s’était attablé à la même table que le général caldissien, Klaus se dit immédiatement que cet homme avait du gout, en plus d’être d’avoir du style il était également d’une chaleureuse beauté, De plus il espérait ne pas l’avoir ennuyer ou emmerder, souhaitant vraiment pouvoir discuter avec lui, il le connaissait peu, lorsqu’il avait quitté l’armée, celui-ci n’était général que depuis peu, par ailleurs, il savait également qu’il avait un lien de parenté avec une de ses plus proches amies, Alyss.

    Vous comprendrez donc, que le magimorphe était assez curieux d’en apprendre plus sur lui, celui-ci d’ailleurs commença a s’exprimer, Alors il était stressé ? Tient donc, il ne paraissait pas l’être, néanmoins Klaus s’abstient de toute réponse, hochant tout simplement la tête signifiant sa compréhension tout en montant au niveau de ses lèvres sa boisson alcoolisée, peut-être que ça tenait la route après tout, peut-être qu’il trouvera un réconfort dans l’alcool, beaucoup le trouve dont moi.

    Ce fut à son tour de poser une question, la plus censée possible dans cette discussion, les présentations, quel imbécile, il avait complètement sauté cette étape, mais il n’en avait qu’a faire, cependant il ne protesta pas et fit les présentations singulièrement, il parla d’une voix mesuré :
    Excusez mon impolitesse, mon nom est Klaus, Klaus Evergarden, Lieutenant vétéran de l’armée Caldissienne.
    Le vétéran n’était pas le moindre du monde offusqué qu’il ne le connaisse pas, il n’était qu’un pion, certes plus gradé, mais un pion quand même dans cette immense armée que comptait Caldissia, de plus il se garda bien de révéler qu’il était amis avec sa cousine, de peur que celui-ci change brusquement de comportement, il enchaina sa présentation d’une nouvelle question :

    Et si nous animions un peu plus la soirée de chacun ? Je vais être direct, je vous trouve intriguant, beaucoup de rumeur à votre sujet circule, ainsi que vos impressions, certain sont admiratif, oppressé, content, en colère ? De votre présence. Ça m’intéresse de voir laquelle de ces versions est la plus proche de la réalité, tout simplement

    Durant la tirade du vingtenaire, il avait légèrement détourner les yeux vers un jeune homme qui passait, Klaus le trouvait assez mignon, si bien qu’il le suivit un court instant du regard pour se reconcentrer vers son interlocuteur, un rictus parfaitement dessiné sur son visage, ses yeux n’étaient plus à l’analyse mais à la curiosité profonde, allait-il se laisser découvrir petit à petit, ou allait-il tout simplement prendre ses affaires et détaler ?, Klaus pensait plus à la première situation, ce serait indigne de son grade de Général de partir tout simplement, pas sans s’être battu si il devenait hostile en tout cas…

    En effet, Klaus n’en avait qu’a faire du type de distraction, que cette entrevue passe en discussion ou qu’elle dérive sur une p’tite bagarre, il serait satisfait.                    


     

    NiKlaus.





    zénéral couin couin .




    ©Codage sur Natu~ sur Libre Graph'

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    la nymphe & le cerbère. avec Gaby & Niklaus +

    Les yeux de vipère de Gabryel serpentaient sur le visage joliment structuré de l'homme face à lui. Sa peau, bien différente de celle du général, était teintée d'une élégante couleur chocolat au lait et ça ne faisait qu'accroître l'envie qu'il avait de le croquer. Il semblait un peu trop attirant pour un simple civil lambda. L'instinct de succube du militaire s'enflamma lorsque ses pupilles semblables aux glycines se plongèrent dans les iris pistaches de son interlocuteur. L'ayant aperçu lorsqu'il était debout, celui aux cheveux nacrés sait que le porteur de tunique fait la même taille que lui, peut-être à un centimètre près ? Peu importait. Détaillant la trogne emplie de jeunesse du beau parleur, il remarqua une petite imperfection qui, au final, faisait tout son charme, c'était en effet une légère et fine entaille certainement dû à une lame lui ayant chatouillé le nez. Étirant un peu plus son angélique sourire en apercevant cela, il affronta une nouvelle fois le regard foudroyant de l'inconnu. Enfin, inconnu qui ne semblait pas l'être tant que ça puisque plus Gaby l'analysait plus il lui disait quelque chose. Pourtant il avait beau se creuser les méninges, il semblerait que malheureusement pour lui cet homme n'a pas marqué le général. Heureusement qu'il ne se souvient pas de toutes les personnes qu'il rencontre, cela dit. Au bout de déjà trente huit années d'existence ça commencerait à faire beaucoup. Entre la caserne, Caldis, les batailles et les éossiens, ça serait trop compliqué pour son cerveau de nymphe de tout mémoriser. Bien qu'au fond, il ne dirait pas non à un tel pouvoir. Pouvoir stocker toutes les informations sans jamais en oublier une pincée ? C'était une idée bien charmante qu'il se plaisait à imaginer. Se concentrant néanmoins sur les paroles du brun, il roula des yeux en l'air en souriant comme pour dire "mais oui, quel idiot suis-je !" lorsqu'il se présenta comme étant Klaus Evergarden, ex-lieutenant de l'armée caldisienne. En réalité, Gabryel n'avait strictement aucune idée de qui était ce type et n'arrivait absolument pas à se souvenir de lui.

    Cela doit faire un moment qu'il a quitté l'armée et peut-être l'actuelle général n'en était pas un lorsque celui aux yeux d'émeraude avait laissé tombé sa patrie pour x ou y raison dont, au fond, le militaire n'en avait absolument rien à faire. Enchaînant sur une nouvelle question, sans forcément faire de transition, le noble afficha un sourire interloqué et fronça légèrement les sourcils. Qu'entendait-il par "laquelle de ces versions est la plus proche de la réalité ?" aucune bien sûre ! Il était sensée être vu comme la perfection incarnée, une divinité, ce n'était pourtant pas si compliqué... S'étirant sur sa chaise, il se servit une choppe d'alcool et la bue d'une traite, laissant un doux silence régner entre les deux ex collègues. Puis, enfin, Gaby brisa la glace et s'exclama, toujours un joli rictus dessiné sur le visage :

    « En ayant voulu atteindre un tel rang, je me suis délibérément affiché aux yeux de tous. Il est donc normal qu'énormément de propos contradictoires soient lancés. L'admiration me fait chaud au coeur, mais je ne pense pas la mériter. L'appréciation n'est que le fruit du travail de mes ancêtres, qui ont toujours vécus dans l'espoir de faire de la paix une réalité. L'oppression est fortement compréhensible, surtout avec les événements récents. J'aimerais être moins... envahissant, le soucis étant que je ne peux plus me le permettre. Il faut que je fasse des compromis pour le tout rentre peu à peu dans l'ordre. Et enfin... La colère. Honnêtement, si je n'étais pas moi, je serais en colère contre celui que je suis actuellement. Je ne prends pas toujours les meilleurs décisions et parfois il m'arrive d'être égoïste et même antipathique. Bien que ça sois mon travail de faire régner l'ordre, j'ai renoncé à bien des privilèges en m'élevant au rang de général. »


    Inclinant sa tête sur le côté, il vint marier son menton au creux de sa main et ferma un instant les yeux en humant délicieusement les parfums qui se mélangeaient dans cette taverne à l'ambiance si familiale. Dans un dernier souffle qui était censé représenter la fatigue et l'exaspération quant à lui même -chose entièrement fausse- il releva son regard vers Klaus et fit naître dans ses yeux une lueur candide, presque enfantine et perdue, comme s'il cherchait de la protection. Il aimait bien jouer l'homme ayant besoin d'aide. Ça lui permettait d'avoir l'attention sur lui et il adorait qu'on lui consacre du temps. Surtout que la compagnie de cet élégant jeune homme est tout à fait plaisante et Gabryel ne s'en lasserai sûrement pas si vite. Alors il profitait de la moindre occasion pour planter ses griffes de diablotin dans la chair tendre du pauvre petit Niklaus. S'il était un minimum observateur, le brun a pu remarquer que le regard du général se fit plus enjoliveur. Il aimait plaire et il voulait lui plaire. Il ne manque d'ailleurs pas de voir que ses yeux se détachèrent de son visage d'ange pour aller reluquer un autre non loin de là. Bientôt, il ne verrait plus que lui. Il devait être absolument parfait, intéressant, légèrement nostalgique et secret, l'air romantique... C'était tout un art de faire semblant, Gabryel était vraiment un comédien cruel.

    « Désolé, je ne dois pas être très clair. Peut-être avez-vous des questions précises à me poser pour tenter de me... découvrir ? »
    kyro. 017 ldd

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    La Nymphe et le Cerbère .

    ♫c’est qui le best ? C’est Gaby !♫



    Afin de laisser au général caldissien le temps de répondre, Klaus avait trouvé une petite distraction, bien qu’inutile et très stupide, il suivait avec les doigts de sa main droite le contour de son verre à shot, en tout cas il n’était pas parti, pas encore, allait-il l’envoyer chier ? Ça s’pourrais, c’était ptete déplacé de posé une question aussi directe enfin de compte, pourquoi prenait-il autant de temps ? Klaus l’aurait-il dérouté ? Intimidé ? Charmé ?  il se languissait de sa réponse et quant elle fut, il était bien content d’avoir attendu.

    Sa réponse était des plus satisfaisante, parfaitement bien construire détaillée, tout ce que NiKlaus appréciait en soit, Ses paroles étaient emplies de sincérité ? C’est ce que pensait le magimorphe en tout cas, Il semblait compréhensif, et comprenait plus que bien sa situation, en même temps le contraire l’aurait étonné, il paraissait fier d’être au titre de général, mais après tout qui ne serait pas fier de l’être ? C’est le poste le plus élever qu’un militaire puisse avoir, par ailleurs il offrait de nombreux privilège à celui qui l’était, toutefois, comme toute chose cela avait un cout, les regrets, une partie de sa vie privé réduit à néant, le regard de tous, le déferlement des journalistes. Ce n’était pas franchement la vie de rêvé, pas pour Klaus en tout cas.

    Être au centre de l’attention n’était pas son dada, il préférait bien mieux se la joué discret ce qui lui laissait le temps de flemmarder lorsqu’il le désirait. Soudain l’homme au prunelle violette et à la chevelure d’un blanc immaculé si pur avait changé, son regard en tout cas avait changé, il ne compris pas toute suite, puisqu’il était totalement surpris par ce revirement de situation, il semblait plus doux, mais aussi plus faible, comme si sa carapace extérieur avait été percé, se montrait-il vraiment au grand jour ? Si vite ? Sans même avoir eu plus de question ? Peut-être bien que l’alcool aidait dans ce sens après tout.

    Sans même réfléchir après qu’il lui ait à nouveau adresser la parole, klaus plaça sa main droite sur la main disponible de la nymphe face à lui, il le regardait intensément dans ses yeux, qui étaient apparement plus beau que tout à l’heure, le cerbère était complètement entrain de succomber à son charme, si vite, si précipitamment, tout s’enchaînait un peu trop vite non ? À cette pensée il retira vivement sa main de la sienne et dis tout troublé :

    Excuse-moi, c’est juste que… j’imagine que ça doit pas être facile tout les jours d’être à ta place hein ? Faire le bon ou le mauvais choix, c’est toujours une fonction de point de vue après tout, du moment que tu penses faire les bon tu n’as pas à culpabiliser pour ça, enfin… c’est ce que je pense

    À ses mots il détourna les yeux visiblement gêné, il espérait franchement que sa peau mâte puisse camoufler ses rougissement, en tout cas si ce n’était pas le cas, il détourna bien vite la conversation, toujours sur le sujet du trentenaire :

    Bon sinon, pourquoi avoir rejoins l’armée dis moi ? Un noble tel que toi pouvait très bien allez dans l’administratif et grimper les échelons rapidement, prendre l’armée à dû être un véritable challenge, tout comme moi enfaite…
    Il se tut, il n’avait pas envie de repenser au raison qui l’avait poussé à rejoindre l’armée, il préférait boire, et s’amuser ne plus pensé à cette période plein d’incertitude, plein de colère, plein de tristesse, mais c’était impossible, il ne pouvait pas oublié sa mère, et tout ce qui le définissait, il ne pouvais pas, mais il ne voulais pas non plus finir en larme à ressasser de pareil souvenir.             .


     

    NiKlaus.





    Gaby la victime




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    la nymphe & le cerbère. avec Gaby & Niklaus +

    Gabryel a toujours été très bon pour faire croire aux autres ce qu'il souhaite. Cette étrange compétence à manipuler les pauvres âmes de ce monde en toute impunité lui était parfaitement naturelle. C'était comme ancré en lui, dans ses gènes, ça circulait librement dans son sang et faisait de lui ce qu'il était aujourd'hui. Franchement, il n'avait aucun regret à enjoliver les situations et à jouer avec les mots comme il le fait, qui pouvait le juger ? Tous les humains mentent, un jour ou l'autre, et chacun à ses raisons, quelles sois impures ou non. Bien que hautement droit, le militaire avait une vision assez décalée du bien et du mal, c'est à peine s'il arrive à les différencier. Il n'agit que pour ses intérêts. Il ne prend la parole que s'il sait que ça lui offrira quelque chose. S'il discutait encore avec son ancien collègue dans cette taverne humide aux odeurs douteuses, c'était uniquement parce qu'il savait qu'il pourrait en tirer quelque chose. Bien qu'il ne sache pas encore quoi, il sait que cet arbrisseau lui donnera très certainement de beaux fruits. Alors tandis qu'il analysait le visage interrogateur de l'homme face à lui, il garda son fameux sourire qui lui servait de signature. Klaus semblait satisfait de la réponse parfaitement calculée du général. L'oeil aiguisé de la nymphe a même réussit à percevoir l'élargissement très léger de ses lèvres. Le menton toujours placé dans le creux de sa paume, il faisait des ronds avec l'index de son autre main sur la table faite de bois. Le Venomania fut surpris de sentir le contact charnel de la main du caldissien contre la sienne. Gaby n'afficha aucune stupeur et resta de marbre, en relevant légèrement ses yeux pour rencontrer ceux de son interlocuteur. Les pupilles émeraudes de l'homme brillaient avec intensité, pleines de fougues, il semblait se plonger entièrement dans la conversation. C'est quoi son problème, sérieux ?Bien que le général refusait rarement du contact physique, il préférait y être préparé. M'enfin, il aime bien être surpris et les gens imprévisibles sont toujours les plus divertissants. Alors, il allait rester, encore un peu...

    Se rendant compte de son geste, il retira vivement sa main, troublé. Il n'avait donc fait ça que par instinct.Le militaire avait tellement prit l'habitude de ne plus laisser ses émotions guider ses gestes que ça le surprenait que d'autres le fassent. C'était au final pas une si mauvaise chose. Gabryel écouta avec attention les paroles de l'Evergarden qui, tout en s'excusant, lui expliqua qu'il s'imaginait la difficulté que pouvait représenter le fait d'être lui, d'être Gabryel Lyan de Venomania, général de l'armée caldissienne et fier membre d'une des familles de haute-noblesse. Oh oui, qu'est-ce-que c'est dur bon sang... ♪ Faire le bon ou le mauvais choix ? Celui aux longs cheveux d'argent arqua un sourcil. Il ne faisait que les bons choix, d'après lui. Ressentir de la culpabilité ? Et pourquoi ? S'il faisait quelque chose, c'est qu'il était sûr de lui. Pourquoi ressentirait-t-il le moindre regret ? C'est une idée bien farfelue et même idiote. Il ne ressent que la satisfaction. Leur duel de regard finit par être brisé puisque Klaus détourna les yeux, comme s'il était gêné. Les gens aujourd'hui ne sont plus capable de dire ce qu'ils pensent sans se refermer sur eux-même et devenir rouge pivoine, quel gâchis. Le trentenaire fut emmené de force sur un autre sujet. Pourquoi avait-il intégré l'armée alors qu'il pouvait choisir la facilité ? Quelle question. C'est pourtant plutôt logique. Il cherchait l'excitation, l'aventure, la supériorité, le pouvoir. Il voulait juste assouvir sa soif d'ambition et ce n'était -à son sens- pas en s'orientant vers la politique qu'il aurait réussit à faire tout cela. Mais ce n'était évidemment pas ce qu'il allait répondre. Non, jamais. Son sourire s'évanouit et il joua avec une de ses mèches en la tortillant autour de son doigt.

    « Cela fait déjà plusieurs générations que les fils de Venomania intègrent tous l'armée. Mis à part mon grand-père Ludeciel, ils ont tous été militaires. C'est un peu dans notre sang. Je me contente de suivre aveuglément les traces de mes ancêtres, car je sais que ça ne m'apportera que du bien. Le plus dur est à venir, mais avec de la détermination et de la force, je devrai m'en sortir. J'ai l'habitude de toujours me relever après avoir trébuché, qu'importe les épreuves à venir. »


    Laissant tomber sa mèche le long de sa joue, il se massa doucement la nuque à une main et ferma un instant les yeux. Ce n'était pas une question de détermination, juste de talent à son sens. Soufflant doucement, il rouvrit les paupières et se pencha un peu en avant sur la table pour s'approcher de Klaus, il lui murmura d'une voix rauque qui était faite pour refléter une sorte curiosité innocente :

    « Et toi, qu'est-ce-qu'il t'a pousser à quitter l'armée ? Peut-être ai-je été trop dur en tant que capitaine à l'époque ? »


    Riant avec clarté, il afficha un franc sourire, les yeux pétillants. Tout son être était fait pour plaire à cet instant.
    kyro. 017 ldd

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    La Nymphe & le Cerbère.

    ♫I love the way you lied♫



    Après sa question risqué, le magimorphe monta sa chope au niveau de ses lèvres, cette question pouvait faire remonté beaucoup de chose et pas seulement pour lui-même mais aussi pour le général plus âgé face à lui, de vu de son âge, il avait d’avantage d’expérience, et d’avantage de souvenir de tout ça, l’horreur de la guerre, mais cela devait surement être derrière lui depuis sa promotion au poste de général, loin des conflits, plus proche de la royauté

    Ainsi il écouta avec attention les paroles de son ainées sur ses motivation a intégrer l’armée, Alors comme ça c’était de famille ? La lignée De Venomania a possiblement tiré se renommée de sa, il ne fait que perdurer le rite ancestrale pour rendre fier sa maison et sa famille, tous doivent être fier de lui, était-il fier de lui-même ? Peut-être bien, il semble content d’avoir suivi cette voie, alors c’est l’important, quelque soit ses obstacles, il sera épanoui, Klaus le sentait.

    Il avait finit de parler et avait encore cette allure d’homme irrésistible qu’il semblait avoir continuellement, était-il entrain de jouer ses charmes ? En tout cas, il fallait le dire ça marchait & il était même plutôt attachant, vous ne trouvez pas ?
    Finalement il me renvoya la question, surement par simple courtoisie, Klaus n’était personne et était surement ennuyant pour le général, mais bon, il allait lui répondre, au moins pour satisfaire sa possible curiosité à son égard

    J’étais sûr que tu me re-enverrais la question… & théoriquement je n’étais pas sous tes ordres direct puisqu’à l’époque de ta vingtenaire je n’étais qu’un simple soldat, un pion parmi tant d’autre

    Il ne le lui laissa pas le temps, qu’il se mis déjà a sourire, pris une gorgée de sa chope en entama avec ses explications :

    Ça fait déjà un an que j’ai quitté l’armée, le temps est passé si vite, enfin bref, j’ai quitté l’armée lors de l’instauration de la paix des deux royaumes, chose que j’ai toujours voulu, j’ai donc décider de devenir un civil, non que la guerre m’avait effrayé ou quelque chose dans ce genre, mais qu’il n’y aurait plus de champ de bataille, ni d’effusion de sang .  .

    Il se rendit compte qu’après que la fin de sa réponse était quelque peut, sanguinaire ? Bon, c’est pas bien grave, au moins le général apprenait à le connaître d’une façon ou d’une autre.  Espérant que le noble général ne soit pas offusqué de sa vision des choses, il tenterait de le complimenté sur son  physique pour le retenir ou tout simplement le mettre à l’aise, cela avait toujours son effet, toute suite son interlocuteur était soit très gêné car il n’était pas gay, ou soit il était souriant et tous deux se lançait dans des tirades de dragues. Toutefois, il décida de le prendre de court et lui posa une nouvelle question :

      J’y pense, mais un homme tel que vous est véritablement célibataire ? en tout cas c’est le bruit qui cours, vous devriez la côté pourtant, Monsieur ne trouve pas chaussure à son pied ?  

    Beaucoup d’homme sont à son âge, mariée et ont des enfants, en particulier chez les Nobles, les familles qui se pressent de marier leur beau enfant aux enfants d’une famille tout aussi prestigieuse et fortunée, quel était la raison de cette exception à son cas ? était-il imbuvable ? Trop exigeant ? ou tout simplement pas assez prestigieuse ?
    C’était une question interessante, voir si Klaus avait ou non ses chances avec lui, Ben quoi ? quitte à faire une belle rencontre autant amenée une belle nuit avec, tient d’ailleurs il ne connaissait même pas son orientation sexuel, boarf, au pire il l’offenserait si il comprenait là ou le magimorphe voulait en venir et dans le meilleure des cas il serait en confiance qui sait ?              .


     

    NiKlaus.





    Gaby my lover.




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    la nymphe & le cerbère. avec Gaby & Niklaus +

    Gabryel ne décrocha pas son regard de Klaus lorsqu'il prit sa choppe entre ses doigts pour la monter jusqu'à ses lèvres et se délecter du liquide amer qu'elle contenait. A dire vrai, le militaire avait suivit cette scène avec un grand intérêt et étira même un peu plus son joli sourire qui prenait de plus en plus l'air d'un rictus mielleux. Le général se demandait ce que pouvait penser son ex-collègue de lui à cet instant. Gobait-t-il tout ce qu'il disait sans sourciller ? Apparemment, oui. Et au fond, ça l'arrangeait le bougre. C'était un plaisir assez malsain d'aimer plaire à une personne en lui mentant droit dans les yeux sans aucun remord. Enfin non, Gaby ne mentait pas, il déformait la vérité, nuance ♪. Dans tous les cas, il était plutôt satisfait de comprendre peu à peu que ce soir il allait être en bonne compagnie. Puis, l'homme aux yeux d'un vert très attrayant lui répondit, lui expliquant qu'il n'était à l'époque pas sous ses ordres directs. Encore heureux pensait-il, il serait tout de même capable de reconnaître quelqu'un sous ses ordres. Il affirma qu'il n'était qu'un pion et à cet instant celui aux longs cheveux argentés se retint de toutes ses forces d'afficher un grand sourire sournois et de faire une tronche à la fois méprisante et hautaine. Oui, il n'était qu'un pion. Comme tous les soldats, tous les humains. Mais parmi les pions certains réussissent à sortir du lot et Gaby pense que c'est son cas. Qu'il est exceptionnel. L'élu. Klaus reprit une gorgée et le militaire le suivit dans son geste, empoignant fermement la choppe pour faire glisser dans sa gorge l'alcool, ses yeux violets cependant toujours plongés dans ceux de son interlocuteur. Celui-ci reprit la parole en expliquant qu'il avait changé de voie il y a de cela un an, plus ou moins à cause de la paix. Il ne voyait plus l'intérêt de l'armée si guerre il n'y avait pas. Et au fond, il n'a pas tout à fait tort. Mais, premièrement la nymphe ne lui laisserait jamais le plaisir de lui avouer être d'accord et deuxièmement ils étaient, à son sens, toujours en guerre. Ce n'était qu'une paix éphémère et extrêmement fragile. Une paix qui est fondée sur très probablement des mensonges et qui tient fébrilement "grâce" à deux souverains âgés d'un peu plus de seize années. C'est d'un ridicule en y pensant. Pourtant, le général ne se voyait pas quitter l'armée. Car après tout, il avait atteint un grade trop beau pour décider de prendre une retraite avancée. Il fallait encore qu'il mette son grain de sel dans l'Histoire avec un grand H.

    Prit de surprise, Gabryel s'apprêtait à lui répondre quelque chose d'assez vague pour faire planer le doute qu'il allait dans son sens, mais il n'en eu pas le temps puisque l'autre reprit la parole. Et les mots qui sortirent de sa bouche eurent l'effet de détendre tout de suite le militaire. Il osait... Aussi ouvertement ? Intéressant... En traduisant sa phrase vulgairement on pourrait, dans le langage des dragues lourdes, obtenir quelque chose comme "comment un homme aussi fa-bu-leux que toi peut être célibataire ? Oh mon dieu c'est impossible !". Et ça. Franchement, ça, c'était extrêmement plaisant à entendre pour le presque quadragénaire. En répondant honnêtement, le magicien aurait répond qu'il aimait aller butiner dans toutes les plantes car se stabiliser n'était guère amusant à ses yeux et qu'il avait toujours besoin de folie car contrairement à ce que les gens pensent : la soif de connerie ne s'atténue pas avec l'âge. Mais bon, tout de même, il n'allait pas répondre ça, déjà parce qu'il est d'une hypocrisie monstre et qu'en plus il trouve que c'est plutôt bien partit pour se le mettre dans sa poche, cet ex-collègue. Avoir des alliés -voire mieux- un peu partout était toujours utile. Qui sait, peut-être le sauvera-t-il d'une attaque de dragon un jour ? Ahah, non voyons, c'est improbable... Non ? Bref. Reportant son attention sur les traits séducteur du visage de l'homme face à lui, il apporta sa choppe à ses lèvres et la finit d'une traite. Il le fixa un instant droit dans les yeux, comme pour sonder son esprit, savoir ce qu'il pensait. Mais, il ne vit rien d'autre qu'une naïveté à croquer. Gaby pinça doucement sa lèvre inférieure et vint placer son coude sur la table pour supporter sa tête avec sa main. D'une voix qui se voulait mystérieuse et/ou mielleuse, il s'exclama en parlant un peu moins fort :

    « Est-ce-que tu crois au destin, Klaus ? » Il savait que l'autre allait sûrement être surpris de cette réponse et c'est ça qui l'amusait d'autant plus. « Moi, oui. J'y crois comme on peut croire au fait d'être vivant. Et c'est pour cette raison que je ne cherche pas à me marier comme la plupart des nobles. Le destin me fera trouver la personne idéale, j'en suis convaincu. Et puis... » Il se pencha un peu sur la table pour s'approcher du visage du bronzé et lui susurra. « Je n'aime pas faire comme les autres. »

    Rompant la liaison qui s'était installée entre eux, il se redressa sur son siège, laissant derrière son passage une douce effluve fleurie. Il reprit son visage enjoué et sourit en le questionnant à son tour, une lueur de malice coincé au coin de l'oeil.

    « Tu es plutôt un romantique ou un aventurier des coeurs, toi ? »
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    La Nymphe et le Cerbère .

    ♫On the first page of our story.♫



    Si il croyait au Destin ? Le Destin serait une chose sans appel, qui selon des dires, tracerait un chemin en ligne droite pour chaque être vivant, chaque événement, chaque discussion, chaque acte aurait été écrit il y a si longtemps, peut-être même avant la naissance de ce dite être humain. La réponse était évidente pour Klaus, le destin s’existait pas, ce n’était qu’une idée burlesque.

    Le destin avait-il vraiment voulu que sa mère meure ? Qu’il perde l’usage de sa main gauche ? Qu’une discrimination envers les espèces animorphes et magimorphe proposeraient fut un temps au banc de l’armée ou encore la plus grosse blague de tout les temps, cette acharnement sur le peuple éossien était-il vraiment écris ? Non, seule les choix qu’on prit les être humains on conduis à ce genre de situation, le destin est en rien responsable de ça.

    Il arqua un sourcil en direction du Venomania rien qu’avec ce geste il lui signifiait clairement que « non, il n’y croyait pas », le laissant d’abord terminé sa phrase, il semblait vraiment y croire, en tout cas tout le présageait, il abordait donc le « destin » dans un contexte romantique, comme les belles histoires à l’eau de rose ou les deux partenaires sont d’office choisis par le « destin » futilité.

    Il reste mignon, autant sur le plan physique que le plan émotionnel, il est plus qu’intéressant aux yeux du magimorphe qui fut d’ailleurs amusé de le voir se rapprocher de lui, il veut passé au chose sérieuse ? Apparement leur attirance physique est réciproque, que c’est romantique, il semble vouloir un peu plus de rapprochement ? Et bien s’il en souhaite, il va en avoir.

    NiKlaus se mit à sourire laissant à la nymphe d’apercevoir les quelques dents un peu plus pointus dont il disposait à cette pensée, suite à cela il balança la tête vers l’arrière, puis en profita pour lui aussi se rapprocher du général, il n’allait pas le laisser mener la danse quand même ? D’autant plus que c’était à son interlocuteur de lui poser une question, c’est drôle, chacun leur tour il posait des questions à l’un pour faire plus ample connaissance, sans que les deux parties aient eu besoin de se concerter auparavant de procéder ainsi.

    Il était ptete bien plus complémentaire qu’il pensait après tout ? Oulà question, difficile, que pourrait-il lui répondre ? La vérité ? Il paraîtrait pour un foutu connard, mais bon qui ne tente rien n’a rien, il lui répondit d’une voix tout à fait posé ne laissant paraître aucune honte :

    Quitte à être franc… Disons que je goutte à tout, comme les alcools en soit, jusqu’à trouvé le parfait alcool et enfin m’posé… Qu’une chose soit clair, je ne suis pas un coureur de jupon, pigé ?

    Mouais bon, j’dis pas toute la vérité, s'il  fait plusieurs coups d’affilé c’est surtout parce-qu’il veut un peu d’affection ou d’action, c’est tout, il  admet que sur ce sujet Il est un véritable connard, MAIS BON, il n’est pas du tout contre passé d’une relation d’un soir à une relation sur le long terme, ça c’était clair et net.
    Et pis, chercher lea prince.sse charmant.e comme dans les livres c’est un peu barbant aussi, si on veut quelque chose, on doit se donner les moyens de le chercher et de s’en emparer, enfin c’était sa philosophie.

    C’était à son tour de poser une question, mais personnellement il pouvait simplement se contenter dévorer des yeux l’homme qui était attablé devant lui, il se mit d’ailleurs à son aise, ses deux coudes posé sur la table, ses mains soutenant son menton, son regard vert pétillant. Maintenant qu’il y pensait, cela faisait un bon moment qu’il n’a pas passé la nuit avec un.e noble, pour une fois qu’il se rendait dans la haute-ville pour autre chose que se rendre à son cours à l’académie magique.

    Bon, Tout ceci allait un peu lentement à son goût, pourquoi ne pas accéléré les échanges un coups ? Après tout depuis tout à l’heure il ne savait sur quel pied danser, un coup le vouvoiement, un coup le tutoiement, y’en a marre. Il allait prendre les rennes de cette discussion.
    Êtes-tu toujours ainsi ? J’veux dire, charmeur, irrésistible avec un grand I, avec toute les personnes suffisamment courageux ou juste inconscient qui aurait eu l’idée de venir t’aborder ?

    Il n’avait aucune attente à cette réponse, et c’était là toute la beauté de la question, il s’interrogeait vraiment pour le coup, sans arrière pensée. Qu’est-ce que ce beau noble allait le lui dire ? qu’au final il était un peu comme lui, ou qu’a l’inverse il ne sautait pas sur la première viande fraiche qu’il voyait ?
     


     

    NiKlaus.





    Gaby mon bae .




    ©Codage sur Natu~ sur Libre Graph'

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    la nymphe & le cerbère. avec Gaby & Niklaus +

    Gabryel est un homme qui aime la complexité et les choses contradictoires. En l'occurrence, ici, il trouve l'honnêteté d'une personne à la fois déplaisante et étrangement attirante. Pour lui la franchise n'est synonyme que de problèmes et de faiblesses. Car c'est en rendant nos paroles sans faille que l'on offre à son interlocuteur de quoi nous battre. Il était un poil trop parano, le militaire, mais il ne pouvait guère enlever cette idée farfelue de sa tête, elle était incrustée depuis plus d'une quinzaine d'années, à l'époque où les guerres étaient sa seule occupation. En bref, lorsqu'il vit dans les yeux de Klaus passer un éclair de sincérité, il ne put s'empêcher de froncer des sourcils. Ça l'embêtait le général d'avoir affaire à ce genres de personnes, mais ça rendait la chose drôlement dramatique. Au fond, il l'aimait bien lui et sa façon de faire, mais il ne l'avouerait jamais. Alors il l'écouta déblatérer de façon métaphorique sur ses relations sociales en les comparant aux alcools -que par ailleurs ils continuaient tous deux à boire-. Sur ce point ils se ressemblaient. Aller butiner à droite à gauche, juste pour le plaisir et l'amusement pas spécialement pour trouver la fleur parfaite. Puisque la fleur parfaite, à son sens, c'est lui-même, et se marier à lui-même... C'est difficilement réalisable. En tout cas il se retrouvait un peu dans cet homme, bien qu'ils aient tout de même de grandes différences. Gabryel se mua dans un silence religieux pendant que celui aux yeux verts continue de parler en affirmant haut et fort qu'il n'est pas un coureur de jupon... Même un enfant aurait du mal à le croire. Riant légèrement en faisant un signe négatif de la tête pour lui faire croire qu'il ne le pensait pas, le noble lui offrit un regard charmeur, toujours accoudé sur la table, une choppe pleine à la main.

    Bien qu'il aimait faire ça différemment, il avoue trouver le fait de se renvoyer chacun des questions l'un après l'autre comme s'il se passait une balle, ça l'amusait un peu. Ça rendait cette discussion plus attrayante. Et puis, à dire vrai, cet échange de paroles a vite dérivé et Gaby le voit clairement dans le regard de Klaus et son sentiment se confirme à l'entente de sa question à lui. Irrésistible, carrément ? Je le savais, mais ça fait toujours plaisir. Qu'allait-il bien pouvoir répondre à ça ? La vérité, il ne connait pas, alors il va falloir manipuler les mots avec précaution pour lui offrir un mensonge tissé à partir de quelques vérités. Ça ne sera pas totalement faux, mais pas totalement vrai. On ne pourra pas lui reprocher d'avoir délibérément menti. Et puis au pire, c'est lui qui est venu parler en premier, le caldissien chef d'armée n'a jamais demandé quoique ce sois. Commençant déjà à se plaindre et s'innocenter dans sa tête, il se concentra sur la conversation. Bon, l'Evergarden avait décidé de prendre les rennes de cette altercation, sauf que ça malheureusement pour lui le général le refusait. Il haïssait ne pas maîtriser une situation, alors ce n'était certainement pas lui qui allait pouvoir faire ce qu'il veut de cette rencontre. Gabryel souffla un peu, comme pour mimer une gêne par rapport au compliment, et il détourna un peu le regard avant de revenir plonger ses yeux lavandes dans ceux de son nouvel interlocuteur. Cet homme était tout de même assez étrange. Qui aurait eu l'idée de venir comme ça et de l'aborder de cette manière ? Il était téméraire et au fond le général aimait ça. C'est vrai quoi, un type qui sait ce qu'il veut et qui ne passe pas par quatre chemin attirera forcément plus l'attention du trentenaire malgré ce qu'il peut en dire. Bref, il fallait répondre :

    « Tu es donc plutôt le gars courageux ou l'inconscient ? » Lui souriant, espiègle, il continua. « Mon métier n'est pas spécialement charmant. Cependant, ma classe sociale m'oblige à agir de cette manière, à peu près. Mais... Parfois, c'est simplement parce que la personne en face de moi me donne envie d'essayer d'être irrésistible comme tu dis. »


    Gros sous-entendu pour lui dire : c'est toi que j'veux. Subtile sans l'être, c'était du Gabryel tout craché. Et comme prévu, il enchaîna à son tour sur une question, lui renvoyant la balle et ainsi le laissant répondre à ses paroles :

    « Je m'excuse d'avance, le travail m'appelle... » Il laissa une seconde ou deux de flottement et saisit la main de l'ex lieutenant et en posant doucement ses lèvres sur le dessus de celle-ci, il lui demanda. « Mais, si je peux me permettre, j'aimerais continuer cette discussion un autre jour... Alors, lorsque tu seras libre, n'hésite pas à venir à la caserne, je me libérerai pour toi. Je te ferai visiter un peu la ville-haute et si tu le souhaites on pourrait se faire un repas dans ma résidence, pour faire plus ample connaissance ? »


    Lui offrant des yeux de merlans fris et un sourire tout droit sorti du paradis, Gabryel avait ainsi reprit les rennes de la discussion de façon discrète.
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    La Nymphe et le Cerbère .

    ♫Only a genius can love a men like you  



    Il était simplement gêner ? Comme lui-même tout à l’heure, sauf que là, dans ce cas, c’était bien plus plaisant à voir, ce qu’il lui a dit lui a fait de l’effet apparement, Klaus lui faisait de l’effet tout court. Et il faut dire que ça lui plaisait, plus qu’il l’admettait, il s’était écoulé à peine un instant pour que l’homme en face de lui replonge ses yeux mielleux dans les siens, pas de toute, il voulait continué cette discussion et posa d’ailleurs une nouvelle question, qui était une très bonne question, par quoi le caldissien allait-il lui répondre ?

    Et ce n’était pas tout, l’autre homme avait encore quelque chose à dire, et ses paroles touchèrent fortement le magimorphe, qui ne put s’empêcher de rire, rictus rauque qui s’accompagna d’un  sourire, révélant clairement au général, qu’il était très très enjoué de lui plaire également, il savait manier les mots, il n’y avait aucun doute là-dessus en même temps, le Vénomania n’était pas un homme de pâturage, NiKlaus lui répondit sur le même ton charmeur de son prédécesseur :

    Un peu des deux surement ? l’inconscient lorsqu’il s’agit d’aider quiconque dans le besoin, que je me fourre dans la merde ou non & courageux, quand il s’agit d’aller aborder, l’homme un charmant & mystérieux homme atablé à une table seul et disposant d’un très bon alcool qui plus est…
    Il était fort heureux de converser avec cet homme, mais, une idée lui vint à l’esprit, c’était avare de sa part d’aspirer à une tel chose, mais pour le coup, la satisfaction serait si belle, si sensationnel, il devait tenté de lui faire admettre tout haut que le magimorphe lui plaisait énormément, reste à savoir comment il allait s’y prendre maintenant.

    Attendez quoi ? Le travail ? Mais… ils étaient au beau milieu de la nuit, Klaus ne voulait pas s’avancer mais il devait peut-être avoir déjà excédé les douze heures de minuit ? Il n’en savait trop rien, il avait beau ne pas être « trop » alcolisé, il avait plus ou moins perdu toute notion du temps en compagnie de son aîné, comme quoi, il captait vraiment mais vraiment toute son attention et il devait probablement le savoir.

    Klaus s’apprêtait a entamé une bouille triste, prêt à battre des cils pour qu’il reste un peu plus longtemps et si jamais il n’y arrivait pas, il n’aurait plus que de choix, le premier serait de lui sauté dessus et l’empêcher de bouger, où le second de l’amadouer avec encore plus de mots doux, bon ils étaient en publique et il était un peu le plus haut représentant des forces de l’ordre, le choix était vite fait.

    Toutefois contre toute attente, il en profita pour dérober sa main, non pas celle avec sa prothèse mais l’autre, il y laissa un doux baiser qui fit bien entendu frissonner Klaus, à la fois de stupeur, mais fort heureux de ce geste romantique, cependant bien que Klaus était profondément touché par ça, le résultat restait le même, il allait devoir s’en aller.

    Mais… il le lui avait vraiment dit ça ? C’était un très grand honneur, en effet… mais il comptait vraiment s’en aller comme ça ? Sans rien de plus ? Le caldissien s’était fait un peu trop d’illusion sur comment aurait pu tourné sa soirée, et dans chacune de ses illusions cela se finissait soit à son appart soit au sien, Monsieur ne couchait pas le premier soir ? Alors ça, il allait le faire changer d’avis et vous allez pouvoir constater qu’il n’allait pas lâcher le morceau.

    Il allait vraiment fondre devant son regard, mais dommage pour lui, il était déterminé là, à le faire rester un peu plus avec lui. Tout d’abord pour répondre à son geste de tout à l’heure, Klaus amena sa main gauche sur la sienne, extirpant sa main droite, il alla la placé à la joue de la nymphe, heureusement, comme tout être vivant, celui-ci était plus ou moins chaud, il ferma les yeux, arborant toujours son sourire calme, en les re-ouvrant il se mit a parler :

    Je comprends et j’accepte avec joie ton invitation, d’autant plus si elle me confère le droit d’avoir de tel droit, toutefois… un général aussi noble et fantastique que toi ne bénéficie pas de privilège les plus fantastiques qu’il soit ? peut-être même que l’un d’entre eux pourrait possiblement te permettre de remettre cette patrouille nocturne plus tard et de plutôt passé un bon moment nocturne à mes cotés chez moi ?

    Oui bon, c’est tous ce qu’il avait trouvé à dire, et puis ce message en disait long : je te veux, allait-il donc mordre l’hameçon et écouter son cœur et son corps et le rejoindre, ou rester cramponnez à la sage parole de sa conscience ? enfin, si elle y est toujours après ses quelques verres d’alcools…


     

    NiKlaus.





    Gaby.




    ©Codage sur Natu~ sur Libre Graph'
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    la nymphe & le cerbère. avec Gaby & Niklaus +

    Les réponses de Klaus étaient très intéressantes et Gaby aimait bien la manière dont il lui répondait. Le jeune était un peu naïf, mais ça le rendait dans un sens attirant. Car le noble ne pouvait pas le nier : il était attrayant. Assez pour retenir son attention, tout du moins. A la fois courageux et insouciant, doux et provocateur et manipulé comme manipulateur. Dans ses yeux Gabryel pouvait clairement y lire toutes ses attentes. Son regard et sa moue triste arrachèrent un sourire au général. Il n'était pas de ceux touchés par une petite larme à l'oeil, cependant il devait bien avoué que faire semblant de l'être l'aiderait forcément à passer une nuit très intéressante aux côtés de cet énergumène aux airs insatisfaits. Le jaugeant d'un regard, le militaire fut très surpris de sentir un contact chaud et bienveillant sur sa joue. Pendant deux secondes il crut bien que l'autre viendrait lui voler un baiser mais ce ne fut pas le cas (malheureusement ?). Son regard passait inlassablement de ses deux pupilles vertes à sa jolie bouche rosée. Mais lorsqu'il articula sa demande avec un léger timbre de voix niais, Gabryel craqua littéralement. Bon, tant pis. Ils en avaient tous les deux envie alors après tout pourquoi pas ? Même s'il pouvait tout à fait être un assassin engagé pour le tuer dans son sommeil franchement peu importe à ce moment là il n'en avait pas grand chose à faire. La seule chose à rectifier dans cette élégante proposition c'était le fait qu'ils allaient devoir passer la nuit chez le caldissien bronzé. Impossible pour Gabryel qui ne se voyait clairement pas dormir autre part que dans ses luxueux appartements. Alors il eut une petite idée. Le général sourit à son ex-collègue en posant sa main par-dessus la sienne et ferma un instant les yeux pour profiter de contact qui était ma foi fort plaisant. Tant pis pour ce soir, ça me fera penser à autre chose qu'au boulot après tout... Il peut bien servir à ça. Il rouvrit ses iris pétillantes et se pinça la lèvre inférieure avant de lui répondre :

    « Laisse moi au moins t'amener chez moi alors. »


    Appelant d'un signe de main le gérant, il paya la note de Klaus ainsi que la sienne et lui tendit la main pour l'emmener à l'extérieur de la taverne. Il le lâcha quelques secondes et s'approcha de deux soldats habillés de bleu pour leur expliquer que pour des raisons "personnelles" il ne serait pas présent aux rondes nocturnes. Revenant vers la source de son bonheur de ce soir, la perche passa un bras par-dessus ses épaules et attrapa sa main pour nouer ses doigts aux siens, il le guida dans les rues sombres et ils arrivèrent bien vite à un tout autre monde. La parfaite Ville-Haute. Gaby se demanda si son partenaire d'une nuit était déjà venu ici auparavant. Alors qu'ils traversaient les rues désertes pour dans cinq bonnes minutes atteindre sa demeure, le militaire prit la parole, l'esprit un peu tourmenté par l'alcool qui commençait à se faire sentir.

    « Tu sais, les effusions de sang que tu évoquais lorsque je t'ai demandé les raisons pour lesquelles tu as quitté l'armée... Je crois que parfois, elles me hantent. »


    Il avait dit ça en fixant le ciel étoilé et dégagé, l'air un peu ailleurs. Au fond, il le pensait. Mais clairement il ne le dirait jamais en temps normal. Il se racla la gorge et la perche regarda un peu son accompagnateur en souriant. Peu importait ce qui lui répondrait à ça, peu importe même s'il ne répondait pas. Ce n'étaient juste que des paroles lancées comme ça. Ils arrivèrent enfin devant la somptueuse maison du militaire et celui-ci n'attendit pas avant d'ouvrir la porte. Face à eux un grand salon plongé dans le noir, mais Gaby se détacha de Klaus pour aller allumer de quoi illuminer un peu la pièce. Ainsi l'on pouvait apercevoir sur le mur face à eux un portrait familial. Son père, Sebastian aux côtés de sa charmante mère, mais surtout sa tendre soeur qui semblait donner toute son importance à ce tableau. Soupirant avec un sourire en observant le visage de sa soeur, il se retourna vers son interlocuteur et s'approcha doucement de lui. Plein de sensualité et de désir, il lui demanda, l'air tout à fait sérieux :

    « Quelque chose te ferait plaisir ? Tu veux quelque chose de spécial, n'hésites surtout pas, Klaus. »


    Qu'il lui demande une nuit endiablée ou juste un verre de vin, Gabryel lui donnerait. A présent, c'était à l'Evergarden de reprendre maladroitement les rennes de cette soirée. Ne me déçois pas, Niklaus.
    Spoiler :
    kyro. 017 ldd

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    la (magnifique) Nymphe et le (beau) Cerbère.

    Les Ships « humains » c’est encore plus beau que les chats, omg j’suis so fan



    Allait-il vraiment accepté sa contre-proposition ? C’était ce à quoi aspirait le métisse, il avait vraiment tout sauf envie de le quitter maintenant, c’était sa chance, inespéré d’avoir possiblement la plus belle conquête qu’il n’ait jamais eu auparavant, dis comme ça ce n’était pas très flatteur mais, pourtant il pensait ça avec énormément de sentiment affectif. L’homme au cheveux d’une pareille couleur à la neige éternelle, au teint craie, aux yeux de deux merveilleux joyaux d’un éclat à la fois étincelant & envoutant, lui faisait tourné la tête, battre des cils, accélérait sa pression sanguine, lui faisait tout simplement perdre le contrôle de ses sentiments, révélant un sourire, laissait des pigmentation rouge sur ses joues. Le faisait agir comme un imbécile, pouvait lui faire perdre le fil, le faire bégayer.

    Il lui plaisait tout simplement, c’est drôle, il se croirait vraiment dans une histoire à l’eau de rose. C’était tout simplement merveilleux, Enfin le général craqua, l’idée semblait plus que lui plaire, et ce pincement de lèvre était tout simplement délicieux à voir. Cela ne lui dérangeait absolument pas que ça soit chez l’un ou l’autre, il s’en foutait. C’était la nuit qui l’intéressait, quoique il était plutôt curieux de savoir à quel point pouvait être d’une douceur les draps des logements de la Ville-Haute.

    Son « rencard » du s’absenter afin de prévenir ses subordonnées du changement de plan, cependant juste avant il eut la galanterie de payer pour leur « consommation » alcool qu’il avait d’ailleurs pas entièrement fini, et qu’est-ce que Klaus fait dans ce cas là ? La réponse était des plus évidente, il allait se dépêcher de finir ça d’une traite et en une seule décente. Ne manquant pas de s’essuyer la bouche avec les vêtements sur son bras, mouais pas trop trop élégant, mais Gaby n’avait rien vu, donc ça allait.

    Celui-ci revenait déjà, toujours aussi enjoué par l’idée de se retrouver ensemble dans un lieux un peu plus « intime » Celui-ci prenait d’ailleurs le devants, enroulant son bras sous l’épaule de son cadet joignant ses doigts aux siens, un frisson partant de l’échine du magimorphe se diffusa bien assez vite en lui, ce geste si romantique en disait long sur les sentiments de Gaby, qui fit d’ailleurs rougir un peu plus le magimorphe. Les deux hommes marchèrent alors cote à cote jusqu’à atteindre la si élégante ville-haute

    Son accompagnateur n’avait pas relâcher la pression de ses mains dans les siennes, lorsqu’il l’entrainait dans une zone d’ombre, quand bien même le deux caldissiens pouvaient plus que bien se défendre, c’était tout de même touchant. Klaus détacha ses yeux de la chevelure du Venomania, pour un peu plus admirer la rue, si différente des rues dont il avait pour habitude de côtoyer, il ne venait que par ici pour accéder à son académie de magie, il était plutôt rare qu’il y couche la nuit, Il finit par arrêter de contempler la ville, lorsque la nymphe lui parla de quelque chose, auquel Klaus ne s’y attendait absolument pas, il reprit en un éclair un ton un peu plus sérieux et d’avantage de concentration, enfin le peu qu’il pouvait après les nombreux verre d’alcool de cette nuit là, il posa dans un premier temps sa tête sur l’épaule du général, ferma les yeux et lui murmura
    Je pense qu’on y souffre tous d’une manière ou d’une autre, tu y as peut-être passé plus de temps, vu plus d’horreur que moi-même, on s’y fait un moment ou un autre… surtout si on a une tierce personne qui peut nous faire oublier ces mauvais songes.

    Pour la première fois, dans cette soirée, il n’avait pas été sincère avec lui, les effusions de sang d’avant lui manquait quelque peu, il avait été traumatisé par la guerre mais aucunement par ça, mais bon, ça ferait très très tueur en série de le lui dire ainsi, autant cacher cette partie de lui et le lui révéler un autre jour.
    Toutefois, il ne semblait pas franchement, rassuré par sa réponse, il se contentait d’admirer le ciel sans l’astre solaire, dans une nuit galactique où nombre d’étoiles étaient visible, il semblait si songeur, NiKlaus se sentit d’un coup inquiet, Gaby paraissait d’un coup bien plus sans défense, laissant ses marques bien qu’invisible à l’œil nu, bien reconnaissable entre mille pour le vétéran. Il faudrait vraiment qu’il l’aide pour ça, l’aider à se confier sur les différents événements qui aurait pu le traumatiser, enfin bon si il oubliait pas ça avec l’alcool demain.

    Finalement, ils arrivèrent enfin à destination, là où tout allait se passer, entre ses quatre murs, à l’abri des regard indiscret, des ragots, du monde extérieur. Il entra sans être intimidé par l’immensité du lieux, il était surtout admiratif, et curieux de connaître l’architecture, les coutures de cette grandiose maison, offert au général caldissien par le gouvernement. Celui-ci d’ailleurs, s’éloigna quelque peu de lui, mais restait toujours à protée de vu du magimorphe. Lorsque la lumière fût, Niklaus avait les yeux qui piquaient, mais ça allait. Il était émerveillé par la beauté du salon, et ce n’était qu’une des nombreuses pièces qui composait le palace.

    Des tableaux étaient aussi présent aux murs, Gabryel était d’ailleurs juste en dessous de l’un d’entre eux, Lorsque Klaus y jeta un coup d’œil de là où il était, il pu admirer beaucoup de portrait, tout aussi beau les un que les autres, mais beaucoup d’entre eux, avait un ou plusieurs même attribut semblable à ceux de Venomania, sa famille sans aucun doute. Le noble s’approcha d’ailleurs de nouveau de lui.

    Klaus, le regarda venir, un sourire en coin, il s’adressa à lui avec un ton si envoutant, et tout aussi sérieux, sa demande était claire et net, et Klaus savait que lui répondre, mais pouvait-il vraiment ? faire ce qu’il s’apprêtait à faire, la classe sociale, leur juridiction, leur personnalité était si différents, un noble et un roturier pouvait-il vraiment s’abandonner à ce genre de pratique ? mais pourquoi pensait-il à ça ? qu’en avait-il vraiment à foutre au final ? Ce n’est pas comme si il risquait sa vie à rester avec lui, et quand bien même c’était le cas il était totalement prêt à tenté sa chance.

    Il haussa la voix, d’abord avec difficulté, il se mit un sourire de toute ses dents, laissant révéler les quelques pointues qu’il avait hériter de son espèce de magimorphe, c’était affreux, il se sentait revenir à ses 20 ans, où lorsqu’il était dans ce même genre de situation, sa vue se brouillait, il était si rouge qu’il était parfaitement tétanisé par faire quoique ce soit, mais ce n’allait pas arrivé, pas ce soir. Il était sûr de lui, confiant, en ses sentiments et en Gabryel, il s’avança d’une enjambé dans sa direction, il pouvait encore plus entendre sa respiration, et si il y prêtait vraiment attention, son rythme cardiaque qui était grandissant à mesure que les secondes passaient.

    Il lui posa cette question : C’est idiot mais… bon et puis merde il posa une main sur son épaule, approcha sa tête doucement, tout doucement, soufflant du nez, sa main qui était d’abord entreposer sur l’épaule du noble, se plaçait désormais sur son menton, le regardant les yeux dans les yeux et suite à ça, Klaus lui fit cadeau, d’un premier baiser qui sans aucun doute, amenait à une longue série.


     

    NiKlaus.





    Gaby.




    ©Codage sur Natu~ sur Libre Graph'

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    la nymphe & le cerbère. avec Gaby & Niklaus +

    Il s'écoula un moment durant lequel Gabryel s'abandonna à ses pensées alors que son regard était plongé intensément dans celui de Klaus. Il songea à ce que cela pouvait bien faire d'être follement amoureux d'une autre personne que lui-même. Au fond, il n'a jamais cherché à offrir son coeur à quelqu'un pour la simple et bonne raison qu'il ne voulait pas avoir une faiblesse aussi voyante. Car sentiment trop fort est égal à manque de force, pour lui. Pas dénué de sens venant d'un général ayant côtoyé la guerre pendant vingt longues années. Il avait vécu avec à ses côtés la mort. Présente tous les jours, à chaque instant, il en avait même prit l'habitude. Pourtant il sait que c'est cette morbide colocataire de batailles qui l'empêchait de trop s'attarder sur le sentimental. Et même si la paix bancale actuellement mise en place est censée empêcher les nombreux décès, personne ne sait jusqu'à quand elle durera. Une chose est certaine c'est que le goût de cette accalmie sera plein d'amertume. Peut-être un jour le noble caldissien à l'ego surdimensionné et au caractère si détestable trouvera quelqu'un pour qui il offrira sans hésitation les plus grandes merveilles de ce monde voire même sa propre vie en échange du bonheur éternel de son.sa bien aimé.e. Ce jour n'est cependant pas arrivé. Malheureusement pour le séduisant jeune homme aux pupilles verdoyantes, Gaby n'est pas prêt à éprouver le moindre sentiment amoureux. Il ne ressentait même pas une once d'affection. Seule la luxure le poussait à agir de la sorte avec son ex-collègue. Peut-être dans un univers parallèle, où la guerre n'est pas, le Venomania formerait un splendide couple avec l'Evergarden. Mais, ici à Yggdrasil, cela n'arrivera jamais. Le militaire aux cheveux ivoires regrettera possiblement cette décision de ne pas ouvrir son coeur à cet homme, mais il était décidé et rien ne le ferait dorénavant changer d'avis. C'est en quelque sorte la faute au destin... Se dédouanait-il intérieurement, un brin arrogant.

    Alors suite à un juron maladroit, la proximité entre eux se fit de plus en plus conséquente. Le sourire de Klaus se trouva être contagieux puisque instinctivement Gabryel l'imita et étira ses lèvres. Doucement, tout doucement, l'autre vint placer sa main sous le menton du noble et ensemble ils échangèrent un premier baiser. Plutôt anodin aux premiers abords, il se trouva être d'une légèreté que le général ne comprit pas tout de suite. Hm... L'alcool. Le liquide avait eu le temps d'atteindre l'esprit du grand gaillard qui laissa ses mains s'aventurer sur les hanches de son amant d'un soir. Ou peut-être de deux ou trois soirs... Les embrassades se firent plus intenses, plus passionnées et ils apprirent ainsi à se connaître alors qu'il y a si peu de temps ils étaient de parfaits inconnus. Tout va toujours si vite avec Gaby. Il forge un lien rapidement, puis le détruit aussitôt. Et au fond il savait que ça allait finir de la même façon avec cet homme qui semblait pourtant si docile. Après de splendides heures que le général n'est pas prêt d'oublier, Klaus s'était endormit à ses côtés. Ainsi, il paraissait si frêle, si... beau ? Le militaire se fichait bien du physique, mais il accrochait bien à celui-ci. Il ne trouvait pas le sommeil, tiraillé par ses songes. C'était toujours comme ça lorsqu'il buvait, malgré la fatigue il ne dormait que très peu et se creusait la tête jusqu'au levé du soleil. Il tentait de trouver refuge auprès de l'homme endormi à ses côtés. Caressant du bout des doigts la peau basanée de son compagnon, il n'osa pas briser son sommeil et se montrait donc très doux. Un sourire triste accroché au visage, il déglutit difficilement, la gorge serrée. Il sentait qu'il avait l'alcool triste et ça ne lui allait pas. Il se blottit contre le corps chaud de Klaus, sentant qu'il commençait à frisonner. Fermant les yeux dans l'espoir de tomber dans les bras de Morphée, ce ne fut pas le cas. Alors lorsqu'il fut l'heure, il pressa doucement le bras du téméraire et lui offrit comme première vision matinale son sourire angélique, et après avoir déposé sur ses lèvres un tendre baiser il prit un air candide laissa sa tête se poser sur l'épaule de l'Evergarden :

    « Reviens me voir, s'il te plaît. »


    Il ne devait pas jouer ainsi avec les sentiments, mais il avait besoin de... réconfort ? D'attention ? ... Il ne sait pas trop. Il veut juste finir cette journée et dormir.

    END.
    kyro. 017 ldd

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