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  • [rp libre] Le donjon des revenants
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    Le dragon n'est plus, miracle est arrivé. Yggdrasil a protégé sa cité. Des mois de siège éreintant cessent, la ville millénaire respire à nouveau. Chaque soir, sous la lueur émeraude et bienveillante du grand arbre, les éossiens fêtent et célèbrent ceux tombés au combat. Après tant d'épreuves, la ville semble reprendre vie...
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    「 La mort nous appelle 」
    La lune éclairait le ciel étoilé. Il était presque minuit. La forêt du cerf blanc était calme. Le vent soufflait légèrement sur les feuilles des arbres. Ce silence était tout de même inquiétant pour ceux qui n'avaient pas l'habitude du monde de la nuit. On pouvait s'attendre à voir apparaître tout et n'importe quoi.
    D'ailleurs, le son d'une charrette qui roulait à toute allure résonna dans la forêt. Tractée par deux chevaux, elle filait à toute allure sur un chemin de terre emprunté par les nombreux promeneurs et bûcherons. Mais où allait-elle ? A son bord se trouvait un homme à ses rennes et une femme à l'arrière. Celle-ci s'accrochait fermement à tout ce qu'elle pouvait pour ne pas passer par dessus bord. Deux torches accrochées à la charrette permettaient de voir un peu mieux dans cette pénombre. Par contre, le plus inquiétant, c'était ce qu'il y avait derrière eux. Deux créatures étranges les coursaient. Leurs yeux scintillaient dans l'obscurité. Elles allaient bientôt les rattraper.

    L'archère arriva à trouver un peu d'équilibre dans cette folle course puis visa en direction d'une cible à l'aide de son arme. Elle était sur le point de décocher sa flèche quand tout à coup, la charrette se renversa. L'un des cheval reçu une flèche sur le côté et cela créa une réaction en chaîne qui conduit tout le monde à quitter la route. Le petit groupe heurta un arbre et cela signala la fin de leur parcourt. Les deux personnes furent catapultées plus loin et la chute ne les laissa pas indifférent.

    Pendant ce temps, Volf avait été engagé pour retrouver la trace d'un homme disparu dans cette forêt. C'était récent alors celui-ci pouvait encore être vivant avec un peu de chance. Il avait eu vent d'une rumeur qui circulait en ce moment; celle qui racontait qu'on en revenait jamais si on s'y aventurait très tard. Et surtout lorsqu'on se rapprochait des profondeurs. Des créatures étranges y roderaient.

    Le mercenaire avait entendu le brouhaha que la charrette avait fait un peu plus tôt. Il avait donc pistait l'origine du bruit et pu observer la scène de loin. Grâce à ses gênes de loup, il arrivait à plus au moins voir dans l'obscurité. Mais il était beaucoup trop loin pour aller les sauver à temps. Il tenta de se rapprocher au plus vite, se faufilant à travers les arbres. Les créatures se précipitaient dangereusement des deux blessés. Le chauffeur de la charrette se redressa avec peine et dégaina son épée alors que l'archère resta au sol avec un mal de crâne. Et afin de gagner quelques secondes, le musicien qu'il était, dégaina sa flûte, remplit ses poumons d'air et joua un son strident qui se transforma par la suite à une petite succession de note ressemblant fortement à une mélodie. Le tempo était rapide pour attirer l'attention de tout le monde.

    Fort heureusement, les torches n'enflammèrent aucun arbre. Mais la chance pouvait tourner à tout moment. Il y avait clairement quelque chose de suspect dans les parages. Il n'avait jamais vu ce genre de créature jusqu'à aujourd'hui. Des sortes de chiens en décompositions. Il avait entendu parler de la magie de nécromancie mais ne l'avait jamais vu à l'oeuvre. Était ce lié?

    Les sons de sa flûte retentirent dans la forêt, captant l'attention de ceux qu'il voulait, tout comme ceux qui étaient encore ignorant de leur situation. Peut être que le cerf blanc sera là pour les sauver ? En tout cas, il était surtout impatient de voir ces bêtes d'un peu plus près. Derrière son masque il souriait d'excitation, lui qui n'aimait pas s'ennuyer, il allait être servit.

    Spoiler :

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    la Mort nous appelle.

    ♫ Qu’elle vienne, je l’attendrais.♫




    C’était une belle soirée qui s’annonçait là, Calme, pas trop froide, c’était un bon moment opportun pour effectuer une petite promenade, il n’a pas pris le temps d’apporter de l’alcool avec soi, puisqu’il voulait profiter d’un moment de calme pour réfléchir à ce qui s’était passé un peu plus tôt dans la journée, l’Émissaire avait écouté malgré lui une discussion qu’il n’aurait jamais dû, deux Émissaire et un Conseiller que Klaus avait déjà aperçut de nombreuse fois tous trois caldissiens tenaient des propos assez xénophobes à l’encontre des éossiens, vous imaginez bien que Klaus N’était pas franchement d’accord avec eux ? Il aurait bien voulu débouler comme ça dans leur conversation et leur faire la moral sur ce cas, mais ce serait une idée totalement stupide, nah, il allait la joué fine.

    C’est pour cela que ce matin, Klaus s’était entièrement chargé de tout ce qui était demande d’aide et si possible de provenance de citoyen eossien, c’était peut-être mal vu de faire ça, mais il faisait en sorte d’en accepter le plus, bien entendu il lisait chacune des demandes, leurs comptes, leur situation de vie, mais il n’empêche qu’il en faisait passé, un peu beaucoup ?
    Il aurait probablement des problèmes puisque l’un de ses supérieurs s’en rendrait possiblement compte mais il s’en fichait, il pensait avoir agis au mieux et c’est tout ce qui l’importait.
    Qu’est-ce qu’il risquait au final ? Il n’avait jamais fais d’écart auparavant, et il était plutôt bon travailleur, il n’allait pas perdre son travail.

    Enfin bref, pour revenir à sa balade, elle fut très vite interrompue par un cri, venant du centre de la forêt, si quelqu’un était en détresse, il devait y aller, c’était son devoir en tant que citoyen d’intervenir, toutefois, il n’irait pas très vite à 2 pattes, si bien, qu’il se transforma complètement gagnant en célérité et arriva bien plus vite qu’il n’y pensait au lieu de l’accident, il mit fin sa transformation et se cacha dans les ténèbres qu’offrait un arbre, de là il avait une vision de ce qui se passait, une chance que les torches étaient toujours allumées, il était soulagé de voir les deux humains au loin en vie, néanmoins il ne pouvait pas se précipité à leur secours, il avait compris que quelque chose clochait, une présence cadavérique était perceptible, du moins plutôt l’odeur était perceptible, un corps étaient-ils en décomposition non loin de là ?


    Klaus tourna la tête cherchant vers l’odeur en question et il les vu, ces cadavres de chien animé, de la nécromancie à coup sûr, une magie horrible, manipuler des êtres morts ainsi, que ce soit des êtres humain ou des animaux, tous avaient droit au repos éternel, une magie interdite, qui pouvait donc être l’auteur de ça ?

    Klaus était-il en colère ? Complètement, allait-il réduire ces mort-vivant en charpie ? OUI. Il s’apprêtait à agir lorsqu’il entendit un son mélodieux, un instrument de musique ? Ici ? Mais qu’est-ce qu’un troubadour peut-il bien faire ici ? En tout cas il avait détourner l’attention de ces monstres, mais ils semblaient assez rapide, sauraient-ils les repousser tout seul ? Probablement, mais Klaus ne voulait franchement pas parier sur ça, aussi bien, il sortit de sa cachette et usa de sa magie de conjuration et décida de faire appel à des lapins dans le but de détourner l’attention des cabots

    Il regarda en direction du musicien, qui dans le clair de lune reflétait un masque qui cachait entièrement sa tête, de plus il avait un look très extravagant, qui plaisait beaucoup à Klaus, par ailleurs, des bandelettes étaient visible sur son corps, cela ne faisait aucun doute, il savait visiblement se battre, ils allaient donc repousser l’ennemie sans accroc, enfin il l’espérait, il cria dans sa direction avec un ton taquin,

    Ça devrait aller vite, après ça on s’occupe des autres, okay ?

    A ses mots son petit groupe de lapin qu’il avait invoqué un peu plus tot au nombre de 5 gambada en direction des monstres, tandis que Klaus fit transformer ses deux bras en pattes acérées, dire que cette situation lui rappelait L’armée et le gout de la bataille, il allait vraiment pas s’ennuyer.
     


     

    NiKlaus.





    Volf :muhu:




    ©Codage sur Natu~ sur Libre Graph'

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    「 L'étau se resserre 」
    Alors que Volf étant en plein élan pour se diriger vers le champ de bataille, il sentit la présence de quelqu'un d'autre. Son regard se porta donc ver lui. Il y avait un homme dont les bras s'était changés en pattes aux griffes acérées. En plus il avait invoqué des lapins qui se ruaient aussi vers le lieu du combat. Ce n'était donc pas un ennemi, du moins pour le moment. Tous les deux semblaient avoir le même objectif, celui de se débarrasser de ces monstres mort-vivants. Il ne répondit pas à la question de cet inconnu car il n'avait pas l'habitude de travailler en équipe. Par contre il lui semblait l'avoir déjà vu quelque part...

    Les chiens en décomposition avaient été perturbé par le son de flûte et ne regardaient plus en direction des deux voyageurs. Ces derniers en profitèrent pour prendre un peu de distance. Le chauffeur savait qu'avec sa blessure, il n'allait pas être performant et l'archère ne pouvait pas se concentrer et tirer avec exactitude. Ils se rejoignirent un peu plus loin, laissant les deux nouveaux arrivants s'occuper du problème. Ils auraient pu les attendre ou les remercier, mais ils avaient leur propre mission à accomplir.

    Le mercenaire profita à son tour des lapins qui servaient de leurre. Il arriva à proximité d'un chien et lui balança une pierre qu'il avait ramassé au passage. Le projectile le déséquilibra et le guerrier masqué pu placer un bon coup de pied dans le ventre. Avec sa force il arriva à faire valser la bête qui se retrouva à quelques mètres plus loin. Plus proche de l'autre inconnu maintenant. La bête n'avait pas mal de part sa condition de mort-vivant mais avait des côtes supplémentaires brisées. En plus son poids était beaucoup moins important qu'avec de la chair complète.

    En continuant sur sa lancée, le musicien se précipita vers l'autre chien. Ce dernier avait le corps d'un lapin entre les dents. Que pouvait faire un pauvre petit lapin, face à une bête enragée et 5 fois plus grande? En tout cas, notre homme pu s'approcher suffisamment pour bondir sur lui et lui atterrir dessus de tout son poids. Sa main était placée sur sa nuque afin de le plaquer au sol. Le monstre se débattait, essayant de se relever tant bien que mal. Et afin d'en finir au plus vite, Volf leva son bras encore libre et frappa de toutes ses forces sur son crâne. La tête du canidé vola en éclats et signa son arrêt de mort définitive. Une bonne chose de faite, maintenant il devait retrouver les deux autres personnes.

    Le loup garou se redressa et jeta un regard au loin pour voir si l'autre ennemi était toujours là. Apparemment, son récent allié était en train de s'en occuper. Mais il ne le connaissait pas, alors il préféra rejoindre le duo qui s'était enfoncé dans la forêt.
    En avançant de plus en plus vers l'endroit où il voulait aller, il sentit de plus en plus l'odeur du sang. Et une fois arrivé à bon port, il retrouva le corps du chauffeur par terre, en sang et sans vie. Il y avait quelque chose d'autre qui rodait donc le coin. Par contre, il n'y avait pas de trace de la femme. Volf s'accroupit proche du cadavre pour l'examiner. Il n'y avait pas de trace de morsure mais plutôt d'une lame. Cependant, face à cette bonne odeur et à la vue de ce liquide rouge, l'excitation du loup garou monta d'un cran. Il adorait cette ambiance de champ de bataille.

    Après quelques secondes, on pouvait entendre des grognements. Ce n'étaient pas ceux d'un animal mais plutôt d'un homme qui avait du mal à parler ou souffrait de quelque chose. On pouvait voir une silhouette se dessiner derrière un buisson. D'ailleurs, il y avait la même silhouette qui se rapprochait dangereusement de Klaus. Elle ne paraissait pas dangereuse car son arme était baissée mais sa démarche était étrange. De plus, elle avait l'air de traîner un corps à ses pieds, celui d'un homme sans vie.

    Sur son chemin, l'homme cerbère aura le choix de se diriger vers cette silhouette ou bien suivre la même direction que Volf et tomber sur le corps endormit de la femme de tout à l'heure. Les profondeurs de la forêt sont désormais ici...

    Spoiler :

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    Le Donjon des Revenants.

    ♫HRP : j’ai adoré l’aventure et c’était grave drôle de faire une scène de combat sous la forme magimorphe de Klaus :lol:



    le Combat allait commencer sous peu, le sang de Klaus bouillonnait d’excitation l’envie de planter sa patte dans une chair bien qu’en putréfaction l’émoustillait, l’homme habillait de pourpre s’était déjà occupé de l’un d’entre eux, parfait, mes lapins se chargeaient tranquillement de faire diversion, le magimorphe jeta une œillade derrière lui et vit le couple d’humain s’entre aider pour s’enfuir & il avait bien raison, Klaus se dis simplement qu’il les retrouverait un peu plus tard,

    Il avait à peine détourner ses yeux que l’un des cabots avaient été projeter non loin de lui, loin d’être surpris le caldissien sourit tranquillement, il se jeta presque immédiatement sur cette chose celui-ci commençait déjà a remuer après le choc qu’il avait reçut, NiKlaus le toisait froidement de ses prunelles vertes et l’acheva sans aucune pitié, il resta braqué sur le corps sans vie, qui cette fois gouterait peut-être au repos éternel, le magimorphe joignit ses mains comme pour une prière et se détourna. Son « frère » de guerre s’en était allé, il était apparement partit dans la direction du couple qui avait battu en retraite un peu plus tôt, Il s’apprêtait à le rejoindre lorsque soudain une silhouette se détacha de l’ombre.

    Loin d’être impressionné Klaus le toisa d’un air de défi, montrant les griffes, cependant la personne qui approchait dans sa direction ne semblait pas intimidé et avait de la même manière qu’au départ, calmement, l’air de rien, comme si c’était parfaitement normale qu’elle soit là, elle trainait quelque chose à ses côtés un cadavre, pas un de ceux qui étaient en cours de putréfaction, animé, un vrai cadavre sans vie, immobile, l’avait-il tué de ses propres mains ? C’était la chose la plus censé.

    Sans baissez sa garde, Klaus le laissa s’approcher, néanmoins il arracha d’un geste vif, un membre de l’animal qu’il avait achever un peu plus tôt et le lança sur la cible qui s’avançait, celle-ci se stoppa au choc du membre en décomposition et lâcha son fardeau, pour la première fois il pointa son regard en direction du magimorphe, comme si il venait à peine de l’apercevoir et d’un coup il se rua sur lui, le vétéran croisa ses bras afin de protéger sa tête, la nouvelle entité possédait elle aussi des griffes acérés éclairée par le clair de lune, elle avait désormais quelques goutes de sang sur elles, les écorchures sur les pattes de Niklaus pouvait le confirmer.

    Il l’avait fait exprès, il aurait pu tout simplement esquiver et riposter aussitôt mais qu’en est il du fun ? Il avait quelque chose derrière la tête, et cette idée lui plaisait énormément d’autant plus que le monstre en face de lui se mettait à 4 pattes lui aussi, Il allait le faire, se transformer complètement.
    Il ne s’était battu sous cette forme que rarement et si possible qu’a huit clos, quand personne ou presque personne pouvait l’observer ainsi, l’esprit en ébullition, sanguinaire, brute, et à 3 têtes, comme le cerbère qu’il était au fond de lui.

    On raconte que leurs créature magique ont été punis dans un réceptacle humain, une punition vraiment ? Je ne vois pas où est la punition.
    Klaus était maintenant sous sa vrai nature et se prépara a esquiver la charge ennemie qu’il réussit de justesse, la bête était des plus rapides et allez lui donner du fil à retordre si il continuait ainsi, puis il  en profita pour riposter, il envoya une de ses têtes sur la patte arrière droite du monstre, tandis qu’une autre l’attaquait de front pour le perturber, une stratégie simple visant à déstabiliser l’ennemie et l’immobiliser, il n’avait nul besoin de mâchouiller sa patte encore et encore, il voulait suffisamment la tordre et entendre le « crac » de ses os

    Dès que ce doux son fut entendu, il sauta sur lui et l’écrasa de tout son point, deux des têtes du cerbère noir de jais bloquait les deux pattes avant, tandis que la dernière, la tête directrice qui contrôlait chacun de ses mouvements de gardaient la meilleure pièce, la nuque de l’animal, il ouvrit sa gueule et sans aucune pitié l’acheva aussi sec, le monstre n’avait même pas eu le temps de faire une plainte pitoyable qui signifiait sa fin. C’était la fin de ce combat, Klaus se présentait que des blessures superficiel au niveau de ses avants bras mais rien de fou

    Klaus repensa à l’autre homme qui était avec lui, si il était toujours dans les parages il avait du le voir à l’œuvre, serait-il effrayé ? Admiratif ? Il était curieux de connaître son ressenti, il braqua alors ses prunelles vertes vers l’endroit où il était partit à l’origine, sa gueule était toujours ensanglanté de l’hémoglobine  de sa victime, c’est sûr il devait paraître terrifiant comme ça.                             .


     

    NiKlaus.





    Le Loup dans Thiercelieux .




    ©Codage sur Natu~ sur Libre Graph'

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    「 Le labyrinthe 」
    Volf essayait de contenir cette pulsion soudaine de faire un carnage. Lorsqu'il sentit cette odeur putride se dégager de la silhouette proche de lui, il porta toute son attention sur elle. A travers son masque, on pouvait voir ses yeux rouges sangs, emplit d'une intensité extrême. Il serrait ses doigts et relâchait la tension immédiatement et ce, de façon répété. Cela traduisait un état instable. D'ailleurs, il s'apprêtait à se jeter sur la silhouette qui était maintenant très visible et armée mais quelqu'un d'autre sortit d'un buisson. Un homme avec une tenue étrange, un masque et un cercueil sur le dos. Celui-ci tenait une sorte de bouclier, surement pour se protéger d'un tel endroit.

    Le mercenaire fut surprit d'une telle apparition. Il l'avait déjà croisé quelque part. Mais le plus étrange, c'était que le guerrier ennemi, passa à coté de l'autre inconnu sans l'agresser. Les deux entités étaient donc alliés. L'homme au cercueil pointa du doigt le bouffon, ce à quoi l'espèce de zombie s'attaqua à la cible. Le loup garou se précipita vers lui aussi, ne voulant pas repousser son envie de sang. Le zombie frappa avec son épée plusieurs fois et érafla le bras de son adversaire. La douleur ne pouvait qu'augmenter la tension et au bonheur de Volf. Ce dernier tenta de le désarmer mais en vain. Le style de combat de l'être mort-vivant était quelque peu étrange. Ses mouvements étaient parfois lents et parfois désordonnés, manquants de précision. Et pourtant, on pouvait sentir la puissance derrière chaque coup donné.

    Pendant le combat, celui qui semblait être le maître de ce zombie, examina le corps du chauffeur décédé. Il lui injecta une espèce de liquide vert à travers la bouche puis récita une incantation. Un cercle magique se dessina sous le corps et une lueur verte s'en dégagea. Quelques secondes plus tard, le corps inanimé du chauffeur se leva lentement. Son visage était vide, d'ailleurs ses yeux ne possédaient même plus de pupilles. Et comme tout à l'heure, l'homme étrange pointa du doigt Volf. Deux zombies étaient maintenant à ses trousses.

    Afin de se dégager de ce problème, il tenta d'en éliminer un rapidement. Il était sur le point d'attraper sa flûte mais quelque chose attrapa sa jambe et le força à tomber. Il pu se dégager de la main en donnant un coup de pied dessus. Cependant, lorsqu'il se releva, quelle fut sa surprise de voir tout un tas de zombies tout autour de lui. Il ne pouvait pas combattre tant d'ennemi et préféra courir vers une direction encore libre. C'était une retraite stratégique. Il avait une mission à accomplir et ce n'était pas le nettoyage de ces zombies.

    De son côté, Klaus avait réussit à battre la silhouette qui s'était avancée vers lui. Il ne restait plus que le corps inanimé d'un homme que le zombie avait tracté avec lui. Sur sa dépouille on pouvait y voir un collier qui scintillait légèrement d'un bleu sombre. Mais le plus inquiétant était l'arrivée d'un groupe de zombies qui s'approchaient dangereusement de l'homme cerbère. Allait il les combattre au point de subir de grosses blessures ? En vérité, au milieu de ce tas de zombies, quelque chose clochait. Certains d'entre eux ne semblaient pas avoir de présence physique, comme si c'était des illusions.

    Par ailleurs, la forêt semble avoir été enchantée d'une magie, du moins sur un grand périmètre, pas entièrement. Il était facile de s'y perdre car à certains endroits il y avait des murs d'illusion, rendant difficile l'orientation. Volf en fit les frais car plus il courrait et plus il retournait sur un ancien chemin. Tout le monde s'engouffrait de plus en plus dans les profondeurs. Il ne pu voir le combat de Klaus à cause de ces différents facteurs mais il avait sentit comme un changement dans l'air quand il avait prit cette forme de cerbère.

    Le cri d'une femme résonna dans la forêt. C'était la femme de tout à l'heure qui s'était réveillée. Il y avait deux soldats décapités autour d'elle. Elle faisait face à un zombie qui n'avait pas été tué et elle s'était mise à courir en direction de Klaus. Elle ne tarda pas à le croiser mais celui-ci avait revêtit une forme de cerbère tout aussi dangereuse que ces zombies. Elle cria à nouveau de terreur et tomba à la renverse. Sa main tremblait mais s'approchait lentement de son carquois afin de décocher une flèche. A ce moment là, elle se rendit compte qu'elle avait perdu son arc et abandonna l'idée donc.

    - Mais qu'est ce qui se passe ici ? Dit elle à voix basse, emplit de désespoir.

    Après avoir reprit ses esprits et ne voulant pas mourir, elle commença à fuir et tomber dans le même piège illusoire de la forêt. Parmi toutes ces illusions, l'une d'elle était différente. Il y avait une jeune fille qui courrait au milieu des zombies à différents endroits de la forêt et semblait rire. Volf s'était mis à la courser sans arriver à la rattraper. On aurait dit qu'elle l'évitait au dessus du sol.

    Spoiler :

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    Le Donjon des revenants.

    ♫Tu m’as trop trop inspiré c’est ouf :muhu: Bon pauvre Klaus mais anyway♫



    Le dangereux cerbère aux couleurs d’ébène était entrain de se débarbouiller la gueule du sang de sa victime bien que d’une odeur enivrante n’avait pas le même gout, il tourna la tête afin d’observer les alentours, tout était calme, il semblait qu’il n’y avait pas d’autre ennemie, toutefois il se trompait, très vite il pouvait discerner à l’ouïe que plusieurs personne se dirigeait à sa rencontre, mais qui était-ce et que lui voulait-il ? En tout cas si il était hostile, le cerbère se ferait une parfaite joie de les déchiqueter sans attendre. Voilà comment il était sous cette forme, un vrai tueur sanguinaire, prêt à se battre contre quiconque et a endurer n’importe quel sorte de blessure.

    Et enfin, ils se montrèrent, c’était une vrai horde d’homme qui venait dans sa direction, mais il n’était pas tous en forme, certain était déchiqueté, tailladé, d’autre décapité, c’était une véritable coalition de mort-vivant qui approchait tous, une arme à la main, c’était sûr, un nécromate était responsable de tout ça, pour tout ses actes, si il devait passé devant une cours de justice, il écoperait forcément de la peine de mort. Mais ce n’était pas le moment de penser à ça, il allait devoir agir face à sa, et il semblait possiblement détenir l’avantage, après tout il était transformé, patte et croc acérés, il pourrait bien tous les repousser ? Enfin ce n’était pas tout à fait impossible, dans la minute il se jeta dans la mêlé, voulant avoir le premier coups, il donna plus de coup qu’en recevoir, pris le temps d’esquiver par moment en écrasant d’autre zombie mais très vite, il se rendis à une conclusion :

    Il était bien trop nombreux et il commençait à ressentir la douleur du fer qui avait croiser sa peau, Il mit fin à sa transformation, il avait bien veiller à ce qu’aucune de ses pattes arrières soit endommager, pour avoir l’occasion de s’enfuir, sous sa forme humaine, on pouvait voir que ses épaules suintait de sang, puisqu’il présentait plusieurs plaies fait par des épée, de plus son bras droit avait d’avantage souffert que le gauche, puisque c’était avec celui là qu’il se protégea le plus clair du temps, sa joue gauche avait aussi été entaillé, en clair il dégoulinait de sang, mais aucune de ses blessures n’étaient mortelles, Comme quoi avoir été soldat lui a appris à savoir quoi protéger, en outre ses organes vitaux et l’emplacement de la plupart des entailles.

    Il se réfugia dans un arbre qu’il grimpa en 2, 2, de là haut il put voir les zombies s’approcher petit à petit de lui, cependant il semblait avoir perdu sa trace, mais c’était certain qu’il allait le trouvé, si il continuait à perdre du sang ainsi, un zombie pourrait recevoir une goute et comprendre qu’il était juste perché au dessus d’eux. NiKlaus n’avait pas encore cédé au désespoir, non jamais il ne céderait. Soudain lui vint une idée, de quoi possiblement le permettre de finir victorieux, il espérait que son « frère de guerre » était toujours dans les parages à attendre le bon moment pour attaquer, à deux ils pourraient peut-être en venir à bout mais il devait d’abord le trouver.

    En tout cas, il commença la première partie de son plan, qui reposait entièrement sur ses talents de conjurateur, il allait invoqué une bête qu’il n’avait jamais pensé faire un jour, Un cerbère tout aussi semblable à lui, le magimorphe c’était déjà vu par le reflet de l’eau sous sa forme « démoniaque » il ne serait pas très compliqué à en imaginer un. Cependant il devait garder à l’esprit qu’il tentait le tout pour le tout, car après ça, il ne pourrait surement pas invoqué un autre être mystique, il manquerait de force et de toute façon il serait en proie des zombies.

    Il prononça alors les mots « cerbère » et presque immédiatement, une aura sombre l’entoura, et bien assez vite, il put apercevoir la tête, enfin les têtes d’un cerbères l’observant, cependant à son contraire il avait les yeux bleus et grognait dans sa direction, il n’allait pas être coopératif, cependant Klaus n’avait pas la patience la toute suite pour ça, il se contenta de lacher un grand regard noir, montrant les crocs tout en grognant face au cerbère invoqué, celui-ci n’avait pas toute suite tourné l’œil, mais finalement détourna les yeux et baissa la tête en signe de soumission.

    Klaus l’invoqua alors complètement, il devait faire à peu près sa tête lors de sa propre transformation, et allait se battre à sa place tandis qu’il prendrait la fuite dans le but de trouver l’autre gars en violet, Lorsque les zombies virent le cerbère, tous se dirigeait vers lui, mais bien entendu, l’animal mystique n’allait pas se laisser faire aussi facilement. Klaus attendit que tout les regards soit braqué dans sa direction, et il quitta sa cachette se dirigeant vers l’endroit ou l’autre homme était pour la dernière fois.

    Toutefois il  se détourna bien vite la tête, un cri avait retenti vers le lieux de l’affrontement, une femme se trouvait face à mon cerbère au sol, cependant l’animal était bien trop préoccupé par les zombies qu’il ne l’a vit même pas, et bien entendu Klaus ne pouvait pas lui commander de la secourir, il soupira, haïssant son côté « juste » et détala dans sa direction, afin de la sauver.

    Lorsqu’il arriva à ses côtés, elle se retourna effrayé dans sa direction et lacha un hoquet de stupeur, Klaus pensa pour la première fois que son apparence ne devait pas être très belle à voir, bien que le sang avait cesser de couler, des tâches devait être perceptible, Bref, ce n’était pas un concours de beauté, il lui tendis sa main gauche, celle de sa prothèse, elle la serra vivement et tous deux partirent dans la direction opposé, mais deux zombies apparurent sur leur chemin. Merde lacha Klaus spontanément, il se tourna vers la demoiselle et lui demanda :

    Désolé de vous dire ça, mais j’aimerais au maximum économiser mes dernières forces, auriez-vous une arme à porté de main ? Son interlocutrice fit non de la tête, trop choquée pour parler, Klaus la considéra un moment et vis son carquois, encore remplis de quelque flèche, il passa sa main dans le dos de la femme et en pris deux, c’était pas la meilleure des armes, mais le bout en métal sera suffisant pour être planter dans leur chair. Mais où était l’autre mercenaire ??               .


     

    NiKlaus.





    Volf le + bg des loups.




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    「 Le grand arbre 」
    Volf s'engouffrait de plus en plus dans la forêt, suivant cette silhouette de jeune fille. Au passage, il rencontra plusieurs zombies mais assez isolés l'un de l'autre. Parfois deux à la fois. Sa rage de vaincre ne faisait qu'augmenter, à tel point que les coups qu'il subissait, ne faisait que lui donner encore plus envie. Il aurait du emmener une arme avec lui. Mais il avait un autre moyen de pouvoir se défendre.
    Son masque était taché de sang à cause de diverses éclaboussures, son bras droit était aussi écorché et son ventre avait subit un mauvais coup. Cependant, derrière son masque, le sourire était là. D'habitude il utilisait sa flûte pour utiliser sa magie mais ce n'était qu'un tic, plus qu'autre chose. Son excitation était à son comble et il outre-passa ses habitudes pour faire apparaître des chaines autour de lui. Elles s’enroulèrent autour d'un zombie. La main du mercenaire agrippa l'une d'elle et il tira aussi fort que possible pour déchiqueter sa victime. Une belle peinture qui se dessina devant lui.

    L'apparition de la jeune fille le fit redescendre sur terre. Il se remit à sa poursuite, jusqu'à se retrouver dans une clairière avec seulement un grand arbre au milieu. Jusque là, les ténèbres étaient épaisse mais maintenant, la lumière de la lune éclairait vivement le sol. Avec cette vision qui contrastait avec le reste, le bouffon retrouva son calme. Il marcha lentement vers cet arbre et remarqua une pierre tombale de fortune, comme si elle avait été construite rapidement avec une grosse pierre. Il y a un nom dessus mais il est presque effacé; "Al..ce".

    De son côté, Klaus a pu récupérer l'archère. Ils étaient tous deux en mauvaise posture mais le nombre d'ennemi avaient grandement diminué. L'invocation d'un cerbère y était pour beaucoup mais c'était aussi car il n'y avait pas réellement une armée dans cette foret. Certains zombies n'étaient que des illusions.
    Alors que deux zombies se trouvaient devant eux et que Klaus était seulement armé de flèches, quelqu'un apparu derrière les morts vivants et les trancha en deux d'un seul coup de hache. Une femme à la capuche rouge se trouvait désormais devant eux. Elle ne prononça aucun mot et les toisa simplement du regard. Après quelques secondes, elle s'en alla aussi vite que son apparition.
    Ils purent ensuite avancer plus tranquillement mais toujours sous la menace d'un zombie qui pouvait surgir à tout moment.

    - Merci pour votre aide. Je m'appelle Elysia. Mon mari est venu dans cette forêt... Mais après ce que je viens de voir. J'ai bien peur que...

    Des larmes commencèrent à couler le long de son visage. Elle essayait de se retenir. D'ailleurs elle détourna légèrement son visage. En plus, elle ne détenait plus son arc et espérait maintenant sortir de cette forêt en vie. Elle gardait espoir au fond d'elle, que son mari soit en vie. Elle leva sa main pour agripper le bras de Klaus et serra fermement. Elle s'accrochait à ce qu'elle pouvait pour ne pas sombrer dans le désespoir. Entre temps, le silence était revenu. Pas de grognement de zombies, ni de cri.

    Puis d'un seul coup, le son d'un éclat de verre résonna. Effectivement, une potion avait été lancé tout près d'eux. Une fumée violette s'échappa et créa une purée de pois où la visibilité était presque nulle et l'odorat presque inutile. La fumée dégageait une odeur pestilentielle qui donnait presque envie de vomir. Elysia fut pousser violemment sur le côté et disparu du champ de vision. En s'écartant de la fumée, on pouvait voir un homme mystérieux s'enfuir. Il portait sur son dos un cercueil d'où un son pouvait en sortir. Elysia se trouvait à l'intérieur? Un zombie assurait ses arrières au cas où mais il ne servirait qu'à ralentir Klaus au mieux.

    En le suivant, Klaus allait aussi tomber sur la même clairière que Volf. Mais à ce moment là, ce dernier était en bien mauvaise posture. En effet, il était au sol et luttait pour sa survie. Un monstre se trouvait au dessus de lui et essayait de le broyer avec ses bras. Le mercenaire tentait tant bien que mal à repousser l'assaut avec ses bras aussi. Le demi-rat avait bondit sur lui en descendant du grand arbre au dessus. On aurait dit un gardien qui voulait repousser les intrus.

    - Bon sang... Je te reconnais. Ton corps est différent mais je suis sur que tu es l'énorme rat de la dernière fois. J'aurais du t'achever...

    Main contre main (ou patte?), le mercenaire perdait du terrain petit à petit. Le monstre avait clairement plus de force que lui. Il espérait sur l'intervention divine de quelqu'un. Peut être le guerrier de tout à l'heure. D'ailleurs, la bête réussit à mordre sa cible au niveau de l'épaule gauche. Le loup garou ne hurla pas de douleur mais elle était bien présente...

    Spoiler :


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    Le Donjon des revenants.

    ♫J'aime pas les rats :lol:





    Leur situation avait beau être critique, tout espoir n’était pas encore perdu et réduit à néant, le fraichement nouveau duo pouvait encore s’en sortir, quand bien même leur seule arme actuelle était des arcs qui par ailleurs étaient très bien taillé, parfait pour trancher la jugulaire de chair en décomposition, le danger était omniprésent mais le magimorphe n’avait pas cédé au désespoir, il était surtout excité, même si il était plus ou moins vidé de ses forces, une pâle lueur subsistait toujours en ses yeux, et c’est ça, cette hargne de vivre qui serait le moteur de leur survie ça et l’aide inespéré d’une mystérieuse femme vêtu de rouge, son visage était d’ailleurs caché grâce à la pénombre et ses cheveux protégé par une capuche rouge, parfait pour ne pas être reconnu.

    & comme toujours un bon événement, apportait forcément un mauvais événement, comme si il leur fallait un foutu équilibre dans ce monde, enfin bref, une série d’ennui en chaîne allait arrivé intensément sous peu, cela commençait avec un bruit déchirant qui coupa tout le charme du silence omniprésent des bois peu rassurant, les bruits de verre cassé, une fiole venait d’être utilisé, mais dans quel but ?

    Une fumée violette fortement déplaisante se dégageait de celle-ci, fumée qui aveugla bien vite le magimorphe, il n’était pas doté de faculté qui lui permettait de regarder à travers la fumée, il devait alors se fier à une seule chose : son touché, il continuait a serrer la main de la nouvelle venue, et il comptait agir ainsi jusqu’à ce qu’il ressorte de cette forêt, cependant il fut contraint de lâcher sa main, et de la perdre, sous cette épaisse couche nauséabonde, lorsque la fumée commença à peine a se dissoudre, les yeux du magimorphe scintillaient, on venait de lui retiré son précieux, et la personne qui le lui avait dérober allait le payer amèrement.

    Il vit non loin de là, un homme qui fuyait un cercueil attacher au dos, Klaus entendit parfaitement les coups porté dans le cercueil comme si quelqu’un y était retenue contre sa volonté, il a toute suite fait le rapprochement, C’est alors qu’il se lança dans cette course-poursuite contre la dite personne, à l’origine de tout ça, se pourrait-il que ça soit le nécromate qui orchestre depuis tout à l’heure la venue de tout ces zombies ?

    Pour en avoir le cœur net, il allait devoir le suivre, très vite il arriva à une clairière, et le fuyard prenait une tout autre direction vers les buissons, comme si il ne savait pas vraiment ou allez, il tenta de prendre cette issue, Klaus allait bien sûr lui emboiter le pas lorsqu’il vit en contrebas, deux masses entrain de se battre, l’un était facilement reconnaissable par ses vêtement couleur pourpre, tandis que l’autre bien moins, cependant à ce qu’il voyait Son amis mercenaire avait quelque peu du mal, cependant rester et l’aider le ferait perdre la piste de l’autre fou furieux, mais que faire ?

    Mais bien sûr, quel question, il allait tout simplement invoquer un animal qui lui suivrais son ravisseur, tout en laissant des traces, derrière lui, il devait essayer, il invoqua la créature la plus aisé à controlé pour lui, un simple chien, qui sera dès lors en charge de suivre ce nécromate, il avait choisit une race de chien qui, rien qu’à son odeur, lui permettrait de remonter sa piste par la suite.

    Il allait maintenant aidé volf, mais sauté inconsciemment sur le monstre qui ressemblait à… une queue,  des incisives ok un rat mutant GÉNIAL, non il allait se transformer partiellement et allait mordre là ou ça faisait mal, au bas du dos vers la colonne vertébral, en un coup de croc, il pourrait possiblement causer des dommages irréversible le pauvre rat…. Ou simplement l’énerver, mais on verra ça plus tard, voulez-vous ?



     

    NiKlaus.





    Volf Volf.




    ©Codage sur Natu~ sur Libre Graph'

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    「 Un choix douloureux 」
    Volf était dans une situation proche de la mort. Il allait se faire bouffer par ce demi-rat mutant. Il était sur le point de lâcher, quand soudain, la créature se recula violemment. Quelque chose l'avait obligé à se replier. Et effectivement, Klaus est intervenu pour ls sauver. La créature venait de se faire mordre. Celle-ci saignait mais sa musculature l'avait empêché de subir un coup léthal. Elle était sur ses gardes, les bras devants et son regard alternait entre Volf et son héros.

    D'ailleurs, le bouffon se redressa et porta son attention sur son sauveur. C'était l'homme de tout à l'heure. En y regardant de plus près, il reconnu l'émissaire qu'il a déjà vu de loin à plusieurs reprises. Un caldissien d'après ses souvenirs. Il ne portait d'importance à l'origine des gens mais il fallait quand même le savoir pour éviter quelques soucis.

    - Merci pour le coup de main. J'ai vu ma vie défiler. Monsieur Evergarden si je me trompe pas ?

    Tous les deux étaient quand même salement amochés. Volf y laisse un sourire de satisfaction. Il adorait ce genre d'ambiance et la vue du sang. Malgré la douleur, il sentit comme une poussée d'adrénaline revenir en lui. Il avait été surpris par l'assaut surprise de ce rat mais maintenant il pouvait lui faire face à face. Jusque là, il n'avait pas été motivé à se déchainer mais il était sur le point de le faire. Ses doigts se crispèrent et il leva ses bras lentement, paumes levées vers le ciel. Des chaines vivantes se matérialisèrent autour de lui et une légère lueur rouge se dégageait de son corps.

    - Vous pouvez m'appeler "Joker".

    Après sa présentation très succincte, le guerrier se rua vers la bête. Ses chaines le suivaient puis s'enroulèrent autour de ses bras comme si elles étaient des extensions de son corps. Une fois à portée, il leva un bras vers sa cible et une chaine s'attaqua au monstre. Le bout de l'arme était équipé d'une pointe pouvant servir à tuer. Le rat évita la première attaque mais Volf lança une deuxième chaine avec son autre bras. Celle-ci se planta dans l'épaule de la bête. L'accroche était suffisamment forte pour permettre au bouffon de tirer et de faire tomber le monstre en avant, tête la première vers le sol.

    - Allez-y, achevez le !

    Le travail d'équipe n'était pas le point fort de "Joker" mais il savait qu'il devait faire de cet homme un allié pour de futurs rencontres. Alors il se força à coopérer pour voir l'étendue d'une relation qui pourrait se montrer bénéfique. Donner à Klaus l'occasion d'achever ce monstre était le premier signe pour une bonne entente.
    Cependant, à ce moment précis une voix résonna dans la tête de l'émissaire. Une voix familière, qui pourrait lui donner un mal de tête selon sa résistance. Effectivement, quelque chose se tramait à l'intérieur même de son esprit.

    Caché derrière le grand arbre principal, une silhouette en sortit pour se dévoiler à tous. C'était celle du frère à Klaus. Que faisait il ici? (c'est une illusion mais pratiquement réaliste)

    - Que fais tu ici ? C'est ta faute si ta mère n'est plus là...

    Profitant de ce moment d'inattention par tout le monde, le demi-rat tira de son côté sur la chaine et obligea Volf à tomber à son tour par terre. Puis le monstre agrippa le lien de métal pour tournoyer à l'aide de toutes ses forces puis à le forcer à percuter le fameux grand arbre de plein fouet. L'impact fut douloureux et du sang coula à nouveau de sa bouche. Sans le vouloir, le bouffon se retrouva à côté de cette nouvelle apparition. Il ne savait pas si c'était un ennemi ou pas mais il faisait surtout attention au prochain assaut de la créature.

    Autre part dans la forêt, le chien invoqué par Klaus suivait la trace de l'homme masqué et du cercueil. L'animal était sur le point de le rattraper quand les traces disparurent au pied d'un arbre. Il y avait quelque chose de suspect dans le coin mais le chien ne pouvait pas aller plus loin sans avoir quelque chose de précis à disposition.

    Spoiler :

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    Le Donjon des revenants.

    ♫Here we go again?♫



    En théorie, endommager une colonne vertébrale était si simple, surtout avec un petit coup de main, que ce soit matériel, magique, cette tache était si aisé, en le mordillant klaus pensa lui-même à sa propre colonne, si forte et si faible en même temps, comment pourrait-il vivre sans ? Par son action, le monstre eut un mouvement de recul et se replia aussitôt, comme quoi son ossature était des plus résistantes, laissant à son « coéquipier » de se relever

    L’Autre homme avec qui il était avait encore plus la classe de près, Klaus était encore plus admiratif, par ailleurs il souriait, surement de reconnaissance, de plus il ne tremblait absolument pas, il n’avait donc pas peur, chose qui réjouit le caldissien. Il était en compagnie d’un combattant assoiffé de challenge et de risque en tout genre, la vue du sang ne le dégoutait pas, au contraire

    Toutefois il fut surpris de l’entendre employé son nom, il le connaissait ? Mais comment ? Il y avait deux possibilité, soit il l’avait déjà aperçut quelque part où il y était pour le travail, soit… haha [b] Il l’aurait déjà aperçut dans une taverne [b] non pas qu’il n’avait honte, mais lorsqu’il rencontrait une personne qui devenait par la suite son amis, celui-ci découvrait après qu’il était un poltron, et il n’a pas toujours été de main morte avec l’alcool lorsqu’il se retrouvait par le plus grand ses hasards dans un établissement de ce type.

    Il se prénommait donc « Joker » amusant et semblait prêt à repartir à l’assaut, il lui répondit sont cacher son excitation lui aussi :
    Enchantée de faire cette rencontre Joker, j’admire votre style de combat soit dit en passant ainsi que votre apparence, il est clair que vous êtes taillé pour vous battre.  

    A la suite de ses mots, l’homme masqué taché de sang se jeta sur son ravisseur avec une énergie nouvelle, le magimorphe quant à lui, projeta ses sens aux alentour afin de conserver une trace du beau roquet qu’il avait lâché, celui-ci poussa d’ailleurs de grand aboiement, rassurant ainsi son maître, il était encore en vie.

    Quant à Joker, il avait ingénieusement reprit le dessus sur son adversaire à une vitesse des plus déconcertante, NiKlaus était presque certain certain que ce monstre l’avait attaqué en traite, sans quoi il n’aurait pas fini comme tout à l’heure à sa merci. Par ailleurs, l’homme masqué s’adressa à lui, le demandant de l’achever lui-même, cela le surpris, car dans la plupart des chasses c’était au chasseur, qui l’avait le plus affaiblit et traqué que la proie lui revenait & jusqu’à preuve du contraire il était plus que capable de mettre fin à sa misérable vie.

    Était-ce un moyen de faire ami-ami ? p’tète bien. Sans avoir besoin de réfléchir plus longtemps, Klaus s’avança, une flèche disposant d’une pointe en métal dans sa main droite, un léger rictus se dessinait sur ses lèvres, le même rictus qu’il arborait sur le champ de bataille autrefois, celle d’une joie froide de mettre fin à une vie, de voir ce liquide rouge écarlate. Malgré le traumatisme qu’il tirait de ces années, la guerre lui avait étrangement plu, c’est horrible de penser ça et il en a conscience, une partie de lui avait accueillie avec joie la nouvelle de l’arrêt des combats, de se mouvoir dans une paix, certes hypocrite, si fragile, d’encourager cette idée d’entraide entre les peuples, c’est pour cela qu’il avait rejoint l’administration.

    Peut-être qu’au fond il cherche juste la rédemption ? Plausible, mais ça il devrait encore l’admettre. Toutefois, un imprévu vint mettre fin à la fête, une chose très vif approchait et sans crier garde elle prit pour cible le magimorphe, trop rapide pour qu’il ait le temps de réagir, une apparition prit forme en face de lui, d’abord flou, il discerna bien assez vite quelqu’un, c’était Aaron, son demi-frère, sa famille la plus proche à ses yeux, mais que faisait-il là ? Klaus comptait le lui faire remarqué, mais c’était avant la bombe que son demi-frère feula, pourquoi lui disait-il diable ça ? C’est impossible pourtant, Illua sa mère était morte de…

    De quoi déjà ? Que lui avait dit son père à ce sujet à l’époque ? Comment pouvait-il avoir oublier pareille information ? Il perdait visiblement le contrôle de ses pensée, déjà qu’il était fatigué, rien n’allait en sa faveur, il essyait tant bien que mal de résister à ça, il ne voulait pas revivre ça, il avait si souvent pleurer sa disparition, pensant ne jamais se relever après ça, ne jamais pouvoir vivre sans elle.

    Mais c’était trop tard, il commençait à revoir ce qui s’était passé ce funeste jour, il devait réagir, sinon le monstre de tout à l’heure pourrait bien reprendre le dessus sur la situation, mais comment s’échapper de cette vision ? Il n’allait surement pas l’accepte, non, bordel, Klaus souvient toi, ce que tu as appris à l’académie de magie ? Oh mais il était en spécialité conjuration…

    Une simulation, oui c’était ça, une émotion forte ou un geste extérieur, il l’avait lu dans une revue traitant de la magie ! Bon déjà la peur, non, là ça marchait pas de fou, oh, il avait une idée, mais pas vraiment très chaud pour l’exécuter, mais bon, il n’avait pas vraiment… de solution ? À la guerre comme à la guerre.

    Rassemblant ses forces encore présente, Klaus tenta en vain de se concentrer tandis que l’apparition suivait son cours, sa mère était entièrement transformé, une trainée de sang ainsi que des personnes la suivait au pas de course, tandis que le Klaus de l’époque se trouvait sur son dos, que ce passait donc t-il ? En tout cas sa main droite était prête, il l’avait suffisamment déplacé afin qu’elle puisse prendre un peu d’élan et l’aider a le faire le plus de mal possible… très masochiste en pensant comme ça, il était prêt.

    Comme il s’y attendait malheureusement, la pointe en métal déchira sans aucun problème sa chair et était à présent logé clandestinement dans son organisme et heureusement son plan marcha comme prévu, l’illusion était rompu, ne laissant place qu’a une douleur presque qu’effroyable, qui lui arracha un hurlement, presque bestial. Volf était désormais au sol, avait-il vu comme lui cette vision d’horreur ? Non il ne devait pas se préoccupé de ça pour l’instant.

    La situation était critique mais pas désespéré enfin pas encore, Volf pouvait le vaincre, il avait juste besoin de deux choses, la première une arme, la seconde une assistance, Niklaus allait lui filer un coup de main, bien qu’il était probablement aussi DOWN qu’un de ses entrainement autrefois pratiqué par sa mère et lui, il devrait pouvoir invoquer une petite horde de lapin, comme tout à l’heure, quant à l’arme… il y avait un petit hic.

    Il placa sa main droite sur le manche de la flèche, essayant de la délogé d’abord doucement, mais manquant de temps il privilégia la manière brute, dès qu’il franchit à peu près les muscles, il retira d’un coup la flèche de son corps, il cria une nouvelle fois, lançant la flèche ensanglantée vers volf, il lui dis :

    Plante ce fils de pute, c’est pas très très hygiénique mais bon… j’vais t’assister comme au début du mieux que je peux cette fois-ci… une chose, si on sort de ce merdier « en vie »  appelle moi Niklaus à l’avenir.

    Il le faisait comprendre à sa façon, qu’il était son seul et unique espoir, il pouvait se barrer aussi et il l’insulterait pour ça, mais il comprendrait au fond, c’est juste pour sauver sa propre vie.. mais bon si il décidait de rester et de se battre, Klaus lui devrait beaucoup. En tout cas, il devrait peut-être bien s’occuper de sa propre plaie après avoir terrassé cette ennemie, car le sang continuait de s’écouler, une hémorragie donc, il devait cautériser la plaie, avec du fer ou un quelconque autre métal, après s’amuser à buter du zombie, Omnis, non, le karma s’occupait franchement bien de lui
     


     

    NiKlaus.





    Volf.




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    Dernière édition par Klaus H. Evergarden le Jeu 25 Juin 2020 - 22:48, édité 1 fois

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    「 Vieille histoire 」
    Volf était légèrement sonné par l'impact de son corps contre ce vieil arbre. D'ailleurs, il ne fut même pas en capacité d'être atteint par l'illusion qui se déroulait en ce moment même. Apparemment Klaus était en proie à une magie liée à l'esprit. Quant au montre, il se rapprochait dangereusement de son adversaire à terre. La chaine était toujours plantée dans son épaule et quand il s'en rendit compte, il attrapa le bout de fer et tira d'un coup sec. Une vive douleur lui traversa le corps et du sang coulait le long de sa plaie mais il était désormais libre de ses mouvements.

    Le mercenaire essayait tant bien que mal à retrouver ses esprits. Quand cela arriva, il entendit la voix de Klaus qui était en train de lui parler. Ce dernier lui envoya une flèche de manière à lui transmettre une arme. En voyant cela, le demi-rat se rua vers Volf afin de l'empêcher de se munir de cette arme. Le bouffon s'était redressé, la main en avant pour attraper cette passe. Les deux adversaires allaient bientôt se heurter. Volf arriva à prendre possession de l'objet au dernier moment alors que la gueule de la créature ne se trouvait qu'à quelques centimètres de lui. Pendant l'espace d'une seconde, on aurait dit que le temps s'était figé.

    Effectivement, en y regardant de plus près, la flèche était désormais planté dans l'œil du monstre. Le bouffon avait réussit à frapper à l'instant même où il l'avait acquit. Puis il se recula de quelques pas, laissant tomber le corps de la créature lourdement au sol. A cause de la fatigue, ses chaines magiques se dématérialisèrent et l'invocateur posa un genoux à terre. Il jeta ensuite un regard vers l'autre homme et leva son pouce dans sa direction, lui signalant qu'il était content d'avoir coopérer avec lui.

    - Niklaus c'est ça ? J'aurais finit dans son estomac sans ton intervention. Mais on dirait que tu en as vu de toutes les couleurs aussi.

    Volf se redressa après une bonne inspiration. Malgré leur victoire, tout n'était pas encore finit. Ils se trouvaient en plein territoire ennemi après tout. Puis celui qui créait toutes ces illusions étaient encore caché quelque part. Le loup garou se tourna vers le grand tronc d'arbre puis leva ses yeux vers les branches. Il était immense. Ensuite il se rapprocha de la pierre tombale à ses pieds.

    - Je me demande qui a pu enterrer un corps dans cet endroit si dangereux... Dit il en posant une main sur la pierre.

    Alors qu'il était en pleine réflexion, il sentit d'un seul coup une présence derrière lui. C'était le demi-rat qui utilisa ses dernières forces et une volonté à toute épreuve pour donner un dernier coup. Volf allait réagir trop tard à cause de ses blessures et Klaus était surement dans le même état. Mais contre toute attente, une énorme hache vint se loger dans le corps de la bête, l'achevant ainsi sur place. Le sol était repeint d'une si belle couleur.

    - C'est moi qui dois le tuer...

    La jeune femme qui avait sauver Klaus il n'y a pas si longtemps que ça, refit surface. Elle venait de sauver Volf cette fois-ci mais prononça une phrase qui n'annonçait rien de bon. Apparemment elle voulait tuer le loup garou aussi. Volf la reconnait grâce à son accoutrement, il l'avait déjà croisé mais ne savait toujours pas pourquoi elle voulait l'assassiner. D'après son chef, elle était peut être une chasseuse de loup garou.

    - Comme on se retrouve. Mais comme tu peux le voir, je tiens à peine debout. Tu ne vas quand même pas achever un homme à moitié mort?

    La mystérieuse femme s'approcha lentement de sa hache puis la retira du corps de sa victime. elle semblait si légère pour elle alors qu'elle faisait la même taille qu'elle. Elle n'allait pas rebrousser chemin bien évidemment et comptait bien aller jusqu'au bout de son objectif. Mais elle commença à parler un peu.

    - Je suis ici pour venger mon père.

    Volf ne savait pas de qui elle parlait bien évidemment. Il a tué de nombreuses personnes durant son existence. Et même si elle lui donnait un nom, peut être qu'il ne s'en rappellerait pas. Il aurait pu demander des détails mais en croisant le regard de cette fille, il savait qu'il serait inutile de discuter. Du moins, si c'était lui. Peut être qu'un intervenant externe à leur histoire pouvait la raisonner.

    Spoiler :

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    Le Donjon des Revenants .

    Volf arrête de tuer des gens /PAN/



    Joker avait eu aucun mal à se servir de la flèche comme d’une arme, il est vraiment extraordinaire comme type, apparemment les deux parties avaient la même dette pour l’autre. Comme quoi ils créaient tout les deux un semblant de camaraderie, il manquerait plus qu’un bon alcool fort et ça serait le pied. Bon en tout cas, c’était enfin terminé, il pouvait prendre un peu le temps de penser leur blessure. Il avait commencé à s’y atteler, mais une question que Volf le tira un instant de son travail, il répondit d’ailleurs à son interrogation :

    Dans le meilleur des cas, cette personne est enterré ici car c’était un lieux qui lui était cher et dans le pire des cas, on l’a enterré ici pour faire disparaitre le corps, voilà tout ?
    Mouais bon, ça n’expliquait toujours pas pourquoi elle avait une sépulture si c’était le second cas, mais bon, c’était une explication qui pouvait tenir la route, Soudain il entendit comme son compatriote le rat se relever, et pensa intérieurement :

    « mais c’est pas possible jamais tu crève toi ? »
    C’était sans pensé à l’aide inespéré que le duo pouvait recevoir, c’était la femme de tout à l’heure qui avait aider Klaus et la jeune femme… mais c’est vrais elle était où d’ailleurs ?? le caldissien l’avait complètement oublié elle ! Mais la priorité n’était pas là, la femme à la hache, venait de se débarrasser du rat sans aucun soucis, mais avait dit quelque chose de vraiment très bizarre « c’est moi qui dois le tuer » elle parlait du monstre on est d’accord ?

    Son amis n’avait même pas tenté de nier ses dires, il essayait d’une manière assez… stupide il faut le reconnaitre de donner une raison à son existence. Toutefois à présent il comprenait, si « Joker » était si habile au combat, ce n’était pas parce-qu’il était un ancien de l’armée, ou encore un combattant dans l’espoir de rejoindre le tournoi d’Yggdrasil, c’était un mercenaire.

    Klaus, se mit à contempler le sol, les dents serrées, il commençait à taper du poing la terre sèche sous ses pieds, vraiment, il a fallu que par le plus grand des hasards, elle décide de se venger de lui aujourd’hui. C’était bien sa veine, autant pour lui que pour Joker, c’était sûr qu’il allait périr si il n’avait pas de meilleure option devant lui, il allait devoir la convaincre…. A lui de trouver les mots justes, tient, c’est fou comme c’est dans ses cordes, il se releva bien que difficilement, du sang se mit à nouveau a couler de sa jambe, il dût prendre appuis sur le tronc d’un arbre derrière lui, pour se maintenir « debout » il haussa la voix

    Tu es la femme qui m’a aidé tout à l’heure, je m’en souviens parfaitement, pourquoi l’avoir fait ? Il ne lui laissa pas le temps de répondre qu’il enchaina, il voulait juste capté son attention pour commencer
    Tu l’as fait car ça t’as semblé juste de me venir en aide, je ne te connais pas du tout, mais je peux déjà affirmé une chose, tu es altruiste & désintéressée. Je te remercie, énormément d’avoir fait ça, Mais là, je pense que ce que tu fais, ne rime à rien

    Bien, il avait bien introduis la chose, mais par quoi commencé ? il était entrain de défendre un mercenaire très bien entrainée et visiblement tout aussi sanguinaire de lui, il mettrait sa deuxième main à couper que Joker ait déjà a de multiple reprise oter la vie à des gens et pas toujours dans la dentelle si vous voulez son avis, mais il allait bien le défendre, après tout, il l’avait sauvé, et ça lui faisait un peu de bien de se familiariser avec quelqu’un de tout aussi sanguinaire que lui, deux fou du sang, quel duo de choc.

    Tu es altissienne n’est-ce pas ? La Hache est une arme typique d’Altissia, en outre ton maniement est différent de nous autres les caldissien, et pour couronner le tout tes vêtements, son chaud et en fourrure. Toi & cet homme venez de la même nation, une nation qui à pour doctrine la solidarité pas vrai ? pourquoi agir ainsi ?

    Bon jusque là, tout allait bien, la femme commençait déjà a baisser son arme, prêt à l’écouter pour d’éventuel pourparler.
    Bon, je sais ce que tu vas dire, il a apparement tuer ton père, il ne semble pas au premier coup d’œil d’être quelqu’un de tout mignon, tout gentil prêt à défendre la veuve et l’orphelin... cependant, j’pense qu’il y a du bon en lui, tout à l’heure il aurait très bien pu m’abandonner à mon sort et me laisser avec le gros rat, mais tu sais quoi ? il est resté risquant lui aussi sa vie à mes côtés, de plus il a été le premier à vouloir aider le couple qui a fait un accident dans cette forêt, sans même que j’ai a lui demandé !

    Et maintenant le gros mensonge, pour donner la meilleure image de lui possible
    Ton père semblait être quelqu’un de noble et d’extrêmement important pour toi, tu l’aimais et il devait forcément t’aimé aussi, penses-tu sérieusement qu’il aurait aimé te voir poursuivre son présumé « assassin » ? qui a du te prendre du temps à tel point d’oublier ta propre vie ? Tu sais… j’ai foi en Joker, on ne se connait que depuis peu mais… je serais prêt à mettre ma vie en jeux pour lui, et si il cherche la rédemption pour ses actes passées, il mérite d’avoir une chance à l’accomplir, après tout l’oronisme ne préconise pas la solidarité entre ses habitants, qu’il soit dans la maladie, le froid ou dans le besoin ?

    Il allait à la fin de ses arguments et pas de bol pour lui, l’hémorragie continuait, et cela lui privait de plus en plus de ses forces, il glissait lentement du tronc de l’arbre, laissant une ligné bordeaux derrière lui, tachant le gazon sous ses pieds, il tomba lourdement, plaçant ses deux mains sur la plaie, afin d’enrayer l’hémorragie. Par Omnis, faîte qu’elle change d’avis…


    .



    NiKlaus.





    Volf & son lait chaud.




    ©Codage sur Natu~ sur Libre Graph'

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    「 La vengeance 」
    Volf était fatigué mais il gardait sa volonté à toute épreuve. Il trouva que le destin lui jouait bien des tours récemment. D'ailleurs il afficha un sourire amusé. Quelqu'un lui en voulait dans la vie et même maintenant. Etait il si méchant que ça? En vérité, toute action avait ses répercussions. Il en était conscient et la vie de cette femme a sans doute été bouleversé par l'une des siennes. Il ne pourrait sans doute, jamais trouver les bons mots pour la réconforter. Devait il au moins s'excuser? Le problème, c'était qu'il ne savait pas de qui elle parlait. Alors son excuse ne semblerait pas sincère. Il était résolu à se défendre, quitte à mourir ici.

    Cependant, Klaus décidé d'intervenir et de le défendre. Il ne pensait pas que cette courte rencontre, était suffisante pour compter l'un sur l'autre. Ils ont partagé un combat à mort contre un ennemi commun, peut être que cela était suffisant en vrai. Curieux de savoir comment il allait procéder, il le laissa échanger avec son bourreau. Assis par terre pour reprendre son souffle et observer la scène. On aurait dit son jugement qui se déroulait devant lui.

    Le chaperon rouge avait baissé son arme effectivement. Les paroles de Klaus avaient des effets. Par contre, elle gardait ce regard froid et le moindre mouvement du mercenaire pouvait signer son arrêt de mort. Elle le surveillait tout en écoutant son interlocuteur.

    - Tes belles paroles ont du sens... Je ne le connais pas. Peut être a-t-il sauver des gens ou bien tuer d'autres personnes. Mais je m'en fiche. Il a tué mon père et je dois le venger. Un sorcier m'a montré des images qui l'identifie. Il était beaucoup plus jeune, presque méconnaissable à aujourd'hui mais il m'a ensuite montré comment il est maintenant. Je ne me trompe pas. C'est bien lui.

    Elle serra fortement le manche de son arme, comme si d'anciens souvenirs remontaient à la surface. Des images de son père aimant qui prenait soin d'elle quand elle était plus jeune. Au même moment, Volf essayait de se rappeler des gens qu'il aurait pu tuer en étant plus jeune. En vérité il n'y en avait pas tant que ça. Mais c'était quand même impossible de savoir qui exactement. Effectivement, il a été un assassin plus jeune à cause de certaines circonstances. Il n'ajouta aucun commentaire pour éviter de l'énerver.

    - Il est arrivé derrière mon père et lui a brisé la nuque... Je ne peux pas lui pardonner. Il va devoir mourir. Je n'ai rien contre toi. Alors écartes toi ! C'est entre lui et moi.

    La femme à la capuche brandit une nouvelle fois son arme. A ce moment là, le bouffon savait qu'il allait rendre son dernier souffle. Il était reconnaissant des efforts de Niklaus et aurait aimé le remercier mais il n'avait plus le temps. Bien sur, il n'allait pas rester les bras croisés et attendre que sa tête soit découpée. Alors il se redressa péniblement et croisa le regard de son bourreau.

    - Je t'avoues que je ne sais pas de qui tu parles. Je n'étais qu'un instrument de mort durant ma jeunesse. Alors je ne me souviens d'aucun visage. Mais je ne me laisserais pas faire.

    Le temps semblait si long à ce moment. Il pouvait ressentir chaque pulsation de son cœur. Son sang coulait le de ses vêtements à cause des blessures. Il gardait tout de même un léger sourire, même face à la mort. Ses bras étaient simplement relâchés dans le vide, sans garde alors qu'il s'apprêtait à combattre. Il n'allait pas demander de l'aide à Klaus. Effectivement, c'était une affaire personnelle.

    - Elle a raison. N'interviens pas... Dit il à son coéquipier de fortune.

    La chasseuse se rua subitement vers sa cible. Puis à ce moment là, une voix résonna uniquement dans la tête de Volf et de Klaus. Une jeune fille était apparue sur la pierre tombale, tranquillement assise dessus. C'était la même silhouette que le mercenaire avait suivit pour venir jusqu'à cette clairière. Et elle s'adressa à eux par la télépathie.

    *C'était amusant de jouer avec vous. J'aurais bien voulu jouer davantage avec vous. Mais il ne doit pas mourir. Alors je vais vous aider.*

    A ces paroles, des illusions de zombies apparurent devant la chasseuse qui l'obligea à s'arrêter. Par réflexe elle les frappa mais ne toucha que du vide.

    *Suivez le papillon doré.*

    Les branches du grand arbre principal s'allongèrent et attaquèrent la femme en rouge. Ce n'étaient pas des illusions. Un autre combat se déroulait maintenant sous les yeux des deux hommes. Ils devaient réfléchir vite et prendre une décision. Devaient ils lui faire confiance ? Et avant que Volf pu prendre de la distance, il reçu de plein fouet un couteau dans le ventre. Entre deux attaques des branches, elle avait quand même réussit à placer ce coup furtif en lançant un couteau. Une nouvelles fois affligé par ce handicape, il posa un genou à terre.

    Spoiler :

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    NiKlaus
    Voolf fin Joker (a)
    le Donjon des revenants
    J’adore ce duo sanguinaire :lol:
    NOMBRE
    VORNAME


    Il était inexorablement proche du fond, celui du désespoir infini qui se concluait par une seule chose : la mort, l’émissaire, ne savait franchement pas si il était convaincant dans ses mots, même pour lui, il s’interrogeait sur le désir de vengeance de cette jeune femme. Si elle poursuit Joker depuis tout ce temps, dans l’unique but de le tuer, par amour, pour la personne qu’elle a perdu, elle ne se laisserait pas convaincre.

    Et ce fut en effet le cas, cependant, elle était déterminé a l’exécuté, seulement… était-elle sérieuse dans son argument ? pas du sorcier, ça c’était franchement possible, un sorcier avec un minimum d’expérience pouvait tout à fait retrouver l’identité de quelqu’un à partir d’objet qui le lui ait appartenu par le passé, mais elle aurait apparement vu son visage ?
    Jusqu’à preuve du contraire, il est masqué, j’dis ça j’dis rien Dit-il dans sa "barbe"
    Oui bon user de sarcasme n’allait remédier à rien, mais de toute manière celle-ci avait déjà pris sa décision

    Elle n’avait pas terminée et continua dans ses « belles » paroles de vengeance. Oh trop gentille de sa part de m’épargner ! sauf que je ne t’ai rien demandée ? d’un autre coté, elle avait parfaitement raison, je n’étais en rien affilié à cette histoire. Volf quant à lui, se releva, avec difficulté, mais il était stable. Toutefois, la mention de sa jeunesse fendit le cœur du caldissien, déjà qu’il était facilement émotif lorsqu’il s’agissait d’un roman, là il parlait carrément de son enfance, d’avoir été un pantin qui tuait sur commande, qui plus est, il n’était pas forcément consentant la plupart du temps, enfin il espérait ? Mais ceci expliquait tout de même son gout pour le sang, à la différence que Klaus n’ait pas été un "meurtrier" aussi jeune.

    Joker allait sans aucun doute affronter sa mort avec courage, bravoure et noblesse, mais complètement vidé de ses forces, une vrai machine à tuer celui-là… tient ? lui aussi était d’accord avec elle ? mais pourquoi ? À cause de ses blessures ? Il pouvait parlé lui… mais bon, il avait totalement raison. Klaus n’aurait été qu’une gêne, un boulet, là il avait une porte de sortie, une possibilité de s’en sortir, de vivre. Mais devait-il vraiment la prendre ?

    J’veux dire, aujourd’hui il aurait pu mourir plusieurs fois, si l’altissien n’était pas présent, et vis versa, non il ne pouvait décidément pas l’abandonner à son propre sœur, pas après ses combats de folies de cette soirée auquel il s’était amusé comme un fou retrouvant des pulsions longtemps oublier.
    En tout cas, une chose était sûr, il était pathétique pour l’instant, il devait un minimum se rétablir.

    Il leva un instant sa main de sa blessure, bon elle coulait encore un peu, pas de surprise là-dessus. Il se mit à regarder autour de lui, quelque chose brillait dans le clair de lune, une chose métallique surement ? En s’approchant il discerna sans mal la lame d’un couteau, c’était bien sa chance, il tendit le bras à son maximum atteignant le manche et le ramena vers sa personne, au même moment un élément extérieur fit son apparition, une jeune fille, une adolescente surement, se trouvait sur la pierre tombale de tout à l’heure ?

    Par Omnis, avons-nous profaner son repos éternel ? Ah tient, apparement non, nous ne l’avions que diverti, mais donc… c’était elle tout à l’heure avec l’horde de zombie ? Si tout ceci n’était qu’une mascarade, les passager de la charrette de tout à l’heure sont-ils en vie eux aussi ? Il y pensa très fort, ne sachant comment marche la télépathie, suffisait-il simplement de penser quoi dire ?

    Enfin, bref si il avait réellement l’occasion de fuir il devait faire vite. Alimenté par un coup de fouet chargé d’espoir, Klaus tenta quelque chose, tenter de manipuler la magie élémentaire, il faut dire qu’avant de finir en conjuration, il avait eu les prémices de différentes magies, il devrait se souvenir de comment faire du feu où tout du moins réchauffer la lame.

    Il tenta de se concentrer, malgré les bruits plus que dérangeant des zombies "illusoires" mais ce fut bien plus simple qu’il ne le pensait, une fois la lame suffisamment chauffé, il était prêt à cautériser la plaie, c’était sans compter que Joker se prenne un projectile et pose un genou à terre, bon bas, lui aussi aura une plaie à cautériser, mais avant ça… la sienne.

    La Lame était prête, à quelque centimètre de sa plaie, dommage pour lui qu’il n’ait pas quelque chose dans quoi mordre, ses dents allaient grincer & pas que ça d’ailleurs. La Douleur était quelque peu… atroce ? Mais au final c’était assez rapide, du travail bien fait en soit. La lame n’était plus aussi chaude que tout à l’heure, c’est pour cela qu’il re-tenta la même procédure entre autre, celle de réchauffer la lame et envoya l’arme blanche à son compagnon de fortune afin qu’il puisse faire de même.

    Bien heureusement dans le cas du magimorphe, aucun os n’avait été endommagé, il pouvait donc se déplacer librement mais en ressentant quelque peu la douleur, mais bon il fallait bien quelque chose de mauvais pour sa chance. Il était fatigué mais en meilleure forme que son acolyte, il s’approcha par conséquent de lui, faisant passé le bras de l’altissien derrière son cou, afin de le soulager le plus possible, il fallait fuir et vite.

    Il lui glissa ses quelques mots :
    Ahem, finalement on s’en sort bien… on tente de retrouver l’archère de la charrette ou on se tire tout simplement ? Dans le cas où on choisirait la "fuite" on pourra passez à une taverne ? Je crève de soif !

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    「 La promesse de se revoir 」
    Volf était blessé et fatigué. Une lame planté dans le ventre. Fort heureusement ce n'était pas une épée mais un couteau. Sa vie n'était pas immédiatement en danger de mort. Puis il n'avait pas perdu espoir malgré ce coup dur. Il en avait vu de toutes les couleurs. La douleur était présente mais au fond de lui, il savait qu'il avait encore des choses à accomplir. Il leva ses yeux vers la scène de combat non loin de lui.
    Le chaperon rouge se battait avec cet arbre géant. Mais elle semblait gagner de terrain et se dirigeait vers le mercenaire. Devant une telle ténacité et cette envie de vengeance, il aurait voulu savoir l'identité de ce père, connaitre la personne qu'il avait tué. Le sens du bien et du mal était quelque peu abstrait pour lui mais il savait qu'il avait fait quelque chose qui a causé de lourdes conséquences.

    Par la suite, il porta son attention vers Niklaus qui lui jeta un couteau dont la lame avait été chauffé afin de cautériser sa blessure. C'était une bonne idée et le bouffon attrapa l'objet en question. Il leva un peu son haut, retira la lame étrangère de son corps puis la jeta au loin. Puis il plaça le bout d'acier chauffé sur sa plaie. On pouvait entendre le crépitement de la peau qui cramait au contact de la chaleur intense. Volf faisait tout pour ne pas crier de douleur. Il serra les dents et attendit quelques secondes, se forçant à ne pas retirer la lame jusqu'à que la plaie soit totalement refermée. Une fois fait, il laissa tomber l'arme au sol et posa ses deux mains au sol. Il n'arriva même plus à se redresser. Heureusement que son collègue l'aida à se relever. Par ailleurs, ils s'en allèrent tous les deux, suivant le papillon comme l'avait indiqué la petite fille.

    Le cerbère lui posa la question sur la suite des évènements. Bien évidemment, ils n'étaient plus en état d'aider qui que se soit. L'archère allait surement connaitre un tragique destin. Au final, Volf l'avait oublié et ne comptait pas la sauver. Il n'était pas un bon samaritain non plus malgré son désir initial de vouloir l'aider au tout début. L'homme masqué tait encore conscient et avait quand même la force de répondre.

    - Je crois qu'il va falloir rejoindre un bon lit pour se reposer. Une taverne ? Oui... On pourra y aller un jour, si on sort d'ici vivant.

    Ce n'était qu'une promesse éphémère. Mais si l'occasion se présentait, il n'était pas contre. Pour le moment, ils suivaient simplement ce papillon étrange et surement magique. Au cours de leur route, le chaperon rouge n'était plus visuellement là. D'ailleurs, ils étaient retournés en plein milieu de la forêt sombre. Puis d'un seul coup, le cri d'une femme résonna. Etait ce celui de la chasseuse ou bien celui de la petite fille ? Il y avait eu une victime en tout cas. Plus aucun son de lutte ne parvint à leurs oreilles, le combat était surement terminé.

    Le duo arriva bien vite jusqu'à la frontière de la foret afin de retrouver au plus vite la civilisation. Le trajet avait été pénible à cause de la douleur. Au cours de la marche, le bouffon avait raconté à son coéquipier une petite histoire.

    - Tu connais l'histoire des trois petits cochons ? Les trois petits cochons veulent vivre leur vie et quittent le foyer familial pour tenter leur chance dans le monde. Le premier petit cochon se construit une maison de paille. Le deuxième petit cochon se construit une maison faite de bois. Le troisième petit cochon se construit une maison de briques et de ciment. Le grand méchant loup détruit d’abord la maison de paille en soufflant dessus, et le premier petit cochon s’enfuit pour se réfugier dans la maison de bois de son frère. À nouveau, le loup détruit la maison de bois en soufflant dessus. Les deux petits cochons s’enfuient et se réfugient dans la maison de briques de leur troisième frère. Cette fois, le loup a beau souffler, il ne parvient pas à détruire la maison. Furieux, il s’éloigne et revient quelques jours plus tard, décidé à attraper les trois petits cochons en entrant par la cheminée de la maison. Les petits cochons l’ont vu venir, et le troisième petit cochon, qui est le plus malin, place une marmite d’eau bouillante dans la cheminée. Le loup tombe dans la marmite et se brûle si fort le derrière qu'il repart par la cheminée et ne revient plus jamais.

    Et au bout d'un moment, un nouvel inconnu apparait. Un homme tout de jaune vêtu, équipé d'un bâton et qui s'adresse à l'émissaire d'une voix lente typique d'une personne assez âgée.

    - Je vous remercie pour avoir aidé mon ami. Je vais prendre soin de lui à partir de maintenant.

    Volf s'écarte un peu de Klaus et reconnu le nouvel arrivant. Au début, il ne prononça rien puis se tourna vers son coéquipier.

    - C'est vrai. Tu as été d'un grand secours. Je vais devoir partir avec lui. Je le connais, ce n'est pas un ennemi.

    Pour prouver sa bonne foie, le vieil homme en jaune leva son bâton en l'air. Une lumière jaune enveloppa le corps des deux blessés. Au fil des secondes, les blessures guérissaient. Le sort avait été dosé pour ne pas être trop puissant afin de ne pas trop se fatiguer mais était suffisant pour redonner la force de marcher normalement. Puis le mercenaire rejoignit le soigneur et ils s'en allèrent de leur côté. Leur route n'était pas du tout le centre ville mais une destination plus obscure.

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