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  • Doki Doki Senpai but it's not for you (b-baka) [Judith - Klaus - Natsume]
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    Le dragon n'est plus, miracle est arrivé. Yggdrasil a protégé sa cité. Des mois de siège éreintant cessent, la ville millénaire respire à nouveau. Chaque soir, sous la lueur émeraude et bienveillante du grand arbre, les éossiens fêtent et célèbrent ceux tombés au combat. Après tant d'épreuves, la ville semble reprendre vie...
    Forum Fantasy
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    Eh bah, tu parle d'une journée qui sort de la normale. Aujourd'hui c'est sortie à la bibliothèque...Mais avec Klaus. Allez savoir ce qui se trame dans sa tête mais, il a décidé de rendre service à une certaine Diandra Mooreuz. Une histoire de déclarer sa flamme à quelqu'un grâce à un poème fait maison. Enfin ça, ce serait simple si elle n'avait pas demandé de l'aide pour la confectionner. Et le plus étrange dans toute cette histoire? C'est que, pour une fois, Judith a demandé de venir elle aussi. Oui vous pouvez imaginer la surprise de son invocateur. Pour la première fois depuis leur rencontre, elle a demandé de venir avec lui, de sa propre initiative. A aucun moment n'as-t-elle donné ses raisons. Il faut dire, elle n'a jamais expliqué les raisons de sa disparition après l’exécution. Rien si ce n'est qu'elle a été soignée en urgence pour sa commotion cérébrale. Cela dit, il ne faut pas se voiler la face. Sa décision n'est pas un acte désintéressé. Avec tout ce qui s'est passé, son moral a remonté en force et, elle a envie de profiter du moment pour, peut-être, faire l'effort de discuter avec le manchot. ...Bon il y a aussi surtout l'idée qu'elle puisse écrire de son coté quelque-chose, pour Iris. Elle veut lui dire ce qu'elle a au fond d'elle, sans être bloquée par la barrière de la parole. C'est important pour elle.

    Comme convenu, direction la bibliothèque. C'est le meilleur endroit pour trouver l'inspiration, et le calme. En parlant de calme, Judith est toujours aussi silencieuse, et pourtant... Elle agit avec beaucoup plus d'énergie et d'entrain qu'avant. Elle a même sur son manteau une tulipe. Elle l'aurait bien placée dans ses cheveux mais au vu de ses bandages sur la tête, ce n'est pas une bonne idée. Et puis bon, Klaus lui aurait sûrement fait une remarque là-dessus, même si bien attentionnée. ...Il va falloir qu'elle lui parle, de sa famille. Enfin tout ça, ce sera en temps et en heure.

    Et les voilà dans la bibliothèque, installés à une table dans un coin. Les feuilles, l'encre et les plumes prêtes, ça et un vieux livre de poèmes. Ils on beau avoir feuilleté un peu mais rien de bien intéressant qui en sort. La plupart des textes paraissent un peu...désuet. Et de toute façon, Judith s'en est allé plus loin dans les rayons. S'en aller est un grand mot, "perdue" est plus approprié. Elle regarde les couvertures de livres ici et là, sans trop de convictions jusqu'à en trouver un. "Problèmes de coeur" ...C'est... Judith le prends, au cas où. D'un petit coup de pouce, elle l'ouvre et feuillette tout en recul-

    AH !-

    Un choc, elle s'est cognée contre quelqu'un derrière distraite qu'elle est. Et avec tout ça le livre lui est tombé des mains pour s'écraser devant la personne. Sans chercher plus loin, Judith s'empresse de s'accroupir pour aller le récupérer.

    J-p-apa-je-pa-Ex-cucu-Pardon ! Wow c'était presque compréhensible. Le tout en courbant l'échine nerveusement, le livre dans les bras.

    L'accoutrement de la personne en face par contre, bien différent que ce à quoi elle est habituée. On dirait des habits éossiens. C'est curieux ça doit être l'un des seuls présent dans la bibliothèque.

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    NiKloss
    Zudith
    Doko Doki Sepnai but it’s not for you
    So i fell for you everything you said  
    Natsou
    VORNAME

    Diandra Mooreuz était une connaissance du magimorphe, en effet, celui-ci l’avait auparavant rencontré dans le cadre de sa profession et qui plus est, il l’avait croisé dans la rue et la chère demoiselle l’avait reconnue, il avait prit le temps de parler quelques instant, puis Klaus lui avait simplement proposé de boire un remontant ? Il ne manquait pas de temps et pis c’était toujours plaisant de discuter un peu.

    Ils avaient d’abord commencé a discuté de tout et de rien, puis le fil de la discussion avait rapidement viré sur le romantisme, ils parlaient tous deux d’un roman d’amour à l’eau rose qu’ils avaient aimé, petit à petit, Miss Mooreuz lui avait confiée qu’elle était amoureuse d’une tierce personne et qu’elle ne savait comment le lui confesser son amour, elle avait d’abord pensé à une lettre mais… ça le mais Klaus ne l’avait pas prit en compte, il se proposa spontanément pour l’aider dans sa tâche. Elle était d’ailleurs étonnée qu’il se propose, mais elle accepta et en prime, si sa lettre était à son gout, elle le payerait même.

    Il s’apprêtait à refuser mais se ravisa, être payer tout en rendant un service quoi de mieux espérer ?
    En rentrant ce soir là, il prévint Judith de ses plans pour demain & qu’il irait probablement faire un tour à la bibliothèque publique situé à la ville-basse tout avait été prévu sauf une chose, la participation de Judith à cette quête, euh ? Il faut dire que leur relation était quand même assez « neutre » fin, les deux partis faisait ce qu’il souhaitait à part tout en vivait dans le même logement mais… sa décision l’enchantait énormément, Pis ça leur ferait un moment qu’il passerait tout les deux.

    Les voilà donc dans la bibliothèque, pour sa part, il était planté sur une chaise en pleine panne d’inspiration, finalement, faire une lettre d’amour se révélait être bien plus compliqué que ce à quoi il pensait, il avait eut la prétention de penser qu’au vue de sa propre relation avec le beau Gabryel, cela devait s’avérer simple, mais… non. Ce n’était franchement pas comparable.

    Enfin bref, il commençait a s’ennuyer franchement, comme à l’époque de l’école, il faisait tournoyer une plume entre ses doigts, commençait a faire des petite boules de papiers, bref.
    Soudain il entendit très nettement un cri plus ou moins loin, serait-ce… la voix de judith ? Comparé à la dernière fois lors des émeutes après l’exécution du représentant éossien, il ne perdit pas une seule seconde pour allez la retrouver, s’était-elle bléssée ? Ou quelqu’un l’avait-il agresser ? Ici ? Euh… c’était possible non ?

    Il passa un à un les rangées interminables de livre, et lorsqu’enfin il l’aperçut au sol, il tourna dans cette allée, elle se trouvait en face d’une personne… un homme, et c’était… tient ? Le magimorphe de l’autre jour ?
    Ben ça alors...

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    Titre un peu long pour le code


    Une lettre et trois cas désespérés
    « Non mais, vous m'avez demandé les livres sur les problèmes de cœur, je vous donne les livres sur les problèmes de cœur !
    - J-je comprends b-bien, madame, m-mais...
    - Mais quoi ? Vous auriez voulu que je vous les porte, aussi ? Z'êtes pas capables de froisser vos robes pour aller ramasser des livres ? »


    Cette conversation ne mènera de toute évidence à rien, mais j'ai tout de même essayé. Ou du moins, j'ai bredouillé deux mots de protestation avant d'écraser ma tête dans mes épaules et de baisser le regard autant que possible car je crains actuellement pour... Je ne sais pas trop, mais je suis loin d'être à l'aise. Je serais même à deux doigts de raser les murs alors que je me fais disputer par l'une des bibliothécaires que j'étais allé voir pour m'aider à trouver un rayon particulier – c'est à dire que depuis l'arrivée des altissiens et des caldissiens, le système d'archive a été quelque peu refait. Je n'ose plus protester, me contentant de hocher de la tête alors que je suis finalement laissé seul dans un rayon qui n'était pas celui que je voulais visiter à la base.
    Mais je parlais de maladies cardiovasculaires, pas de... Pas de ça !

    Désabusé, je fixe l'étalage de romans de fiction avec une mine on ne peut plus agacée et exaspérée. Je ne sais même pas pourquoi je feuillette vaguement ce que je trouve, car mon expression se fait de plus en plus irritée au fur et à mesure que je lis... Bah, je ne sais pas trop ce que je lis, mais ça m'a l'air complètement stupide. Entre les ouvrages de « conseil » et les fictions de romance qui me donnent la migraine à la première page, j'ai bien envie d'écraser mon crâne contre un coin du meuble. De préférence le plus pointu possible

    « Mais c'est pas vrai... »

    Je n'ai que moi-même à blamer, probablement, même si cela m'énerve de le constater. Dans un soupir fatigué, je me dis que je ferais aussi bien de chercher par moi-même et d'espérer ne pas gâcher toute ma journée, même si cela me paraît mal parti. Sans trop faire attention à où je me dirige, je ne remarque pas la personne qui recule près de moi et lorsque la collision vient, je sursaute brusquement, pris par surprise. Pour une fois, toutefois, je ne crie pas : probablement parce que la personne avec laquelle je suis entrée en collision est déjà en train de paniquer.
    Clignant des yeux, je reste immobile et déconcerté par son angoisse grandissante, ne comprenant pas quelle raison la rend aussi... Eh bien, apeurée... ? Je ne peux pas dire que je ne saisais pas, avec mes anxiétés sociales, mais je ne sais pas vraiment quoi faire pour la rassurer, hormis hocher de la tête négativement et prendre la voix la plus tranquille que je puisse.

    « Non, non, je ne regardais pas à côté de moi, pas la peine de vous excu-... »

    Si j'allais terminer ma phrase autrement, une voix que je connais résonne toutefois peu loin de moi, et je relève instinctivement de la tête. Clignant des yeux, je ne peux qu'ouvrir la bouche bêtement. Lui ici... ? Il m'avait déjà dit qu'il avait traîné dans la bibliothèque, alors ce n'est pas si surprenant, mais c'est simplement un fait du hasard. En haussant les sourcils, je repose mon regard vers lui.

    « … Tiens, monsieur Evergarden ? Bonjour, je suppose. »

    J'essaie de me montrer respectueux en le saluant à son tour par un bref geste de la tête. Je ne veux pas qu'il croit que je le snobe, même si je ne veux pas non plus ignorer celle qui s'est confondue en excuses il y a quelques secondes. Reposant mon regard vers les deux, je me permets toutefois une question. Ne seraient-ils pas là à deux... ?

    « … Vous cherchiez quelque chose ? Mes excuses, pour la collision. »

    Pour l'instant, je parle un peu par politesse, sans y réfléchir plus que ça. Il faut dire que de base, je n'avais même pas prévu être là.

    ft. Judith Yeshua & Klaus Evergarden
    Mi-Avril 1001

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    Elle se redresse, regarde la victime de sa maladresse, un peu yeux écarquillés. Il dégage un aura étrange, vraiment différente de ce qu'elle a connu. Ça et que lui aussi a l'air déconcerté, plus par son attitude à elle qu'autre chose. C'est vrai qu'elle s'en fait trop la petite, tout le temps, même quand ça va bien. Il était à dire que tout allait mais, d'un coup, il se coupe lui-même la parole. Judith, toujours confuse, se retourne, pour voir Klaus qui... Elle regarde Klaus puis l'autre personne puis à nouveau l'invocateur puis encore l'autre. Un petit sursaut alors qu'elle se met sur le côté, c'est qu'elle est placée en plein milieu. A entendre l'homme qu'elle vient de "croiser", difficile à dire s'ils s'entendent bien ou pas. On dirait qu'il y a une tension? Ou bien c'est juste son imagination. Et puis l'homme reparle à nouveau, à s'excuser puis demander ce qu'ils font là. Judith ne réfléchit pas, et prends les devants, avec un espèce d'entrain qu'elle n'avait plus depuis un moment.

    Pa-N-nN-Non c'est m-moi qui m'exc-Enfin la coco-coll-colli-H-huh o-Oui oui. Je c-cherche de quoi écrire un p-po-poème à ma- Elle pose son poing sur sa bouche, pour se couper, les joues toute rouges. Complètement dans sa bulle, elle en a oublié qu'elle n'a pas dit le pourquoi de sa venue, ni dit à Klaus qu'elle s'était trouvé quelqu'un. Elle se racle la gorge avant de se rattraper comme elle peut en agitant les mains.

    E-je-j-je veux d-dire, o-on a-aide une am-amie à M-m-mons-Klaus à déc-aca-clarer sa fl-flamme à qu-qu-quelqu'un. D-du c-coup on ch-cherche des l-l-livres, p-pour l'insipi-l'inpipi-...l'i n s p i r a t i o n. D'ailleurs inspire expire Judith, ça te fera du bien.

    Elle le regarde à nouveau, avant de se tourner vers Klaus puis sur lui, à cligner des yeux. Elle sursaute presque, c'est qu'elle vient d'être tellement indiscrète, et pas très polie. C'est pas elle la meneuse ici. Alors elle recule et se met un poil plus sur le coté de Klaus, en évitant de les regarder tous les deux.

    E- 'xcus-sez m-moi. D'une petite voix, à rester dans le coin, les joues encore roses à l'idée d'avoir failli dire qu'elle faisait ça pour Iris.

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    NiKlaus
    NOM
    Doki Doki Doki Senpai, but it’s not for you,
    Natsu romantique ? :lol: ça me ferait bien marré
    Judith
    Natsu

    Devant la scène qu’il regardait, l’observation la plus logique serait la suivante : Judith & Mister Shimomura serait tout simplement rentré en collision, donc pas d’agression, personne ne semblait bléssé, il avait sur-réagit, fin, plutôt sur-penser si ça se dit. Il s’apprêtait à répondre à sa « connaissance « , « amis » ? Il ne savait pas trop comment le définir, bref, le moine éossien.

    Mais Judith décida au même moment de m’expliquer la situation ? Enfin de nous expliquer la situation, sous l’œil amusé du magimorphe il l’écouta avec concentration et sous aucun prétexte ne la coupa, elle est vraiment trop mignonne à paniqué comme ça pour un rien, y’a pas le feu ! Elle poussa ses explications sur la fonction de leur présence par ici qui ne dérangeait pas vraiment le caldissien.

    C’est après son monologue qui lui avait demander beaucoup d’effort quel revint vers lui, avec un petit « excusez-moi » Ben… pourquoi ? Il n’y avait aucun soucis ? Au contraire ! Elle était si mignonne quand elle tentait de s'exprimer, cela pouvait s'avérer chiant parfois, mais Klaus voyait ça cute.
    T’as pas besoin de t’excusez, merci Judith. D'ailleurs t'avais trouvé quelque chose d'intéressant ? J'peux voir ?  
    Il le lui prit des mains dès que bien sûr elle concéda qu'il pouvait. Mais ne l'ouvrit pas toute suite, se tournant vers l’éossien en premier lieux, lui rendant son salut et lui adressa ses quelques mots :

    Bien le bonjour Monsieur Shimomura ! En effet, Comme l'a dis Judith on prépare une belle lettre d'amour, cependant... en écrire une se révèle un plus grand défis que ce qu’on pensait… dîtes-moi vous ne seriez pas un grand romantique qui pourrait nous aider en cette tâche ?
    Tient c’est vrai, était-il de la tasse de thé roman romantique où des contes de preux chevalier, ou était-il plutôt dans autre chose, sur le plan de la littérature bien entendu.

    Il commença alors a regarder en premier lieux la couverture de l'ouvrage et vit "problème de coeur" , c'est la mine perplexe qu'il fronça les sourcils,  euh... c'est au sens littéral ou c'est le titre d'un roman ? Ben reste plus qu'a ouvrir la première page... Oh Pfiou, c'était bien quelque chose sur le thème romantique qu'ils cherchaient, mais... c'était pas un recueuil de poésie ou encore une histoire avec des personnages, mais c'était des conseils.

    DES CONSEILS ? Mais... y'a vraiment des gens qui lisent ça ?   murmura t-il avec étonnement  .

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    Titre un peu long pour le code


    Une lettre et trois cas désespérés
    Est-ce que je lui ai fait peur... ? Je ne sais pas trop, j'ai encore du mal à deviner, mais si ça se trouve, elle s'exprime juste ainsi. Je ne préfère toutefois pas l'arrêter dans sa lancée, alors je la laisse parler, l'écoutant sans non plus fixer un regard trop insistant sur elle, ce que je sais perturbant. Mais de ce que je crois comprendre, elle est ici avec Evergarden pour écrire... Une lettre de confession amoureuse, ou quelque chose du genre. Hm. C'est logique, vu l'endroit où nous sommes. Pour ne pas qu'elle s'inquiète, je lui fais signe de la tête qu'il n'y a rien de grave et essaie de suivre, même avec difficulté, la conversation qu'elle a avec le caldissien. Devant sa proposition, toutefois, je suis désarçonné et me crispe instantanément, mal à l'aise. Immédiatement, je me mets à faire l'inventaire de mes excuses dans ma tête, en passant par le fameux « j'ai laissé une tarte dans le four », mais de l'un, je ne sais pas faire de tarte (ou du moins pas qui ait un goût à peu près tolérable), et de deux... Même moi, je me rends compte que c'est ridicule. Au lieu de ça, je me confonds en excuses balbutiantes.

    « Euh... J-je ne suis pas exactement la personne la plus adaptée pour ce genre de choses, ce n'est pas ma spécialité. C'est-à-dire qu'à la base, j'étais venu pour des histoires de problèmes cardiaques... »

    Et c'est peu dire. Mais plus j'en parle, plus j'ai l'impression que je suis en train de m'enfoncer dans mon propre malaise. Yggdrasil, pourquoi je ne sais pas me comporter normalement... Pour autant, j'ai l'impression qu'ils ont besoin d'aide, alors je me dis que je ne perds rien à les accompagner. Au pire, ça leur fera une présence... Non ? … La petite voix dans ma tête me sussure qu'il y a de grandes chances pour que je le regrette, mais je l'ignore sciemment.

    « Mais j'ai l'habitude d'écrire des sermons, alors je suppose que ça n'est pas si différent... ? »

    En haussant les épaules, je jette un vague regard au livre qu'a tiré Evergarden, mais je dois avouer que je n'y comprends pas plus que lui. Ce n'est pas mon domaine, et ça ne m'a jamais intéressé ; tout au plus, j'ai toujours eu l'impression qu'il y avait peut-être quelque chose qui clochait avec moi, pour que ça ne m'intéresse pas plus que ça.

    « Je suppose que cela rassure certaines personnes … ? Même si je ne suis pas sûr que celui-là soit très recommandable. »

    En jetant un vague coup d'oeil par-dessus l'épaule d'Evergarden, toutefois, j'en ai la confirmation. Je n'ai pas besoin de lire plus de deux lignes avant d'y reconnaître des poncifs on ne peut éculés, et des « conseils » qui ont plus l'air de remarques d'un goût très douteux. Pas sûr, à vrai dire, que cela soit bien utile...
    ft. Judith Yeshua & Klaus Evergarden
    Mi-Avril 1001


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    Natsu grogne et fixe des fleurs en #8A4B08

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    Elle était restée à coté de Klaus, yeux baissés, un peu perdu dans le vide, mais surtout dans ses pensées. Des pensées qui se tournent vers Iris, sur ce qu'elle veut faire pour...hum...Elle ne sait pas. Elle a vraiment rejoint Klaus dans un élan inconsidéré. Est-ce que c'est pas un peu tôt pour faire un poème pour elle? A moins que ce soit trop tard? Les deux peut-être? Et puis, la voix de son invocateur. D'un coup, elle relève la tête, extirpée de sa bulle.

    H-huh? Qu'est-ce qu'il a deman- Oh he-euh-je...

    Elle n'ose pas finir sa phrase et se contente plutôt de lui donner le livre sans le regarder. Pourquoi est-ce qu'elle l'a prit de tout façon? Il ne va probablement pas aider, ou pire, l'inquiéter pour son début de relation. Quant au reste, elle se content de rester en arrière, à les regarder discuter entre eux. Visiblement ils se connaissent. Et puis Klaus ouvre le bouquin et Jud' baisse la tête, presque honteuse, comme si le livre était pourri, surtout à voir sa tête. Elle continue d'écouter la conversation, se retrouvant même confuse quand ce Shimomura parle de sermons. ...Shimomura...Ce nom lui dit quelque chose. Est-ce que...Est-ce que ce serait le même nom que celui dont le médecin parlait à l’hôpital? Mais voilà qu'elle re-baisse la tête quand lui aussi regarde "son" livre. Elle se gratte le nez avant de jouer avec ses doigts, clairement mal à l'aise. Et puis, histoire de "changer de sujet", elle inspire profondément avant de se lancer.

    O-on p-on pe-peut t-tou-jours i-imp-provi-proviser avec ce qu-qu-on co-connait? Elle les regarde, l'un puis l'autre, bouche entre-ouverte. Ses mots viennent au ralenti, hésitants.

    J-...j-je m-me d-dis q-que c-ce serait p-pupu-plu-enfin m-mieux s-si c-c'ét-ét-tait f-fait av-ava-avec le c-co-coeur...

    D'un coup, elle ferme la bouche, presque à se mordre les lèvres de l'intérieur. L'invocation a déjà l'impression d'en avoir trop dit. Elle ne veut vraiment pas que Klaus devine qu'elle fait ça par intérêt, avec quelqu'un en tête. Ce serait vraiment trop embarrassant pour elle, surtout s'il se met à poser des questions.

    O-on p-peut y aller m-mai-maintenant...j-j'im-j'imagine... En se grattant l'avant-bras tout en évitant leur regard.

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    NiKlaus
    Jud’
    Doki Doki Senpai
    zé repartiii
    NatNat
    VORNAME

    Ce moine éossien était vraiment drôle, il est venu pour des problèmes de cœur mais au sens propre du terme, cependant le voilà qu’il tombait dans l’allée des bouquins 100% romantique traitant du sujet au sens figuré, il aurait bien ris, mais il ne savait franchement pas si l’autre le prendrait bien.

    Oulà des sermons ? Oui ben en même temps c’est un membre du clergé normal quoi, mais d’un coté, oui ça serait utile dans le sens où comment ordonner le texte, oh et Judith se montre incroyablement bavarde aujourd’hui en tout cas plus que quand ils sont seuls à seuls-
    Improvisé ? Bon, très clairement la documentation ne nous aura pas servit à grand-chose aujourd’hui, donc moui, va pour l’impro’

    Fait avec le cœur ? Elle a entièrement raison sur ce point, du moment qu’une lettre de confession est fait avec du cœur, et beaucoup de sentiment c’est le mieux non ? Même si elle paraît… pas assez construite, brouillon à la lecture, rien n’équivaut le cœur. D’où sort-elle ça ? Il ne la savait pas si… romantique ? Il ne se doute de rien, mais par instinct de commère, il irait bien lui tirer les vers du nez, après tout, dans une relation tel que la leur, ils devraient se dire tout & savoir tout de l’autre ? Mouais non. Il lui poserait des questions de retour à la maison & avec subtilité, c’est-à-dire… mmhh à sa façon ?

    Il repose le livre un peu au hasard, ne sachant pas ou la plus petite l’avait dénichée, et la suivit docilement vers là où ils se trouvaient au tout début, à eux trois il devraient relever le défis vous ne croyez pas ? Il s'y attable, reprenant sa place de tout à l'heure, commence par relire ce qu'il avait fait, c'est à dire presque rien.

    Une idée par quoi commencer ? Personnellement, je voyais bien partir sur : "À l'adresse de mon tendre & cher amis, John" mais je me demande si "l'amis" est de trop
    Car oui, ça part clairement en "Friendzone" pitié reprenez-le avant qu'il n'écrive n'importe quoi.     .


    Dernière édition par Klaus H. Evergarden le Dim 23 Aoû 2020 - 19:08, édité 1 fois

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    Titre un peu long pour le code


    Une lettre et trois cas désespérés
    J'aimerais bien m'esquiver, m-mais... J'ai quelque peu l'impression que je me suis trop embarqué dans cette situation pour pouvoir filer en vitesse maintenant, malheureusement. Si j'affiche un sourire quelque peu forcé, c'est surtout pour cacher mon envie de geindre et de me cacher dans un coin. Fort heureusement, si je sais très mal mentir, je sais au moins dissimuler ce que je ressens ; ça, c'est ma spécialité. Au moins, je serais peut-être rentré pas trop tard, si j'y mets du mien... ?
    Si je veille bien à garder mon regard ailleurs alors que nous nous rassemblons autour d'une table et que je me pose sur une chaise, pleurant quelque peu le deuil de mon après-midi, je garde malgré tout une oreille ouverte sur la conversation. En dépit de tout, peut-être que je complexe un peu ; j'ai l'impression de ne pas du tout savoir de quoi l'on parle, et que quoi que je puisse dire sonnera forcément idiot, puisque ce n'est clairement pas mon domaine. Mais quitte à être là, autant que je fasse quelques efforts, ne serait-ce que pour... Pour ne pas perdre l'apparence, oui, je sais, j'ai des priorités bien douteuses. D'ailleurs, ce que dit Evergarden me fait tiquer, comme si cela me gênait un peu, alors j'ai assez d'aisance pour prendre la parole, l'air dubitatif.

    « E-eh bien... Dans ce genre de cas, « tendre » connote peut-être déjà assez bien ? Si c'est trop brusque, ce pourrait être intimidant. »

    Ou du moins, c'est comme ça que je le perçois, puisque rien qu'à le lire, cela me rendrait nerveux. Je ne perçois pas vraiment que ma propre pudeur due à ma nervosité me rend peut-être trop timoré dans l'imagination d'une telle façon d'écrire. Pour autant, parler de ma façon de percevoir les choses me permet d'avoir assez d'assurance pour faire des phrases complètes – ce qui, je l'estime, est peut-être déjà bien comme ça.

    « Je... J-justement, il serait peut-être intéressant de commencer doucement, comme une lettre normale... ? Peut-être en disant quelque chose qui lui a fait penser à son amie... ? … D'ailleurs, l'on dirait que c'est « une », donc ce n'est pas vraiment le bon prénom. »

    Je le pointe distraitement sur les quelques indications que nous avons, car mine de rien, ce pourrait être un peu plus important que de s'inquiéter d'un adjectif ou deux. Mais, par Yggdrasil, je vous jure que j'essaie, même si j'ai les joues un peu roses et que mon regard ne cesse d'éviter celui des deux personnes avec qui je parle. Ravalant ma salive, j'en viens donc là où je voulais venir.

    « … Puis peut-être parler de ce qui fait penser à cette personne ? »

    Pour être parfaitement honnête, je suis à la fois en train d'inventer sur place, et à la fois en train d'utiliser ce que j'ai déjà entendu durant des confessions. Ce qui, honnêtement, fait de moi une source bien douteuse de conseils.
    ft. Judith Yeshua & Klaus Evergarden
    Mi-Avril 1001


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    Natsu grogne et fixe des fleurs en #8A4B08

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    Bien vite, Judith s'installe un peu à la hâte sur sa chaise. Réajuster sa place, c'est fait, replacer les livres, c'est fait, plus qu'à attendre les autres. Bien vite, les deux autres suivent. Elle ne dit rien, se mettant plutôt en retrait, le temps de voir ce qu'ils vont trouver. Et c'est Klaus qui lance en premier. "Une idée par quoi commencer?" Judith serait tentée de juste lui pointer ce qu'il avait commencé à écrire au début (hey une ligne c'est déjà mieux que rien). La petite fronce les sourcils. "John?" Mais? C'était pas sensé être une-

    Ah bah monsieur Shimomura qui dit à voix haute ce qu'elle pense. Elle n'est pas folle, c'était bien une fille normalement la personne à qui son amie voulait se confesser. "Mon tendre et cher ami"? Même pour une lettre ce serait une tournure étrange. Là on parle d'un poème. La métisse tourne son regard vers l'inconnu. Ça crève les yeux qu'il n'a pas l'habitude de ce genre de choses. Remarque, personne ici n'a l'habitude. Cela dit, il marque un point, pour le coup. Parler de ce qui fait penser à la personne. Hmm... Judith reste le regard dans le vide, à réfléchir.

    D'un coup, l'invocation s'empare d'une feuille et d'une plume, sans dire mots. La plume dans la main gauche, la voilà qui commence à écrire...Enfin qui essaye... Elle est gauchère alors tenir une plume avec des bandages plein les doigts, ce n'est pas, err, pratique. La plume glisse, ses mots ont des formes grossières voir illisible et ça ne fait que lui faire perdre patience. Impossible d'écrire avec la main droite, elle n'y ait jamais arrivé et c'est pas le moment d'apprendre. Elle hésite puis se tourne un peu à l'écart des deux autres comme pour se cacher. Elle retire les bandages juste au niveau de sa main quitte à subir la bonne vieille douleur vive chaque fois que les brûlures prennent l'air. Sans en faire tout un plat, Judith ramène sa feuille vers elle ainsi que sa plume. Des piques vives et désagréables à chaque fois qu'elle essaie de toucher la plume mais, après s'être faite violence, elle arrive à la garder dans la main. Ça fait mal mais c'est supportable. Et la voilà entrain d'écrire toute seule "dans son coin" sans un mot, avec une adresse à la plume bien supérieure à tout à l'heure.

    Elle dépose finalement la plume et, après de longues secondes d'hésitation, glisse son brouillon au centre de la table. Elle ne les regarde pas, tête baissée au contraire, elle les fuit, énormément gênée parce qu'elle vient d'écrire. Est-ce qu'ils vont comprendre toute de suite ou...

    Et sur la feuille se lit:

    Iris, tel est le nom de la fleur
    Iris, pour moi tes yeux ont la même couleur
    Iris, cette part de tes yeux, la première que j'ai vu
    Iris, le signe que mes problèmes ne sont plus
    Iris, c'est la fleur des rois
    mais je me demandais
    Iris, dans ton royaume, est-ce qu'il y a une place pour moi?
    Iris, le temps fane toutes les fleurs
    cependant
    Iris, j'aimerais pouvoir partager tes moeurs
    jusqu'au bout de ton chemin
    ou jusqu'au bout du miens
    Iris, ses yeux, qu'ils me disent non ou oui
    Iris, je ferais tout pour que la fleur reste épanouie
    Maintenant et à jamais.

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    NiKlaus
    Natsu
    Doki Doki Doki Senpai. But it’s not for you
    Moi j’dis Judith future poète, de renommée, Klaus viendra la michtonner
    Judith
    VORNAME

    Si Klaus devait bien éviter un taff, ce serait celui d’écrivain, il a beau lire beaucoup voir plus que beaucoup, pour aligner des mots à l’écris c’est pas trop ça, comment avait-il pu se trompé sur un détail aussi important, Miss Mooreuz ne souhaitait pas s’adresser à un Il mais à une ELLE, c’est bon il avait honte, à la remarque de l’éossien, il fit un énorme trait pour « camoufler » sa bourde.

    N’empêche il avait raison, finalement, quand bien même il ait affirmé qu’il n’était pas la personne la plus compétente pour ça, son avis comptait beaucoup quand à sa dernière proposition, l’evergarden lui répondit dans la minute :
    Oh ! c’est une excellente idée merci Shinomura !
    Cette fois-ci avant de commencer à écrire quoi que ce soit, il prit la fameuse liste d’indication, il devrait bien y avoir renseigner le caractère de cette jeune femme non ?

    Il n’a absolument pas fait attention qu’a ses côtés Judith qui toujours muette comme à son accoutumé, écrivait encore et encore et pas de n’importe quel main, de sa main gauche parsemé de brûlure, elle semble être touché par la fièvre de l’inspiration, mais qu’écrit-elle au juste ? Finalement, elle dépose la feuille au centre, à la vue de tous, toute suite happé par ça, Klaus lève la tête dans sa direction, tandis que son invocation baisse la tête, il y’a un soucis ? Avait-elle envie de partir ? Ou avait-elle simplement vu quelqu’un qu’elle ne voulait pas ?

    Enfin bref, rien qu’a la première vers, on peut toute suite voir qu’il est déconcerté pas dans le mauvais sens bien loin de là, mais seulement…. Il ne s’y attendait absolument pas ? Alors il continue à lire, deux vers, trois vers, il continue à dévorer littéralement ces écrits.
    Là c’était clair et net, Judith lui cachait quelque chose, une chose aussi ÉNORME, alalah, il n’allait pas résister à lui tirer les vers du nez, mais pas toute suite, dès qu’il auront finis ici.

    Judith, je ne te savais pas si bonne plume, j’adore tout simplement, c’est très émouvant ! Mine de rien, il lui ferait bien un gros calin, mais elle semble pas très très prête pour ça, en outre, il se sent bien mieux, plus inspiré, une idée lui vint…

    Judith tu veux pas nous dicter quoi mettre ? je pense que tu saurais mieux trouver les mots juste, Môsieur Shinomura nous donne son ressentit et j’écris ? .

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    Titre un peu long pour le code


    Une lettre et trois cas désespérés
    Probablement que je devrais me taire et ne pas m'en mêler plus que ça. Après tout, je n'apporte pas grand chose à la conversation hormis un silence malaisé et gênant. Voilà pourquoi je détourne le regard et ne m'interroge pas plus que ça quand la cadette entreprend d'écrire un peu de son côté. Au départ, je ne lui jette qu'un coup d'oeil distrait, curieux de savoir si je l'ai potentiellement énervé (ce qui arrive souvent), mais au lieu de ça, mon regard est attiré par les bandelettes sur ses mains, qu'elle défait peu à peu. Si je ne dis rien, mes yeux s'écarquillent légèrement face à l'état de la blessure qui semble très récente.
    ... Qu'est-ce que... ? Comment arrive-t-elle même à écrire sans broncher... ?
    Je ne me permets pas de prendre la parole, d'une part car ça serait très intrusif, et d'autre part car je suis plus intrigué qu'autre chose. Me forçant à détourner le regard, je la laisse à ses affaires et tapote maladroitement des doigts sur la table. Yggdrasil, que j'aimerais que les secondent passent plus vite... Ce serait moins gênant. Mais fort heureusement, et avec une rapidité que je n'aurais pas soupçonné, la jeune fille se retourne vers nous pour nous présenter son travail.

    D'un œil curieux, je me permets de venir à lire. J'ai... Du mal à saisir. Pas que je ne vois pas l'effort, au contraire. Je suis toujours impressionné par ceux qui disposent d'une fibre créative, ou qui parviennent à se lancer pour créer, d'une manière ou d'une autre. Mais... Je ne parviens pas véritablement à mettre le doigt sur le sentiment qu'elle tente d'évoquer. Cela m'apparaît comme complètement étranger.
    D'un côté, c'est peut-être justement parce que je ne saisis pas qu'elle a touché juste.
    … Ou quelque chose du genre. Convaincu que je ne peux pas saisir, je hoche donc de la tête face à la proposition d'Evergarden. Mais la manière qu'il a de m'interpeller me fait me tendre. D'une part car j'ai la sensation qu'il est sarcastique et je ne sais pas pourquoi, et d'autre part car... Je n'aime pas vraiment qu'on m'appelle 'monsieur', surtout en insistant. Je sais bien que je ne peux pas trop lui en vouloir là-dessus, mais cela me fait grincer des dents. Tendu, je hoche vaguement de la tête, clairement mal à l'aise.

    « Je... Je peux faire ça. »

    C'est ça. Si je m'en tiens à des éléments très superficiels, alors j'arriverais probablement à m'en sortir. Je ne servirais pas à grand chose, mais je ne me tournerais pas les pouces non plus totalement. Voilà donc pourquoi je me raccroche à des éléments plus formels, reprenant d'ailleurs la parole maladroitement.

    « Je peux essayer d'arranger un peu les syllabes pour que le poème se déclame plus facilement en rhyme. »

    Je le dis sans trop y croire moi-même, mais au moins, sur ce qui est de l'ordre, je m'y connais. Je suis doué dans peu de choses, mais ça, c'est différent. Par ailleurs, pour ce qui est du ressenti...

    « … Peut-être faudrait-il rajouter quelque chose de plus direct. En fin de strophe... ?»

    Parce que moi, je ne saisirais pas vraiment où cela s'en va. Mais encore une fois, je ne suis peut-être pas un exemple.
    ft. Judith Yeshua & Klaus Evergarden
    Mi-Avril 1001


    ______________________

    Natsu grogne et fixe des fleurs en #8A4B08

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    Elle reste un peu dos courbée, toute renfermée sans oser les regarder. Elle commence à agiter des orteils et jouer avec ses doigts nerveusement. La peur de la critique, ça on connait hein? Elle tourne les yeux ne serait-ce qu'une seconde et voit bien la réaction de Klaus. Encore plus de pression d'un coup. Et puis le verdict qui tombe et sa remarque. La petite écarquille les yeux, se mettant même à luire par magie (littéralement). Ignorant complètement ce que peut penser Klaus, Judith se voit juste terriblement soulagée et même flattée d'entendre ça. Elle va peut-être la garder dans un coin de tête. Réécrire tout ça et, peut-être, le donner à Iris. ...C'est peut-être trop tôt. Le regard de monsieur Shimomura en revanche... Une petite remontée de tension en voyant sa réaction. Est-ce que ça lui plait aussi ou...? Mais pas le temps d'y penser que Klaus s'est déjà mit en tête de tout organiser pour bien rédiger. Par contre, Judith? Dicter? Vraiment? C'est peut-être un peu trop pour elle.

    Pas vraiment l'occasion d'avoir la parole car l'autre homme aussi se met à parler, à apporter sa contribution. Ah, corriger son texte. D'accord... Judith baisse légèrement la tête alors qu'elle se replace bien droite devant la table, comme une personne normale et sociable. Monsieur Shimomura dit des choses mais...hum... La mate ne sait pas vraiment de quoi il parle, surtout sur la fin. Toujours le regard baissée, elle joue nerveusement avec ses doigts. Et puis, d'une voix basse-

    J-je...C-c'-enf-j- Une profonde inspiration pour calmer un peu. J-je sa-sais pa-pas c-ce que c'-c'est une st-sot-strrrtr---s t r o p h e. Finit-elle en se grattant nerveusement le nez, un peu rouge.

    Je-j'ai-j-j'ai ju-juste...éc-cé-écrit c-co-comme ç-ça...

    C'est surtout qu'elle n'a rien écrit avec la bonne personne en tête. A jouer avec ses doigts, sa main brûlée sursaute, douleur soudaine qui n'a pas fait du bien. Toujours sans les regarder, elle reprends les bandelettes pour remettre sa main à l'abri de l'air libre.

    J-j-e s-je sai-sais pa-pas si c'est une bobo-bonne i-dée qu-je didi-dicte.

    C'est pas comme si elle avait déjà du mal à aligner plus de trois mots en une phrase.

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    Titre un peu long pour le code


    Une lettre et trois cas désespérés
    ... J'aurais dû me taire. La jeune fille semble on ne peut plus gênée, et je crois remarquer à son inconfort qu'elle aimerait ne plus être le centre de l'attention. Même si je ne suis pas bien observateur, j'arrive à percevoir le silence, alors je m'empresse de reprendre la parole pour tenter d'atténuer la potentielle gêne. Hochant négativement de la tête, j'essaie de pousser vers une conclusion de tout ce travail.

    « Nous n'en avons plus longtemps : plus que la mise au propre. »

    Et en soi, ce n'est pas long. Après quelques minutes de travail collectif, je crois que nous pouvons dire que la lettre est à peu près aboutie. Je n'y comprends toujours pas grand chose, mais cela se voyait, que cela tenait peut-être plus à cœur à la blanche qu'à Evergarden ; et j'ai la sensation que sa sincérité a permis de rendre quelque chose qui n'est pas si mal que ça, au final. Quand c'est finalement terminé, je me retourne légèrement vers les deux autres, même si je ne sais pas vraiment quoi dire.

    « Donc, hm... Maintenant, vous allez la ramener à la commanditaire, c'est ça ? Je crois qu'elle devrait être satisfaite. »

    … Ou quelque chose du genre. Mine de rien, je ne serais pas contre le fait de retourner chercher mes ouvrages de cardiologie, même si vu l'heure, j'ai quelques doutes quant au fait de réussir à trouver. Mais bon, c'était pour la bonne cause et je suppose que j'ai appris quelque chose... ?
    ft. Judith Yeshua & Klaus Evergarden
    Mi-Avril 1001


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    Natsu grogne et fixe des fleurs en #8A4B08

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    NiKlaus
    Judith :hug:
    Doki Doki Senpai, but it’s not for you
    Pardon de mon retard, dîtes moi si ça ne vas pas !
    NatNat :love:
    VORNAME

    Bon pour Klaus en guise d’organisateur on repassera, en tout cas Judith avait parfaitement saisi la façon de procéder pour un poème tandis que le moine lui, plus à l’aise à plume et dans les lois de grammaires et d’orthographe, finalement c’est un peu klaus la non pas cinquième mais plutôt la troisième roue du carrosse de ce groupe, enfin bref. Grace à ce belle exemple.

    Le groupe est bien plus productif et au fil des minutes, la lettre est vite pliée, tout content, l’émissaire se met à s’étiré, ils allaient enfin bouger, l’éossien est le premier à parler d’ailleurs.
    Mmh, je pense que c’est ce qu’on va faire oui, mais en tout cas merci à vous, ça aurait été bien plus long sans votre aide !
    Oui elle sera plus que contente, elle aura quelque chose qui pourra expliquer les sentiments qu’elle éprouve pour cette autre femme, j’espère que tout se passera bien entre elles…

    J’ai trouvé comment vous remercier ! Si on allait manger tous ensemble ? où vous voulez et c’est moi qui régale !
    Après tout, il était midi passé, Judith pourrait avoir faim, Klaus lui avait toujours faim et Monsieur Shinomura aussi ? tiens, d’ailleurs il se tourna vers son invocation et le lui dit :
    j’imagine que ça a du te faire mal pour écrire tout ça surtout que c’était très bon, alors merci à toi Judith.

    Il rangeait déjà sa chaise, et pris soigneusement le poème pour la plier dans l’emballage à lettre, prête à être remis à Miss Mooreuz, et d’un regard il les encouragea à sortir si ils avaient bien entendu manifester leur approbation à la suite des événements. rêvant déjà d’une belle part de viande à manger.                          .

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