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  • Mini-Event n°3 - Julliales
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    Le dragon protecteur d'Yggdrasil s'est réveillé. Au milieu des fiançailles de Gaston et Camélia, souverains d'Altissia et Caldissia, la statue figée depuis un millénaire a quitté son socle pour arpenter le ciel de la cité. De son rugissement puissant, il a fait appel à des monstres sauvages pour encercler Yggdrasil, rendant les entrées et sorties en son sein impossibles. Progressivement, les vivres viennent à manquer et les stocks se vident sans pouvoir se remplir...
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    +6
    Oros
    Alexander Edenweiss
    Jill Lazarus
    Judith Yeshua
    Rosemarie Förstner
    Faust Donovan
    10 participants

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    Mini-Event n°3
    Julliales



    L'été est arrivé.

    Malgré les désastres, malgré les catastrophes. Sans s'en soucier, le soleil s'est mis à briller pour faire venir la saison chaude ; et malgré l'ombrage bénévolent d'Yggdrasil, la cité de verdure s'est elle aussi réchauffée. Ses habitants couvrent les fenêtres de tissus humides, leurs têtes de châles les protégeant des rayons les plus vifs de l'astre solaire. Chez les Eossiens, l'habitude veut que l'on se cache sous les branches de l'Arbre, à entendre les heures les moins brûlantes ; le matin sert aux corvées, l'après-midi aux activités d'intérieur. Même les paysans s'affairent pour que leurs bêtes n'aient pas à paître péniblement. Les Altissiens, de leur côté, sont la cible de quelques railleries et moqueries plus ou moins bon-enfant ; leurs soldats semblent étouffer à l'ombre, bien mal à l'aise face à des températures qu'ils ne connaissent pas d'ordinaire.
    Les Caldissiens, de leur côté, ont quant à eux décider de ne pas déroger aux traditions. Que les grandes eaux de l'Hélios soient lointaines ou non ne les empêcheront pas de fêter ce qui est une des fêtes les populaires de leurs contrées. Avec le début de l'été arrivent les Julliales ; et Yggdrasil n'est pas épargnée par ces célébrations.

    Loin de là, même, puisque le lac lui-même est investi par les habitants des dunes, qui y ont convié ceux des montagnes et des plaines. De grandes tables ont été dressées et garnies par les volontaires ; nul religieux aux environs, puisque les omnistes les plus rigoristes n'ont jamais vu d'un très bon œil ces célébrations. L'ambiance est innocente, chaleureuse. Pas une table plus haute que l'autre ; et du coin de l'eau, on se précipite vers l'onde pour venir se rafraîchir. Sur des roches brûlantes et réchauffées par des flammes, on fait chauffer des légumes, quelques fruits ; même des morceaux de viande amenés par les paysans et ceux qui en ont les moyens. L'ambiance est au partage ; la nourriture est déposée sur les tables, en libre accès. Le crépuscule arrive, mais il fait encore chaud.
    Mais aujourd'hui, les Caldissiens ont installé un jeu : du coin de l'embouchure du lac, on distribue des canne à pêche. Le principe est simple : quiconque pêchera le plus gros poisson remportera son poids en nourriture... Et quelques petites potions, cadeau du magicien qui semble s'être chargé d'y attirer les bêtes aquatiques.

    Vous pourriez essayer; et, qui sait, peut-être en tirer quelque chose d'intéressant... Mais personne n'a dit que vous y trouverez forcément de simples petites bêtes.

    Consignes & Résumé


    - Le 12 Juillet est le jour d'ouverture des Julliales, cette fête caldissienne où l'on prend le temps de se retrouver au bord de l'eau pour jouer et déguster quelques grillades. Pour l'occasion, les caldissiens ont invité tout le monde au bord du lac !
    - Un concours de pêche est organisé ! Un magicien un peu louche a relâché des poissons dans le lac pour l'occasion : quand vous déciderez de lancer votre canne, vous pourriez bien tomber sur quelque chose d'intéressant... Prévenez nous à la fin de votre post que vous voulez tenter votre chance, et l'on lancera les dés !
    La personne qui gagnera repartira avec 2 potions de son choix. Chaque participant repartira un bon de 50 sicams !

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    ۞Les Julialles de l'an 1001 ۞

    Avec du monde

    ⛧  ۞  ⛧  ۞  ⛧  ۞  ⛧  ۞  ⛧  ۞  ⛧

    ⛧  ۞  ⛧

    Toustes au barbeuc'

    Jill ferme son livre en voyant qu’à l’extérieur, le soleil commence à se coucher. Elle s’étire en glissant à nouveau sous les draps et se blottit contre le vampire aux cheveux bleus à ses côtés. Comme Lionel lui a demandé de le réveiller au crépuscule, la nécromate lui caresse la joue et l’embrasse dans le cou pour qu’il émerge doucement. Le bleu frisonne et se tend légèrement, marmonne en gloussant que la nécromate le chatouille. Elle lui chuchote doucement à l’oreille quelques trucs mièvres et qu’il peut se réveiller.

    Le vampire s’étire et ouvre finalement les yeux. Il prend le temps de regarder au-dehors, sourit en voyant que le soleil commence à disparaître et que les nuages ont pris de belles couleurs roses, violettes et saumon. Il se colle contre son amante pour l’embrasser doucement, réclamant des câlins en faisant des bruits gaga et quelque peu horripilants. Jill se contente de rire en laissant faire, contente comme son compagnon d’avoir retrouvé ce genre de moments intimes qui leur manquait un peu, ces dernières années. Elle jette un nouveau coup d’œil vers l’extérieur.

    « Tu veux toujours qu’on aille à la fête ? J’crois que m’man est déjà partie. »

    Le bleu se redresse et s’étire à nouveau. Il attrape son ruban sur sa table de nuit et attache ses cheveux en queue de cheval.

    « Oh, bah, oui ! J’ai bien envie d’une petite baignade ! J’espère qu’on pourra pécher… »

    Évidemment.

    La Lazarus eut un petit sourire et se leva en première pour prendre de l’avance et s’habiller. Elle a envie de profiter que son corps ne fasse pas trop de siennes en ce moment (probablement que le fait qu’elle se repose beaucoup joue, étrangement) et de voir des gens.

    Car faut pas rêver, je vais pas regarder Lio qui galoche des poissons toute la soirée.

    En dernier lieu, Jill prend sa canne et une potion contre les douleurs en prévision et les deux se sont dirigés à dos d’iguane géant en direction du lac, profitant de la fraîcheur du soir maintenant que le soleil ne risquait plus d’attaquer l’épiderme du vampire.

    Le lac est déjà très animé quand iels arrivent enfin. Jill laisse Dante batifoler avec d’autres gros lézards à côté de l’eau et se dirige avec le vampire vers le cœur des festivités, pour voir de plus près le banquet et les activités battant leur plein. Les deux commentent tout ce qu'iels voient et s'entousiasment pour tout et rien, content.e.s de retrouver l'ambiance familière des Juliales de leur pays natal dans un endroit aussi magique que le Lac d'Yggdrasil.

    Jill aimerait retrouver sa mère ou d’autres visages familiers de son côté. Lionel est pour sa part bien plus attiré par l’eau. Sans perdre de temps il se précipite vers le bord et entreprend de retirer ses bottes et son haut pour plonger. En une minute, il est déjà dans l’eau et barbotte en chatonnant gaiment.

    « Tu veux pas venir ? »

    Jill s’observe et retrousse les lèvres. Lionel s’empourpre et pige rapidement que son amie rafistolée ne tiendrait pas longtemps dans le lac.

    « Oh… pardon ! »

    Jill agita la main pour dissiper les craintes de son comparse.

    « Oh, t'inquiètes, hein. Te gênes pas pour moi. J’vais aller faire un tour voir si y’a des gens que je connais. »

    Lionel fait des grands signes de la main pour dire un au revoir temporaire à Jill et retourna plonger dans le lac, omettant totalement de garder un œil sur ses affaires laissées au bord au passage.

    La Lazarus s’en va en premier lieu vers le banquet. Il lui tarde aussi de gouter au poisson frais qui sera péché le soir même. Rien que penser à des grillades lui donne l’eau à la bouche. Elle se contenta de trouver à boire pour le moment. Son attention est rapidement attirée par les poissons magiques et luisants lâchés dans l’eau. Elle se précipite avec sa brochette et sa boisson (enfin, tente surtout de se débrouiller avec sa canne) sur le bord pour admirer le ballet aquatique. Un peu plus loin, les gens s’affairent pour récupérer des cannes à peche. Lorsqu’une personne crie victorieusement pour sa première prise, la Lazarus se sent soudain bizarre.

    Son regard se dirige vers l’autre bord du lac et un souvenir traverse son esprit. Elle était déjà venue, de son vivant, avec Soltan, pendant la guerre. Iels avaient péché leur repas et dormi à la belle étoile.

    La nécromate sourit légèrement, pour une fois qu’un souvenir ne lui plombe pas son humeur. Elle fit volte-face et continua son chemin vers un petit banc avec une jolie vue sur l’ensemble du lac.

    Raie-sumé :



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    12 juillet
    1001
    Mini-Event n°3
    Julliales
    Quelle chaleur ! Je n'en pouvais plus. Comment les Caldissiens font pour supporter ça presque toute l'année ? C'est vraiment infernal. Je suis bien content d'avoir grandi à Altissia. En plus, quand on s'entraîne, on a moins froid, de toute façon, même en hiver. Alors quand le soleil décline enfin, je commence à mieux respirer. Je n'hésite pas une seconde de plus à me baigner comme d'autres personnes dans le lac, ne laissant qu'un bas que j'ai ramené exprès. Je compte bien participer à ce fameux concours de pêche dont ils ont parlé, mais pour l'heure, me désaltérer me fera du bien. Soupirant de bien-être, je nage tranquillement, heureux comme un poisson dans l'eau. Plus loin, Windie en a fait de même. Je souris doucement en apercevant ma chienne qui semble s'amuser comme une folle, cherchant sans doute des poissons dans l'eau.

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    Les Julliales de l'an 1001
    Mini-Event n°3 - avec des gens partout



    Ai-je déjà contemplé un tel paradis… ? Oh, dans ma longue vie de péripéties, je dois dire que c’eut été rare (à part  pour les matins où je vois mon reflet dans une flaque de boue, évidemment) ! Le lac est sublime, les ombres s’allongent sous le crépuscule, je peux presque m’y cacher… ah, quel plaisir. Mais, le paysage, ce n’est pas tout. Il y a surtout.

    DU. POISSON.

    Regardez ces étendues de poissons à perde de vue ! Je salive, mes pupilles sont dilatées. Sophie à mes côtés bave jusque par-terre et grogne en lèchant ses babines. Ce soir, moi et ma grosse bulledogue blanche nous éclatons la panse avec les délices de la nature… merci, moi-même pour cette idée de génie d’être venu jusqu’ici !

    Tout le monde est tellement affairé, il suffit d’être furtif et de se servir ! Et puis… c’est banquet à volonté, non ? Je n’aurais qu’à dire que j’ai apporté ma salade de patates et mes vérines à l’avocat.

    Par où commencer… ? Ah… par ce panier qui me tend les bras. Rempli. A. Ras-bord. De. Poissons. Ils frétillent encore ! J’adore les manger encore vivants. Hihihi.

    J’ai tellement la dalle que j’en oublie d’être discret. Le temps que je remplisse mes bras de vertébrés écailleux et gluants et que Sophie s’en remplisse la gueule, un vieux pècheur nous prend la main dans le sac.

    « Tu crois que je te vois pas petit con ?! AU VOLEUR ! »

    ...Oh non ! Pourquoi ça se termine toujours comme ça !

    « Mgmggmmhmppffffh ! »

    Dis-je avec un poisson entre les dents. Ce qui veut dire : SOPHIE ON SE CASSE !

    Je file à toute vitesse avec mes poissons sur les bras. Derrière, le monsieur mécontent alerte tous ses amis qui tentent de nous arrêter. Me voila qui bondit au-dessus des tables, dois finalement lâcher mes poissons pour courir encore plus vite à quatre pattes, grognant et feulent face à tous les grands dadais qui tentent de nous barrer la route. Sophie courre derrière moi, aboie sans savoir où donner de la tête.

    « Sophie !! LES SAUCISSES !! Prends les saucisses !! »

    Je ne sais pas pourquoi c’est ce qui me vient, mais la chienne s’exécute et la voila qui courre avec une magnifique traîne de saucissons derrière elle. Sans grande surprise, ça ne calme pas nous poursuivants… qui nous encerclent désormais…

    Plus aucune issue. Sauf…

    Le lac. Je… je dois… plonger… dans… dans l’eau. Oh, non. Mes poils se hérissent d’avance tandis que je fais le gros dos. Mais il me faut y aller. Je détale, criant à Sophie de me suivre.

    Et enfin je plonge.

    ….

    ….

    « MIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! »

    C’est FROID ! POURQUOI C’EST AUSSI MOUILLE ?!
    Ah oui, c’est de l’eau, l’eau ça mouille.

    Je bats des bras et des pieds dans tous les sens pour me réchauffer et partir vers le large… Ah ! Un toutou ! Sophie ! Sophie est là ! Attends-moi Sophie !

    J’arrive à la hauteur du canidé et m’aggripe à lui de toute mes forces, non sans sortir les griffes. Puis, je me tourne vers le rivage, les poils totalement hérissés. Je grogne et feule encore. Je déteste l’eau. Mais la tronche des gugusses sur le rivage est drôle à voir.

    Regardez-les sur le rivage, qui brandissent couteaux et fourches, la bave aux lèvres… ils ne peuvent attendre de me dépecer !! Enfin, non, quand même pas, en réalité ils ne font que beugler en restant au bord de l’eau… mais avouez que c’est plus épique décrit ainsi.

    ...Attendez… Sophie est restée sur le bord… elle bouffe ses saucisses. Mais… mais alors… C’est qui ce clébard auquel je suis accroché ?!

    Keskispasse :

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    Ce n'est pas trop mon truc, les fêtes de caldissiens, normalement. Pour des raisons un peu évidentes, j'évite d'ailleurs de trop me mêler de ça ; mais là... Bah, je me suis dit que j'allais en profiter, tout simplement. Je ne suis pas vraiment venu au lac en tant qu'ambassadeur, comprenez, mais en tant qu'un quelconque nigaud venu se baffrer et faire quelques longueurs dans l'eau fraiche. Car j'ai bien du mal à supporter la chaleur ; j'étouffe, même, en journée. Je n'ai pas posé prendre ma forme lupine depuis plusieurs jours, suant déjà rien qu'à imaginer le poids de ma fourrure sur mon corps déjà bien éreinté par les hautes températures. Alors je me plains. Je geins. J'en deviens vaguement insupportable ; c'est pourquoi la célébration des Julliales tombait assez bien, je dois l'avouer.

    Surtout pour ce qui est de ce concours de pêche. Il tombait bien, car sans me vanter, je suis maître dans l'art de ramener le poisson, héhé. Je rêve déjà de faire griller mes prises pour les offrir ensuite généreusement à qui le voudra. Bah quoi, c'est l'occasion de montrer ce que je sais faire, aussi ! C'est que les dîners et les réunions, ça n'est pas très excitant, comprenez. Même attendre qu'un poisson s'accroche bêtement à un hameçon, ça en devient palpitant.
    Alors, distraitement, je fixe le bouchon de ma canne en espérant qu'il finisse par plonger. Encore faudrait-il qu'il plonge...

    HS : Et on lance les dés de la pêche, sivouplé °W°

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      Elle tient la main de sa belle, Rosie, tout en marchant vers le lac. Elle n’avait jamais pu voir un truc du genre, habitant dans la ville enneigée d’Altis quasiment toute sa vie. Et les poissons, bah, en tant que requine, c’était quelque chose d’intéressant. Et elle voulait vraiment voir ça.

      En plus de ça, Rosemarie commençait à se sentir beaucoup plus confiante. Déjà qu’il faisait chaud, elle portait un truc beaucoup plus léger que d’habitude. Et puis, avec Judith, Rosemarie se sentait toujours mieux. L’animorphe pointe vers quelques personnes, au bord du lac.

        « R-regarde Juju! I-ils font un concours de pêche... »


      Elle aimerait bien participer, mais n’a aucune idée comment le faire. Et Judith, avec son membre en moins…. Le coeur de la jeune femme se met à battre plus vite. Son anxiété la gagnant.

        « O-on peut regarder les gens ? »


      Sa tête qui se lève vers Judith, les grands yeux dorés qui brillent et un sourire aux lèvres. Elle n’aurait pas voulu passer sa journée autrement. Honnêtement, avec Juju, Rosie ne s’ennuie jamais.

      ….Ah tiens, c’est Jill! Rosie lui fait un coucou gêné, joues rouges, alors qu’elle réalise que c’est la première fois qu’elle rencontre des gens et qu’ils… la voient avec une petite amie. Timide, Rosie se colle à sa belle blonde, enlaçant son bras.

      Elle est heureuse.

      résumé :


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    Huh ça va faire la deuxième fête à laquelle Judith participe avec Rosie, et, surtout, la première où elles sont officiellement en couple. Ca lui fait...drôle, de sortir avec elle dans ce genre de contexte, pour un événement, pas n'importe lequel. La dernière fois qu'elle avait participé aux julliales ça remonte à...si longtemps. Tout le monde était encore là, sauf l'ainée (on se demande pourquoi). A l'époque, c'était surtout papa qui allait à la pêche quand on le pouvait. Juste que, Isaac voulait voir Judith en action, voir si sa grande-soeur pouvait pas battre papa. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, ni lui ni elle n'étaient doué.es pour ça. Au bout du compte, le gagnant devait presque plus ça au hasard qu'autre chose. Enfin bref. La dernière, c'est Rosie qui l'aidait à se faire à la fête Altissienne, maintenant c'est au tour de la matte. Et puis, Rosie aime le poisson, c'était sûrement le bon plan.

    Alors elles viennent d'arriver au lac, main dans la main. C'est un peu déstabilisant de voir la fête se faire dans un climat pareil. Mais bon hein, Judith va pas se plaindre de voir Rosie plus, huh, décontractée. Mais c'est comme d'habitude, Judith fait un peu tâche à garder le même accoutrement comparée à sa grise. La marche se passe bien, la requin se met à pointer des gens. Ca laisse s'échapper un sourire chez Juju. La voir avec cet entrain là, sans que ce ne soit juste lié à elles, ça fait du bien. Ce qu'elle va faire la matte c'est, comme d'habitude depuis l'incident. Rester dans son coin, accompagner Rosie si elle veut faire quelque-chose, prendre une petite initiative de temps en temps tout au plus. 'Fin ça, c'était sans compter la demande à Rosie, avec ses gros yeux et son grand sourire.

    Hmhm ! Souriante, en hochant de la tête.

    Mais, après-coup...Elle a pas emmené sa belle juste pour regarder des gens s'amuser à leur place. Elle a pas particulièrement envie de participer mais, faire quelque-chose avec Rosie par contre... Elle reste pensive, à fixer les gens s'organiser, sans remarquer que Rosie salue quelqu'un d'autre. Elle hésite quand-même, jusqu'à ce qu'elle sente sa grise enlacer son bras en bandages. Le coeur qui s'en va faire du tam-tam pour choisir à la place de Jud'.

    Tu sais quoi- En regardant sa petite amie avant de se mettre à boiter vers un stand qui profite de l'occasion pour vendre de quoi participer au concours. Elle s'en va s'adresser à la personne, prendre l'essentiel pour enfin se tourner vers Rosie, avec un sourire confiant.

    On va même participer. En regardant sa requin à elle. Le regard qui se perds une petite seconde avant de revenir à normale. Judith baisse ses yeux vers les affaires, avant de re-regarder Rosie.

    Viens on se pose au bord. Je m'occupe de tout ! Même si elle était, huh, pas très confiante en ses talents inexistants de pêcheuse manchot unijambiste.

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      Timide, la jeune femme attend simplement que sa belle blonde ne lui donne sa réponse. Elle ne sait pas trop comment se comporter avec Judith, en publique, mais elle sait qu’elle veut garder ça le plus, euh…. ‘’Privé’’ possible. Même si bon, un petit bisou et tout, c’est bien correct.

      Et puis soudainement, Juju part dans un direction, emportant la petite requine avec elle. Judith qui semblait être prise d’une motivation soudaine, étonnant Rosemarie qui ne savait meme pas vraiment c…. Oh! Oooooooh!

      Si Rosie pouvait avoir des étoiles dans les yeux, elle en aurait. En tout cas, son sourire, lui, il brille, alors qu’elle regarde Judith acheter ce qu’elle avait de besoin pour participer au concours.

        « Oooh Juju!! »


      Toute contente, la requine tape dans ses mains, excitée, avant d’hocher la tête à ses mots. Elle la suit, regardant le lac et commençant déjà à imaginer un poisson que sa belle pêcherait. Peut-être qu’elle pourrait le faire cuire ce soir ? Ça pourrait être une bonne idée! Et puis un flash de la dernière fois qu’elles avaient mangé du poisson lui passe par la tête et… Oh Oros, son visage qui devient tout rouge.

        « J-je suis sûre q-que tu peux l-le faire! »


      Petit rire gêné de la part de l’animorphe qui avait oublié toutes les misères du monde. En ce moment, il n’y avait qu’elles et c’est tout ce qui lui importait. Une fois arrivées au bord du lac, Rosie lance un regard à l’eau. Elle a envie d’aller se baigner. Même si ses branchies… L’eau douce, ça brûle. La brunette lève la tête vers son amour, ses grands yeux dorés bien ouverts, attendant patiemment que Judith ne se mette à pêcher.

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    ۞Les Julialles de l'an 1001 ۞

    Avec du monde

    ⛧  ۞  ⛧  ۞  ⛧  ۞  ⛧  ۞  ⛧  ۞  ⛧

    ⛧  ۞  ⛧

    Toustes au barbeuc'

    C’est apaisant. Jill est bien contente d’avoir choisi de s’économiser ces derniers jours afin d’être assez en forme pour profiter de l’ambiance qui règne ce soir au bord du lac. Il est possible après avoir beaucoup mangé, bu et crapahuté sur sa canne, son corps le lui fasse payer les prochains jours… oui. Jill sait que ce n’est pas une très bonne décision sur le long terme, qu’elle risque d’avoir mal, après ça, qu’elle va regretter.

    Tant pis. Je veux pas rater tout ça.

    Le concours de péche a commencé un peu plus loin. Jill compte bien y faire un tour une fois qu’elle aura fini de manger sa brochette (dont elle ne sentait pas vraiment le goût sur ses papilles, mais bon, ça restait agréable). En observant les pécheurs en herbe s’approcher et s’équiper de cannes, son œil balaye la foule et…

    Oh… ? Mais c’est… ?

    Son œil revient en arrière et tombe sur le visage d’une jeune femme à la peu écailleuse familière.

    Ah, c’est Rosie ! Je me disais bien.

    Jill termine sa brochette rapidement et se hisse sur sa canne pour s’approcher de la requine et de la personne qui l’accompagne. A la manière dont les deux sont proches, échanges sourires et regards gaga et complices et ont entremêlés leurs doigts, la Lazarus se dit que Rosemarie s’est trouvé une copine.

    ...Oh purée. Mon cœur (enfin ce qu’il en reste, hehehe) va fondre.

    L’animorphe lui adresse un signe de main timide, que la grande zombie renvoie en arrivant lentement à la hauteur du duo. Les deux se dirigent vers le bord de l’eau, prêtes à commencer leur partie de pèche

    Bon, euh, aies l’air cool Jill. Tu es intérieurement en train de te liquéfier car Rosemarie et sa copine sont hyper mimi toutes les deux et la requine qui avait l’air tellement perdue quand tu lui a fait ton tirage a l’air de rayonner mais… gardes l’air de la maman--- EUH de la meuf cool. Ou-ouais. La meuf cool. Héhéhé.

    « Salut. Ça va, vous êtes venues pécher, toutes les deux ? »

    Et avec son tact légendaire (non), la nécromate ajouta, à l’adresse de Rosie :

    « Hm… c’est ta copine ? »

    Et hop. Les pieds joints dans le plats, comme d’habitude. La trentenaire sourit doucement à la jeune femme au teint hâlé et aux cheveux blancs qui serre la main de Rosemarie dans la sienne et se prépare à aller attraper du poisson.

    « Salut, euh, je suis Jill, au fait. J’ai, euh… j’ai tiré les cartes à Rosemarie un jour et… bah, euh c’est tout, quoi. Héhé. »

    Elle se tourne alternativement vers la matte et vers la grise.

    « Hm… jpeux me joindre à vous ? J’peux vous laisser tranquilles toutes les deux si vous trouvez que je m’incruste trop hein. »

    Elle sourit en coin, espérant qu’elle n’a pas percé la bulle des deux jeunes femmes qui désirent peut-être être seules pour cette soirée.

    Raie-sumé :



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    12 juillet
    1001
    Mini-Event n°3
    Julliales
    Je m'étire, profitant de la fraîcheur de l'eau pour me détendre alors que je sens un peu moins les brûlures du soleil sur ma peau. C'est différent de nos rivières et lacs montagnards, mais je ne vais pas m'en plaindre ; ce n'est pas désagréable. Fermant les yeux, je pousse un soupir d'aise. Je me mets sur le dos pour m'allonger, espérant profiter d'un moment tranquille.

    « Wouf ! »

    Mais c'était trop beau pour que ça dure. Je me redresse d'un bond en entendant les aboiements en alerte de Windie. Je l'entends grogner d'ici, probablement après quelqu'un ou quelque chose (sûrement pas après les poissons toutefois, puisqu'elle n'en a pas peur). En me retournant vers elle, je pousse un hoquet lorsque j'aperçois quelqu'un accroché autour de son cou. Elle tente de s'en débarrasser en gnaquant sans trop de brutalité, mais l'eau n'est pas vraiment l'élément dans lequel elle est le plus à l'aise.

    « Hé ! Qu'est-ce que tu fais à ma chienne, toi ! »

    Grognant à mon tour, je me précipite en les rejoignant en crawl aussi vite que je peux, de peur que le type sur elle ne lui fasse du mal. En public, toutefois, c'est risqué pour lui. Je vois surtout une grosse boule de poils mouillée se débattre et beugler. Un animorphe ?.. Peu importe. Arrivé à leur niveau, je me jette sur ce dernier pour le renverser dans l'eau en poussantun 'yataaaa'. Windie, libérée de son agresseur, se précipite hors de l'eau pour se sécher et ne pas se faire avoir une seconde fois.

    « C'est pas bientôt fini ce cirque ?! Vous allez faire fuir tous les poissons ! »

    Je remets la tête hors de l'eau pour voir et entendre. Mais bon, notre incartade se fait vite remarquée et n'est pas au goût de tout le monde. J'avais oublié qu'on était censé être en concours de pêche.

    « Au voleur !
    - ... Hein ? »

    Au voleur ?.. Oups. Je sais pas qui est le gugusse que j'essaye de noyer inconsciemment, mais il n'a pas l'air d'être bien vu. Je remarque des gens nous dévisager avec des airs mécontents sur le visage ; et pour une fois, je n'ai rien fait.

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    Bon, maintenant qu'elles sont au bord, Judith s'occupe surtout de...ne pas glisser. La dernière fois, ça s'est très très mal passé. Mais bon ça, Rosie n'a pas besoin de le savoir.

    Déjà pêché avant. Je vais te montrer. Souriante, heureuse d'étaler le peu de science qu'elle a sur le sujet.

    Toujours le bras en bandages enroulé dans le bras de sa grise, elle dépose comme elle peut les affaires de pêche sur le premier rocher à leurs côtés. Ne reste plus qu'à préparer le tout et-

    Et Judith se retourne, une voix inconnue au bataillon et elle aime pas ça. Une femme qui a, pas vraiment plus d'allure que la matte pour être honnête. Non en fait, elle a même l'air en plus piteux état. L'espace de deux secondes, Judith l'examine de la tête aux pieds. Le teint, les marques, même le regard et la façon de bouger un peu. Elle a vu tout ça suffisamment de fois pour savoir qu'elle n'est pas humaine, ou en tout cas, pas vivante. Et puis sa façon de les aborder toutes les deux là... Elle s'est trompée de gens ou? La femme aborde d'abord la requin, comme pour lui demander si Judith était sa... La matte fronce légèrement les sourcils, sceptique, méfiante même.

    Dans la foulée, l'inconnue se tourne vers elle pour se présenter. Judith se montre neutre et reste stoïque en entendant le "j'ai tiré les cartes à Rosemarie". Pas vraiment la meilleure façon de se présenter, surtout à quelqu'un qui a connu suffisamment de caravanes pour connaitre un peu le mode de fonctionnement des gens qui pigeonnent à coup de cartes de tarot. Juste l'idée que Rosie puisse s'être faite bernée par l'une d'entre elles... Oui non, Judith l'aime déjà pas. Mais bon, elle s'est présentée alors-

    Judith. Sans sourire.

    Et puis voilà qu'elle demande si elle peut se joindre au couple. Hmm... Elle aime pas ça, mais en même temps, pour qu'elle ose demander ça, c'est qu'elle doit s'entendre avec Rosie. Mais bon, ça a pas l'air de l'avoir empêché de "lui lire les cartes". Judith tourne son regard vers sa princesse.

    Tu veux?

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      Woah… C’qu’elle est cool, Judith. Elle sait tellement tout faire, elle est tellement confiante et tellement juste….. Trop cool. Rosie l’admire tellement, de là ou elle est, du haut de ses 153cm.

      Et puis la requine entend une voix qu’elle reconnait, se tournant pour voir Jill qui était venue vers elles. Rosie lui sourit, timidement, en lui faisant coucou… Est-ce que ça paraissait tant que ça, qu’elles étaient en couple ? Probablement, oui, en vrai. T’es drôle, Rosie.

        « O-oui! C’est ma pet-tite amie, J-Judith. »


      Ses joues s’enflamment quand elle prend conscience que c’était la première fois qu’elle présentait Judith à quelqu’un OH OROS TELLEMENT DE PREMIÈRES FOIS CES DERNIERS TEMPS POUR LA JEUNE FEMME C’ÉTAIT SI IRRÉEL. Bon calme-toi, Rosie, Jill et Judith semblent se parler, alors la requine reste tranquille, avant qu’on lui adresse la parole.

        « Huh ?... O-oh bah oui, b-bien sûr ! Tu v-vas voir, Jill est gentille e-et elle m’a beaucoup aidée, avec ses cartes. »


      Rosie se décolle quand même un peu de Judith, simplement pour lui laisser l’espace de pouvoir pêcher… Et aussi parce que bon, les collescolles c’est mignon, mais quand t’es avec d’autres gens c’est un peu bizarre. Alors la jeune requine regarde sa belle matte, les joues encore rosées, puis le lac, puis Jill.

        « E-est-ce que tu s-sais pêcher, toi, Jill ? »


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    ۞Les Julialles de l'an 1001 ۞

    Avec du monde

    ⛧  ۞  ⛧  ۞  ⛧  ۞  ⛧  ۞  ⛧  ۞  ⛧

    ⛧  ۞  ⛧

    Toustes au barbeuc'

    Judith et Jill ne se sont jamais rencontrées. Du coup, la Lazarus ne sait pas à quel genre de réaction s’attendre, mais mis le manque de répondant de la plus jeune sur de la timidité, sans lui en tenir rigueur. Tout en enregistrant le prénom de la plus jeune dans sa tête, Jill a l’impression de sentir une certaine méfiance émaner de la jeune femme au teint mat. Elle décide de ne pas trop s’appesantir dessus. Après tout, elle a sûrement 1000 raisons de se méfier d’inconnu.e.s qui lui parlent de tarot et qui ont la gueule d’avoir été sorti de la tombe le matin-même.

    Rosemarie prit le relais et semble essayer de rassurer sa compagne sur le fait que la Lazarus n’est pas méchante.

    « Oui, euh… j’ai pas fait grand-chose. C’est elle qui a pioché les cartes, hein, héhé. »

    Heh. Je pourrais faire une blague vaseuse à base de « héhéhé, elle dit ça parce qu’elle m’a pas encore vu dévorer des bébés vivants au petit déjeuner »… mais je crois pas que ça détendra l’ambiance. Retiens-toi, Jill.

    La plus âgée se contente de sourire en prenant une canne à pèche qui ne semble appartenir à personne avant de répondre à la requine.

    « Euh, un peu… je crois… ? »

    Je me rappelle vaguement que Lionel m’a emmené avec lui pour pécher dans l’Hélios, il y a longtemps. Il est où, d’ailleurs, cet andouille… ? Toujours en train de barbotter.

    La Lazarus imite d’autres pécheurs pour séparer sa ligne de la canne en bambou et vérifie que son hameçon, le flotteur sont en état, puis s’atèle à attacher son appât, non sans quelques difficultés.

    Pfff… j’étais plus manuelle avant. C’est chiant.

    Cela fait, elle lance finalement sa ligne et… attend.

    Huh… j’en ai déjà marre.

    « Bon, euh… bref… voila voila… c’est censé mordre au bout de combien de temps… ? »

    Elle ricane bêtement dans la direction de Rosemarie et Judith en fixant son flotteur.

    ...Je vais m’endormir débout si ça continue comme ça.

    Puis elle regarde son autre voisin, un type avec des cheveux extrèmement volumineux et pas très grand.

    « … Ça mord chez vous ? »

    Ou peut-être qu’on est pas censé se causer du tout et juste attendre en total silence… ? Mais… mais c’est MEGA RELOU.

    Résumé + Modo :



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    Les Julliales de l'an 1001
    Mini-Event n°3 - avec des gens partout



    Aaaaaah ! C’est pas Sophie ! C’est bien trop grand et touffu pour être Sophie… mais alors, qui est ce chien qui… oh. Voilà son maitre qui réplique. Il a pas l’air très content. Mais n’y a-t-il personne qui soit capable de m’apprécier à ma juste valeur, dans cet univers ?! Pfff… comme si je voulais qu’on m’apprécie, hein.

    Ce n’est pas ce qui est important, de toute façon. L’important, c’est que je grelotte et que je couine de malaise, tout chat mouillé que je suis et… cette idiote de malamutte me ramène vers le rivage !! Nope, nope, nope !! Je veux me détacher d’elle, mais cet abruti de type que je ne connais pas se jette sur moi pour… pour faire quoi, en fait… me couler ?! Mais enfin ! Qu’ai-je fait pour mériter tant de haine ?!

    Je bat des pattes dans tous les sens pour retourner à la surface et m’agrippe avec force à l’inconnu, prêt à lui lancer mon plus beau regard suppliant de chaton tout mouillé. Mais voila qu’y se mettent à gueuler sur le rivage.

    Quoi, les poissons ?!

    « MAIS JE LES EMMERDE VOS POISS-- BBLLBLOUB---- BEUARG !! MERDE A LA FIN !! »

    Je ne peux même plus insulter les gens sans retomber la tête dans l’eau et boire la tasse. C’est pas une vie. En plus, on me traite encore de voleur… oui, bon, c’est vrai, mais ça, le type auquel je me suis agripé ne le sait pas. Alors, autant tenter le coup. Surtout qu’il se rapproche du rivage et que je n’ai pas des heures pour tenter d’échapper à ces andouilles qui veulent m’embrocher.

    Je serre plus fort les épaules de mon « sauveur », mes pupilles félines grandissent au cœur de mes grand yeux effrayés, de mon visage tout tremblotant. Des larmes de crocodile coulent même de mes yeux (même si avec toute cette eau ça doit pas trop se voir).

    « P-pitié monsieur je… il y a méprise je… je… il me traitent de voleur mais jamais je ne ferais une chose pareille… je regardais juste la marchandise et il y a eu méprise… »

    Je renifle, boit encore la tasse, ce qui m'aide à surjouer des faux pleurs.

    « Croyez-moi ! Je suis une simple victime des apparences et des préjugés !! Bouhouhouhou ! »

    Puis, le coup de grâce.

    « S’il vous plaît… si je… s’ils m’emmènent aux géoles… ma Sophie, ma toutou adorée, elle va être seule… abandonnée... »

    Réponds à ça sans trembler des jambes !

    Keskispasse :

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    FAUST

    Pêchons !
    LAC
    >> Un Nénucarpe, peu commun (25%)

    Un poisson a mordu à l'hameçon ! Vite, vite, faut que tu le chopes ! De toutes tes forces (et sans casser la canne à pêche de préférence), tu remontes la ligne en espérant dénicher une créature rare. En tout cas, cette dernière se débat sous l'eau en créant des ondes de plus en plus fortes autour d'elle, éclaboussant les malheureux aux alentours.

    Lorsque tu sors ta ligne, c'est un Nénucarpe que tu as pêché ! Le bougre est en train de s'étouffer avec la fleur sur sa tête, mais au moins, il est vivant et plutôt gros !

    > OBTENU : x1 Nénucarpe ! C'est le troisième plus gros poisson du lac... !


    JILL

    Pêchons !
    LAC
    >> Une vieille chaussure moisie, rare (10%)

    Ta canne à pêche a enfin ferré quelque chose : et quelque chose de bien lourd, ma foi ! Alors que tu tires pour remonter ton précieux trésor, tu finiras sûrement par te rendre compte que ce poisson-là ne bouge pas beaucoup, et c'est bien étrange.
    Ce n'est que lorsque le fruit de tes efforts surgit enfin de l'onde que tu le découvres, et toute la beauté des champignons qui semblent y avoir élu domicile. Tu peux te sentir chanceuse : ce n'est pas tous les jours qu'on pêche une vieille chaussure moisie... !

    En revanche, pour le concours, ça risque d'être compliqué...

    > OBTENU : x1 Vieille chaussure moisie ! C'est le cinquième plus gros poisson du lac... ! (Le tenancier considère qu'il s'agit d'un poisson par pitié).

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    Le membre 'Oros' a effectué l'action suivante : Lancer de dés


    'Pêche des Julliales' :
    Mini-Event n°3 - Julliales Nenuca10 Mini-Event n°3 - Julliales Chauss12

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