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  • RP Libre Ω La fête des morfales
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    Le dragon n'est plus, miracle est arrivé. Yggdrasil a protégé sa cité. Des mois de siège éreintant cessent, la ville millénaire respire à nouveau. Chaque soir, sous la lueur émeraude et bienveillante du grand arbre, les éossiens fêtent et célèbrent ceux tombés au combat. Après tant d'épreuves, la ville semble reprendre vie...
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    La fête des morfales .

    ♫Mangez c’est la vie ♫



    Aujourd’hui marquait le début du week-end et il se trouve que Klaus l’attendait depuis le début de la semaine passé, il avait travaillé comme un fou pour boucler tout ce qu’il avait à faire pour avoir deux journées de repos complète, mais que comptait-il faire ? Passez sa journée dans une tanière et finir extrêmement bourré ? Non. Sortir sur la place marchande et enchainer les achats dans diverses boutiques ? Non plus, Il voulait tout simplement glander, profiter de la vie, faire quelque chose de drôle, qui le tranquillise, bon toute de même avec un petit verre de vin rouge aussi.

    Il se leva de son lit après avoir fait une grasse matinée jusqu’au environ de 11h , fit sa toilette de long en large, se vêtit simplement pour une fois, d’une simple chemise blanche sans tâche (pour une fois qu’il arrivait a la garder ainsi) ,d’un pantalon d’un marron clair et enfila avec tout ça une pair de botte en cuir noir, il était désormais fin prêt à sortir, oh il oublia une étape ! Celui de se pomponner un peu, oui du maquillage, en effet, vous pensez vraiment que les paillettes qu’il a par moment son naturel ?? Enfin bref, il n’opta que pour du parfum et s’en alla, ne manquant pas de fermé la porte à clef à son départ.

    Il se trouvait maintenant dans la joie du quartier des loisirs, main dans les poches il slalomait entre les passant qui venaient visiblement de toute les directions, il n’y a vraiment pas meilleur quartier que celui là, malgré le bruit en continu de la taverne en dessous de chez lui, il s’y plaisait énormément et la bonne humeur omniprésente ici était des plus chaleureuse, c’était donc un mal pour un bien. Le magimorphe s’arrêta de nombreuse fois, chez une fleuriste, un artiste de rue qui armé d’un instrument, faisait profitez quiconque de son talent, Midi arriva bien plus vite que Klaus le pensait et bientôt, il pourrait entendre son ventre poussé un cri des plus familier, celui de la faim. Il se mit donc en quête d’un restaurant ou d’une boutique où il pourrait trouver son bonheur.

    Ce type d’échoppe n’était pas rare, mais aucun ne convenait vraiment au gout de Klaus, pourtant il y avait vraiment pour tout les gouts, spécialité altissienne, caldissienne et même éossienne ! Soudain un établissement retint toute son attention, la devanture était certes comme toute les autres, cependant elle avait quelque chose de bien différent, sur l’écriteau, il était inscrit : « Concours du plus gros mangeur, toute culture culinaire » D’abord ceci avait fait rire Klaus, puis par la suite il y réfléchis sérieusement, quoi de mieux que de se remplir la panse tout en s’amusant ? Klaus pénétra donc dans le restaurant et y fut très bien accueilli, pour l’instant il n’y avait pas grand monde, mais le concours n’avait pas commencé pour autant, il restait quoi… 3 quart d’heures pour les inscriptions ? Cela allait arrivée bien vite.

    Pendant ce Temps, Klaus se retira sortit du restaurant, afin de profiter des rayons de soleils que donnait l’extérieur, il prit place sur une chaise pile face au restaurant et se mis à regarder le ciel, en outre les meilleurs prédisposition pour se mettre à rêver et se faire ainsi engloutir par ses songes, jusqu’à ce que quelqu’un vienne y mettre fin.


     

    NiKlaus.





    AIVERIBODY .




    ©Codage sur Natu~ sur Libre Graph'


    RP Libre Ω La fête des morfales  Paques11
    Héhé, rien de tel qu'une bonne tarte à la crème dans le visage de quelqu'un qui nous énerve. Ce septième petit lapin l'a bien compris. En revanche, en terme de nourriture, le huitième préfère le sucre ; tout particulièrement le matin. C'est une vraie guimauve, et une matinée avec l'être aimé tend à faire fondre son coeur.


    Dernière édition par Klaus H. Evergarden le Dim 24 Jan 2021 - 0:39, édité 2 fois

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    26 mars
    1001
    La fête des morfalles
    avec Santa Klaus
    Je ne sors pas si souvent de mes quartiers quand je travaille, bien sûr, mais celui des loisirs est quand même un de mes favoris, sans trop de surprises. On y retrouve tout ce qu'il y a de plus attrayant, et c'est bien sûr là-bas qu'il y a les meilleures tavernes, alors je m'en donne à cœur joie. Je vais souvent y retrouver Gabryel au Twilight pour boire un coup et faire des jeux. Mais il est bien trop tôt pour aller prendre une chope de cidre. Je me suis autorisé aujourd'hui une pause déjeuner exceptionnelle un peu plus longue que d'ordinaire car j'avais oublié de manger ce matin avant de partir travailler. Je me suis endormi un peu tard la veille pour terminer de lire les derniers chapitres d'un de mes romans et résultat je me suis retrouvé à me lever en retard pour partir en patrouille. Mais je ne pouvais pas continuer à travailler avec le ventre vide, et n'importe qui qui me connaît sait que je suis un gros mangeur. J'ai laissé Windie à la maison pour qu'elle puisse se reposer un petit peu aussi. J'ai l'impression qu'elle se fatigue de plus en plus. Elle doit être un peu vieille maintenant, quand j'y pense, mais en même temps... Cela fait bien vingt ans que je l'ai, et elle était déjà adulte quand je l'ai recueilli. Mine de rien, elle pète toujours autant la forme, ceci dit, c'est marrant... Enfin bref.

    Vu que le quartier des loisirs accueille les meilleures auberges, je m'y suis précipité afin de découvrir quelques nouveautés. Et je ne suis pas déçu, pour l'instant. Marchant d'un pas serein dans les rues, mon odorat capte des senteurs toutes plus merveilleuses les unes que les autres, me faisant saliver d'avance. Comme d'habitude, il y a tellement de choix que j'ignore sur quel bâtiment m'arrêter. Il y en a un en particulier retient tout de même mon attention. Pas pour la devanture, cependant. Mais pour ce qui se trouve devant. Un drôle de type est assoupi sur une chaise au milieu de la rue. Je le scrute d'un air à la fois perplexe et amusé.

    « Alors, l'ami, on pique un roupillon ? »

    Quelques personnes étaient déjà en train de le regarder d'un drôle d'air. Il arrive des tas de choses incroyables chaque jour sur Yggdrasil, mais je m'inquiète plus pour le bougre qu'autre chose.

    « Cela peut être dangereux, de s'endormir en pleine rue. Mieux vaut être prudent. »

    Je lui lance un sourire compatissant et amical. Je peux comprendre les élans de fatigue, mais il aurait été plus confortable dans un endroit où il y a peu de monde et surtout peu de bruits. Je pourrais l'aider à trouver un coin à sieste, s'il galère tant que ça.

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    >> La fête aux morfales
    Galérienne niveau 1000
    Avant toute chose ; non, je ne m'attends pas à gagner. Les concours de nourriture, ce n'est clairement pas bon pour mon système digestif très hasardeux, surtout quand c'est excessivement sucré. En revanche... En revanche, je suis très douée pour me baffrer jusqu'à ce que je n'en puisse plus, et ainsi faire de bonnes réserves pour les moments les plus difficiles. Parce que oui, les concours de nourriture, bien que je les considère comme des gâchis absolument indignes (comment ça, je fais trop la morale), sont aussi l'occasion de se remplir la panse sans aucun autre frais. Lorsque l'un d'entre eux est donc organisé, je ne me fais nullement prier pour participer. Et puis, en plus de ça, c'est toujours assez drôle de voir des gens trois fois plus grands et gros de moi plier bagage avant que je ne le fasse.

    Pour autant, j'ai l'impression que ça traîne... J'avais repéré l'annonce tout à l'heure et m'étais inscrite, mais en zigzaguant dans les rues, j'ai bien vite eut fait de me rendre compte que les participants potentiels ne se pressaient pas. Tss... Qui donc passerait par dessus la possibilité d'un repas gratuit ? C'est tout de même incompréhensible... Bon, remarquez, si il y a peu de gens, peut-être que j'ai une chance de gagner, mais... Je ne m'attends pas à des miracles. Je n'aime pas me faire des grands espoirs ; après, je suis déçue, et je passe ma soirée à me faire les griffes sur tout et n'importe quoi pour me sentir mieux. C'est pas drôle. Autant s'attendre en permanence à une déception, comme ça, tout va mieux... Ou quelque chose du genre.
    Bref. Toujours est-il que ça n'avance pas, cette affaire, mine de rien, et ça commence à me taper sur les nerfs. Impatiente, je finis par sauter de la petite terrasse en hauteur où je me tenais (je vous jure que je n'étais pas en train de fouiner chez quelqu'un sans autorisation, madame la soldate), afin de me retrouver dans la rue, à quelques mètres seulement de l'établissement où devait se trouver le concours. Passant nonchalamment près de là, mon regard finit par détecter la présence de deux types, dont l'un venait visiblement tout juste de sortir de son sommeil. J'ai l'impression d'avoir déjà vu l'un des deux quelque part, et d'ordinaire je fais attention à ne pas me retrouver avec des gens que j'ai plumé, mais je ne crois pas que ce soit le cas, alors je ne m'en préoccupe pas vraiment. Peu intéressée au début, je porte plutôt mon regard vers l'intérieur du magasin, fronçant les sourcils en remarquant les commis s’atteler aux dernières préparations. Probablement que ces gens-là sont là pour le concours. Mais je n'ai pas l'impression qu'il y ait encore grand monde... Hm. C'est embêtant. Si il n'y a personne, alors il n'y aura pas de concours ; et si il n'y a pas de concours, alors pas de nourriture dans mon ventre, ce qui serait un drame. Décidant donc malgré moi de prendre la parole, je leur jette un bref regard, neutre et sans amicalité ni hostilité particulière.

    « Hé... Si c'est pour le concours, ça va commencer. Mais je ne crois pas qu'on sera beaucoup. »

    Autant les prévenir. Je ne suis pas contre plus de participants, me direz-vous ; les jeux, c'est plus drôle à plusieurs. Simplement, j'ai l'impression qu'il y aura plus de curieux que de vrais participants... Hm. Bizarre, mais je chasse cette pensée de ma tête.
    Libre
    Avril 1001

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    La Fête des morfalles .

    Que le meilleur gros porc win (a)



    Il s’était assoupi, comme ça dans les rues, comme un vrai vieillard de 50 balais, son rêve était d’abord vide, il se trouvait dans une immensité de gris, où son propre corps tombait perpétuellement, jusqu’à ce qu’il se réveille sur une masse chaude, un sable d’un jaune éclatant, pourtant c’est impossible, ce genre de sable, le sable « éternel » on l’appelle, ne se trouvait qu’a Caldissia…

    Il se releva s’asseyant en tailleur, il était entouré de sable, au plus profond du désert, en levant les yeux vers le ciel, celui-ci était noir, parsemé de plusieurs étoiles un peu partout, une légende raconte que chaque étoile représente une vie qui s’est éteinte sur cette planète, vous y croyez ? L’atmosphère était chaud, étouffant, comme il l'aimait, une oasis était discernable non loin, assez qu’une silhouette juste devant, il plissa les yeux, se reposant entièrement à sa vue de canidé, et ce qu’il vit le laissa sans voix, ces cheveux brun sombres, tombant le long du dos de l’individu au loin, il les reconnaissait, toute suite il se releva et commença a courir, plus qu’il ne l’avait jamais fait auparavant.

    Il s’était mit à appelé cette silhouette, des larmes commençaient a faire leur apparition sur son visage matte, il rajeunissait à vue d’œil à mesure qu’il approchait de cette personne, qui au cours de route de Klaus, s’était retourné et le regardait avec un sourire réconfortant, angélique, elle l’accueillait les bras grand ouvert, c’était sa mère.

    Il avait très vite compris que ce n’était qu’un songe, mais ça lui faisait du bien, que ce soit quelqu’un qui jouait avec son esprit dans le but de voler sa bourse, ou un simple rêve produit par son subconscient ça le lui allait, il avait entamé la discussion, Klaus lui disait plusieurs fois à tel point il l’aimait et qu’il la lui manquait terriblement, celle-ci se contentait d’hocher la tête, une main poser sur son visage, le dévorant littéralement de ses yeux verts scintillant comme les étoiles.

    Il était redevenu, l’espace d’un instant l’adolescent qu’il était jadis avant cette terrible tragédie, tout mignon, proche de sa maman, toujours à pleurnicher aussi, mais c’était un détail. Soudain elle se leva, proposant à son fils de piquer une tête, chose qu’il déclina avec soin, il préférait mieux l’observer que se mouiller pour le moment. Sa mère Illua avait donc entamer quelques bond avant de faire une bombe dans l’oasis, et lorsqu’elle en sortit la tête de l’eau, elle éclata de rire.

    Ce rire l’avait tellement manqué, NiKlaus commença a se demandé si ce songe allait se finir, car elle commençait à s’éloigner de lui, mais il repoussa bien cette idée. Soudain, une créature fit son apparition, non loin de sa mère, elle marchait littéralement sur l’eau, c’était une panthère. Une panthère noire, comme celle qui le lui avait arracher le membre il y a quelques années, il s’était totalement arrêter de bouger,  ne pouvant que bouger ses globes oculaires pour suivre sa progression, il était tétanisé ne pouvant ni crier, ni bouger, comme avant, lors de sa rééducation, il s’était complètement refermé sur lui-même ressassant chaque nuit, chaque semaine le même cauchemar, ou il revoyait cette bête, sauf que cette fois-ci elle n’allait pas vers lui, mais vers sa mère, sa précieuse mère, qui était d’ailleurs dos à lui entrain de s’amuser à faire le poirier dans l’eau.

    Son fils ne pouvait que voir impuissant la progression du fauve, salivant en proie à sa nouvelle victime, que pouvait-il faire ? C’était sa mère quand même, bien que rien de ceci soit vrai, elle allait mourir une nouvelle fois, dans les pattes de cette chose, merde, non il ne pouvait pas laisser faire ça. Poussé par la rage et son envie plus qu’irrépressible de protéger ses proches, le magimorphe fit un énorme feulement, bien entendu pour la créature.

    Celle-ci tourna désormais sa tête vers lui, et tout croc découvert, se mis à courir, vers sa nouvelle cible, celle qui l’avait provoqué, la peur au ventre klaus ne fit rien, complètement terrifié pour faire quelque chose. Le fauve bondit sur lui, il avait fermé les yeux. Pour au final les re-ouvrir mais il n’était plus là-bas, il était de retour à Yggdrasil, dans le quartier des loisirs, son cauchemars avait donc prit fin, mais qui avait donc interférer avec ça ? Quelqu’un, oui quelqu’un lui parlait, il leva la tête et entra en « eye contact » avec le nouveau venu, celui-ci le regardait dérouté mais bien plus amusé par sa situation, il s’était vraiment assoupi ?

    Tient.. d’ailleurs, il avait une odeur particulière… ça le faisait pensé à… lui enfaite ? Hormis le faîte que Klaus sentait encore un tout petit peu, le soleil et les dunes de sables de Caldissia, en raison de son magimorphe, on pouvait dire… qu’il sentait le clébard à plein nez. Mais il se trouve que l’homme devant lui aussi, il continua a renifler de plus en plus fort, jusqu’à apercevoir quelque chose sur sa cuisse, l’une des rares zones où qui n’était pas recouvert de son armure, Des poils de chien ? Ah, il se faisait des idées, dommage il serait pas contre rencontré un animorphe ou un magimorphe.

    Il le lui répondit quelque peu gauchement, n’ayant pas entendu sa première phrase :
    Euh…. Salut ?
    Il reprenait à peine conscience des choses, c’est sûr qu’il sera encore plus troublé par la suite. De plus, il venait de se rendre compte d’un truc, Lorsqu’il faisait des cauchemars, Klaus avait une sorte de « tic » en effet, ses ongles se transformaient, devenant des griffes, toutefois, il serait fort les poids quand il avait peur, j’vous fait pas plus de dessin, il s’était blessé stupidement la paume de ses deux mains.

    Ben franchement c’était malin, il n’avait pas vraiment le temps d’aller chercher de quoi se soigner, le concours allait commencer sous peu, c’est d’ailleurs à ce moment précis qu’une nouvelle venue décida d’entrer en scène, Une petite s’approchait des deux hommes, que voulait-elle ? elle était arrivé sur sa même déduction, le concours allait commencé, c’était sans aucun doute une participante.

    Il allait devoir rentrer lui aussi, cependant, maintenant qu’il avait l’esprit bien clair, il pouvait répondre « correctement » à l’homme en armure :
    Merci de m’avoir réveillé, sans vous, j’aurais certainement loupé l’heure du concours & me serait fait volé en prime ! Tient d’ailleurs puisque vous êtes là… il est plus que l’heure de manger ! vous venez avec nous ?
    Le nous signifiait aussi la petite qui les avait rejoins, qui d’ailleurs avait une bouille tout mignon, mais il allait surement pas le lui dire, elle semblait franchement pas des plus commodes, et puis les adolescents de nos jours, il on en marre d’être « mignon », il le lui jeta tout de même un regard embrasé pleine de malice :
    Si tu participe, je me doute bien, que ton apparence à première vue, n’est pas représentatif de ton appétit, garre à toi, car je suis affamé depuis hier soir ! Oh oui, de l’adrénaline et de la compétition, de quoi le requinquer et le faire oublier le plus possible son songe encore frais dans sa mémoire. Ah et il devait désinfecté ses blessures, bon bas, bien que ça peut être mal vu, autant lécher le sang jusqu’à ce qu’il ne coule plus.                     .


     

    NiKlaus.





    Nom du personnage.




    ©Codage sur Natu~ sur Libre Graph'

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    26 mars
    1001
    La fête des morfalles
    avec Santa Klaus
    L'homme au milieu de la rue, il se réveille enfin pour me saluer. S'il était si fatigué, il aurait pu rester chez lui pour se reposer. Mais notre échange est interrompu par une voix qui s'approche pour nous prévenir au sujet du concours.
    ... Quel concours ?
    Je dévisage la femme-chat qui nous a interpellé. Je n'avais pas du tout fait attention en effet à la pancarte sur la devanture qui alerte d'un concours de nourriture imminent. Surpris, cela a eu moins eu pour effet de réveiller mon estomac qui se met à grogner subitement. Héhé... Un concours de bouffe, hein ?.. Moi qui ai un appétit de mammouth, je crois que c'est un défi pour moi, ça. Et apparemment, l'inconnu aux yeux verts est de mon avis puisqu'il m'invite d'ailleurs à le suivre pour concourir également. Me léchant les babines d'avance, je fais un hochement de tête et le suit donc à l'intérieur, autant curieux que affamé. En effet, comme a dit la nouvelle venue, nous ne sommes pas très nombreux. Seulement deux autres participants nous attendaient déjà dans l'auberge. En revanche, pas mal de curieux nous regardent, que ce soit dehors ou autour de nous, à d'autres tables. Nous nous installons chacun sur une place de la rangée de chaises où nous sommes invités à nous asseoir.

    « Bienvenue à ce concours et merci de vous y être présenté ! Le grand vainqueur recevra un bon pour des repas gratuits ici pendant une année entière ! »

    Un petit homme trapu au nez rouge nous accueille avec un sourire jovial et nous présente donc la récompense. Devant cette dernière, des paires d'yeux s'éclairent, intéressés. Voilà un challenge qui promet ! En effet, qui ne rêverait pas de pouvoir manger à l'œil ainsi ? Je n'ai pas à me plaindre de mon compte en banque, mais c'est tout de même une offre alléchante qui sait attirer la convoitise. Je devine, à l'accoutrement du présentateur, qu'il s'agit en plus du cuisinier des lieux. Et en effet, une très bonne odeur de cuisine s'élève dans la grande pièce, nous mettant l'eau à la bouche.

    « Commençons sans attendre ! Voici la spécialité du chef ! »

    Aussitôt, il tape dans ses mains et des serveurs nous présentent des cloches qu'ils soulèvent, dévoilant en-dessous une sorte de tourte au bon fumet de lard, de volaille, pommes de terre et autres condiments que je tente de deviner. Et ça sent vraiment, vraiment très très bon. Je dois déglutir pour ne pas me jeter dessus tout de suite.

    « Celui arrivera à en manger le plus gagnera le concours ! »

    On ne nous présente qu'une simple tourte, mais d'autres nous attendent sur le comptoir au fond de la salle et les garçons et femmes de table attendent seulement que nous engloutissions la première pour nous apporter les autres. Quand il annonce le début du concours, je ne me fais pas prier et me jette sur ma portion, affamé. Toutefois, c'est une bien mauvaise surprise qui m'attend.
    Berk ! Mais qu'est-ce qu-... Pourquoi c'est aussi infecte ?!
    J'espère que ce n'est pas pareil pour toutes les autres d'après, parce que si l'odeur est alléchante, le goût n'a pas l'air de suivre...

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    >> La fête aux morfales
    Galérienne niveau 1000
    Mais... Mais c'est quoi ce commentaire de -... ? Face à la remarque du type qui somnolait jusque là, je fronce les sourcils d'un air à la fois agacé et hautain. Non mais oh, il s'est vu, là ? Je manquerais presque de grogner, me contentant de l'ignorer par un roulement d'yeux on ne peut plus prétentieux. Grmbl. Une raison de plus de ne pas perdre, je suppose ; et je garde ça en tête alors que nous entrons et nous installons dans l'établissement.
    Je vous avoue que j'écoute moyennement ce qui se passe ; les petites décorations sur les murs sont encore plus intéressantes que tout ce blabla. Ouin-ouin, blabla, y faut faire ci et ça, on a besoin de vous expliquer comment manger... Roh mais sérieusement, y-a-t-il quelque chose de plus stupide que de se baffrer de nourriture ? Même le dernier des crétins saurait le comprendre. Pour autant, je me tais. Allez, allez, serre les dents Astrid, et pense au fait que tu n'auras pas à chercher de quoi manger jusqu'à après demain au moins. Et je dois avouer que l'odeur est... Hé bien. Elle me fait vite oublier tout ça : mes oreilles se haussent tout naturellement et mon regard se met à briller d'envie. Je ronronnerais presque si je le pouvais, le regard envieux et impatient, sautillant presque sur place (mes pieds sont sur le siège de toute façon). Mon ventre gargouille et je suis presque sûre que je vais finir par dévorer l'assiette aussi, si ils ne se dépêchent pas.

    Alors dès que le signal est donné, je n'hésite pas : c'est à la limite si je n'écrase pas ma tête dans la tourte chaude pour m'en empiffrer. La gueule grande ouverte, j'en prends de pleines bouchées sans même prendre la peine de goûter. J'aurais le temps de faire la princesse après.
    En revanche, dès lors que j'ai fini d'avaler ce que j'ai dans le gosier, une nausée insupportable me remonte dans la gorge pour venir me donner un puissant haut-le-coeur. J'en recrache immédiatement ce que je tenais à manger dans une bouillie infâme qui finit sur un coin de l'assiette.

    « Mais c'est DÉGUEULASSE ! »

    Le cri vient du cœur, et a probablement percé un tympan ou deux, mais je m'en fiche. Stupéfaite et indignée, je retourne mon regard vers le personnel et vers mes adversaires, dont un qui semble à la limite mieux se retenir que moi mais penser la même chose. Furieuse, je fronce les sourcils et claque mes mains sur la table, bouillant sur place.

    « C'est quoi cette honte, vous voulez qu'on gerbe, ma parole ?! Le cuisinier a chié dans le plat, ou quoi ?! »

    Retenez-moi, ou je vais faire un malheur.
    Libre
    Avril 1001

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    NiKlaus
    Saaaaaaam
    La Fête des morfales
    Hop là je rejette la faute sur les altissiens et merci pour ce fou rire ! :lol:
    Assstriddddd
    VORNAME

    Ce concours allait enfin commencer, c’est pas trop tôt, Le magimorphe commençait sérieusement à avoir les crocs, le petit groupe s’engouffra dans le restaurant, ces pupilles vertes re-parcouraient l’intérieur, très belle décoration, le personnel toujours aussi accueillant que son premier passage il y a quelques minutes, à force de cligner des yeux et après 2 bâillements, il semble avoir de nouveau la pêche tout ce qu’il fallait pour manger.

    A peine Assis, l’organisateur & le cuisinier  vint à leurs rencontre, présentant à tout les participants, l’enjeux de ce concours, un service entièrement gratuit pour la durée d’un an, ce qui immédiatement fait écarquillé Klaus, ça lui ait déjà arrivé de nombreuse fois, de se refuser un petit (un gros) supplément de bouffe alors qu’il était à sec (aller savoir pourquoi) une si belle offre, ça se refuse pas quand même ? n’avait-il pas raison ?

    Dire qu’il venait de base pour un repas gratuit, là il allait clairement tout donner, il jette un petit regard en coin au deux personnes avec qui il avait « parler » dans la rue et ils semblent tout aussi satisfait. Sans plus tarder leur assiette arrive, un magnifique repas leur est servis, l’apparence ainsi que le gout  est très…. Tentants, plus une seconde à perdre, il prend une énorme bouché, et là…

    Ah ben, son cœur se brise hein, littéralement, on lui a vendu un trop gros rêve là, le gout est juste… effroyable, inimaginable, putride, il pouvait continuer un long moment, il ne mache plus, il n’y arrive plus, il tourne immédiatement la tête vers le cuisinier, auquel un rictus se dessine sur son visage et là à la même seconde, il entend une pareille réaction auquel il se faisait.

    La gamine-chat de tout à l’heure très spontanée lui a enlever les mots de la bouche, mais elle n’en a pas terminée, elle ajoute quelque chose d’autre et ce quelque chose d’autre, fait immédiatement réagir Klaus, il recrache ce truc qu’il avait dans la bouche, qu’il ne caractériserait même pas de nourriture, il éclate simplement en fou rire, sous les regards peut-être ébahi du public, mais il s’en contre-fou.

    Là il est partit, heureusement pour lui qu’il est assis car cette réaction était juste phénoménale, jamais il ne pourrait faire mieux, il est tellement hilare, qu’il s’est avachi sur la table tout en tapant du poing, néanmoins entre deux gloussements, il arrive à placer :

    Oulala…. Étiez-vous réellement sérieux… ou… ou… vos talents cuisinières sont-ils simplement merdique ?
    Là était là vrai question, mais n’empêche, il était persuadé que c’était un truc altissien, il mangera caldissien ou éossien la prochaine fois, c’est moins risqué           .


    Dernière édition par Klaus H. Evergarden le Dim 24 Jan 2021 - 0:38, édité 1 fois

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    26 mars
    1001
    La fête des morfalles
    avec Santa Klaus
    Honnêtement... Je ne me sens pas super bien, là. Qu'est-ce qu'ils ont mis dans leur choucroute ?! A Altissia, elles sont bien meilleures ! Et je ne suis habituellement pas si difficile en goût, pourtant. On dirait heureusement toutefois que je ne suis pas le seul à trouver leurs plats immangeable. D'autres protestent à l'image de l'adolescente aux oreilles touffues qui est entrée avec nous tout à l'heure ; cette dernière s'emporte de manière bien plus sonore mais résume à peu près tout ce que j'ai pu penser. C'est vrai qu'on dirait plus que le chef a confondu ses toilettes et ses cuisines... Celui que j'ai réveillé quelques minutes plus tôt, pour sa part, est pris dans un fou rire face à la violente réaction de la fille-chat. Il approuve néanmoins ses dires et je ne peux moi-même que hocher la tête en guise d'approbation. Le restaurateur, lui, n'a pas l'air très surpris ni dérangé par nos réponses à sa dégustation (plutôt dégueu-station dans ce cas), et ose même rire de nos expressions dégoûtées.

    « Hohoho ! Mais les amis, cela fait fait partie du défi ! Ce serait trop simple si on vous servait nos meilleures assiettes ! »

    Les yeux ronds face à tant d'insouciance (et de sadisme, disons-le) de sa part, je fronce les sourcils et tape du poing sur la table.

    « Mais vous vous foutez de nous ?! Ce n'est même plus de la nourriture, c'est du poison ! »

    Et je pèse mes mots. Par Oros, que je regrette la cantine de l'armée, des fois. Malgré mon énervement et celui des autres, cependant, celui en face de nous n'en démord pas, renchérissant même sa justification.

    « C'est vous qui vous attendiez à un bon petit plat, je n'ai rien garanti là-dessus, à ce que je sache. »

    Suivant la jeune fille aux yeux perçants à côté de moi, je me permets enfin de recracher ce qu'il y avait dans ma bouche, refusant d'avaler une bouchée de plus de cette chose infecte et encore plus si c'était fait exprès.

    « Oui, mais à ce que je sache vous avez une réputation de bonne auberge, alors ce serait dommage qu'elle en prenne un coup si je fais courir la rumeur que vos plats sont immondes. »

    Grrr ! Il va voir ce qu'il va voir ! J'appelle ça de la moquerie, pour ma part. Il ne peut pas être sérieux en nous proposant un tel menu, quand même !

    « Allons, allons, calmons-nous. Vous êtes également du même avis, vous autres ? Vous ne voulez quand même pas essayer le concours ? Je vous promets que les plats qui vous seront offerts en récompense auront bien meilleur goût... »

    Pfrt ! Tu parles ! En même temps, ce n'est pas difficile de faire mieux que ce qu'on nous a servi à l'instant. Mais de mon côté, je continue de grogner, réclamant justice pour nos pauvres papilles malmenées.

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    >> La fête aux morfales
    Galérienne niveau 1000
    ... Et ils se foutent de nous. Ils se foutent de nous comme si de rien n'était, et plus je les entends rire alors que le type à cheveux châtains s'énerve et les questionne, plus j'ai une singulière envie de monter sur la table et la leur faire goûter ; ça sera toujours meilleure que leur immonde bouillie de merdasse. Je ne cache pas mon mécontenement. Les oreilles baissées, la queue touffue et battant violemment l'air, un grognement rauque à peine caché part de ma gorge, comme une menace sous-jacente. Mes sourcils se froncent, mes crocs se dévoilent. Oros, que ses mollets ont l'air bien mous, d'un coup, à l'autre coprophage...

    « Moi, j'aime pas les arnaqueurs. »

    Oh, plus il parle, et plus mon intense envie de donner des coups de pied au train se réveille. Comme si il ne se doutait pas de la réaction des gens, l'autre cervelle de pigeon... Quelque chose me dit qu'il doit bien s'amuser tous les ans, tiens, et ça ne m'étonnerait certainement pas que ce soit ce qui lui fait plaisir. Je sais que c'est un peu étrange pour une voleuse de dire ça, mais c'est vrai : je déteste les arnaqueurs et les affabulateurs. C'est la marque des nullos, ça. Des gros, gros nullos. Et les nullos, ça se remet à leur place.
    Empoignant à une main l'une des tourtes qui a été posée devant moi, le regard on ne peut plus mauvais, je me relève d'un bond sur la table, avant de balancer ladite tourte avec toute la force qui est la mienne ; et cette dernière s'écrase gracieusement sur la tronche de monsieur le chef, qui ne devait probablement pas s'attendre à ça. Eclatant d'un rire sardonique, je me tiens la panse avant de le pointer du doigt.

    « Hé, le dindon, je crois que t'en as sur la face ! »

    Mais vous ne croyez tout de même pas que j'allais m'arrêter là, non ? Un rictus mauvais et narquois au visage, je ne peux pas m'empêcher d'en rajouter une couche.

    « Vous avez dit qu'elles devaient être mangées... Mais vous n'avez pas dit comment. »

    C'est que je sais très bien viser, en plus.
    Libre
    Avril 1001

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    NiKlaus
    Sam
    La fête des morfales
    J'ai toujours rêver de faire ça What a Face
    &
    Astrid

    Le temps que le fou rire de Klaus passa, pas mal de chose s’était passé. Il avait entendu le restaurateur se justifié, disant que ce gout abjecte faisait partit du défi, tandis que monsieur le chevalier semblait perdre patience tapant du poing bien plus fort que l’émissaire le faisait auparavant. Le restaurateur lui tout aussi calme lui répondit simplement et sa réponse ne plaisait certainement pas à l’ensemble des participants.

    Cependant… dès que ça parle « réputation », toute suite ça semble plus concis à être sérieux.
    Beaucoup de tête hochèrent suite à cette question, dont la sienne.
    C’est pas d’autres plats qui vont suffirent à remplacer cette horreur...
    Une chaise racle le sol, toute la salle se retourne vers la petite teigne qui avait si bien décrit le gout du plat un peu. Elle tient quelque chose à sa main, une tourte ? Oh… le projectile une fois lancé prends de la vitesse pour atteindre sa cible : Le Cuistot.

    S’en suivit d’un rire fort plaisant de la petite fourbe qui en profite pour insulter la victime de son lancée bien fière de son action. Ça plaît au magimorphe qui s’empresse à son tour de prendre sa belle tourte qu’en apparence pour lui aussi prendre part à….

    Bataille de bouffe ! hop, il lance sa tourte qui touche un.e employé.e.
    Il y a d’abord un grand blanc après son initiative, mais très vite d’autre ose, prennent leurs propres munitions, visent et…. Tirent ! Tout ça pour les humilier à leur tour à la hauteur de ce qu’ils ont commis.

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    26 mars
    1001
    La fête des morfalles
    avec Santa Klaus et Astrid
    On dirait que je ne suis pas le seul qui soit plutôt mécontent du service proposé. Mais quel honte ! J'en parlerai au chef du Quartier, on va m'entendre ! Les autres autour de la table expriment à leur tour leur déception. Tout le monde s'attendait à quelque chose de goûtu, avec cette odeur alléchante. Le plat donnait aussi envie. Cela ressemble un peu aux tourtes que nous avons à Altissia alors je me faisais une joie de me remplir l'estomac ; de quoi agrandir ma frustration. Elle a raison, la jeune fille à quelques chaises de moi, ce sont des arnaqueurs ! Et certains reprennent l'insulte en chœur, du même avis qu'elle. D'ailleurs, c'est la même qui, sous nos yeux ébahis, balance la tarte en plein sur le visage du chef. Bouche bée, la surprise passée, je me mets à éclater de rire. Ah ! Bien fait ! En très peu de temps, ils se mettent d'ailleurs tous à l'imite et se parent chacun de leur tourte pour la balancer dans tous les sens. 'Bataille de bouffe' comme dit le basané que j'ai croisé tout à l'heure. Ce n'est pas mon genre de me comporter comme ça d'ordinaire -enfin quand je suis sobre en tout cas- mais bon, je ne souhaite à personne de goûter à cette horreur, alors ça ne sera pas une grosse perte. Redevenant un enfant dans l'âme, je glousse tout en prenant la mienne avant de suivre le geste de la jeune fille et de la balancer sur le gérant de l'auberge, qui tombe à la renverse à la suite de cette deuxième volée.

    « G-Gardes ! À moi ! À moiiiiiiii ! »

    Héhé, ce n'est malheureusement pas ça qui le sauvera. Je ne suis pas en charge de ces quartiers, mais un petit rapport en jouant des coudes pourra très certainement m'aider à faire entendre mon avis.
    Chacun y met du sien pour balancer sur les autres ce qu'ils ont dans leur assiette. L'ambiance est désormais à la bonne humeur et à la rigolade, tandis que quelques personnes se sont rassemblées dehors afin de voir le raffut à l'intérieur. On va finir par alerter les autorités, mais qu'importe. Pour l'heure, à nos armes ! J'aperçois d'ailleurs dans un coin quelqu'un qui tente de lancer de la viande cuite sur la féline qui a engendré la bataille. En poussant un hoquet de stupeur, je ne tarde pas à l'intercepter en prenant la première chose qui me vient sous la main : une pomme pourrie. Je la balance à l'attaquant surprise qui se la prend en pleine poire et trébuche, ratant sa cible. Je m'approche à mon tour de l'animorphe, cette fois-ci pour coller mon dos à elle, un sourire admiratif.

    « Hééé, c'était un très beau lancer, jeune fille. »

    Elle fait peut-être partie de l'armée altissienne ou caldissienne ? Ce sont d'éléments comme ça dont on a besoin dans nos troupes. En tout cas, si elle paraît jeune, elle semble avoir beaucoup de ressources. Et le type qui dormait devant l'établissement ne se débrouille pas mal non plus. Il est plus costaud de ce qu'il laisse croire, en tout cas.

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    >> La fête aux morfales
    Galérienne niveau 1000
    Huhu. Là, je suis beaucoup plus dans mon élément, tout à coup. Quitte à me faire rouler dans la farine, je préfère encore défouler mes nerfs en m'énervant sur ceux qui ont insulté mon ego. C'est très plaisant, et en plus, ça me fait faire un peu d'exercice. Je suis bien trop agile pour ces humains ramollos, en plus, alors je me permets même de les narguer en dandinant du popotin et en faisant des mouvements de bras sans grand sens. C'est trop facile. Mais c'est bien ça qui est drôle, je dois l'avouer, tout particulièremend quand mes « rivaux » du jour se mettent à s'en mêler. Je ne m'étonne pas de voir le type à yeux verts le faire : il a une tronche à aimer quand ça bouge un peu, il faut le dire. Tant mieux. Si j'étais seule, j'aurais dû fuir comme une lâche et ça aurait été un peu... Enfin. La honte, quoi. Voilà pourquoi j'esquisse une mine ravie ; avant, du moins de sursauter en remarquant que l'autre type m'a visiblement épargnée de finir avec une palette de cochon dans le visage. Uh. Bon, j'oublie pas qu'il m'a un peu pris de haut, tout à l'heure, et-...
    … Grmbl. J'ai pas besoin qu'on me complimente. Il est énervant, un peu, non ? La mine fermée et rabougrie, je hausse des épaules. Je n'aime pas trop qu'on m'approche à ce point, mais je suppose que c'est plus pratique pour se battre. Et c'est tout ce qui compte.

    « Hmpf. Moins de blabla, plus de jets, le vieux. »

    C'est pas les mots qui servent à grand chose, là ; mais les fruits et les morceaux de viande à moitié cuite que je jette sans ménagement vers les gens autour de nous. Un rictus satisfait au visage, j'utilise ma queue pour saisir des assiettes comme un bouclier, pendant que mes mains et mes griffes saisissent tout ce qu'elles peuvent attraper.
    J'entends, toutefois, des bruits de claquements au sol que je reconnaitrais entre mille, à force de les avoir évité. Oh non. Mes oreilles se relèvent aussi vivement que ma tête, et je détourne le regard vers la vitrine qui me permet d'avoir un œil sur la rue.

    « … Uh, changement de plan ! V'là la cavalerie ! »

    Je n'ai vraiment, vraiment pas envie de me faire choper pour ça. J'ai même pas mangé, au final ! Bondissant hors de la table, j'incite mes complices à faire de même, avant que nous ne finissions en cellule pour la nuit.
    Libre
    Avril 1001


    Dernière édition par Astrid Windberg le Dim 17 Juil 2022 - 17:07, édité 1 fois

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    NiKlaus
    Astrid
    La Fête des Morfales
    Les Cops toujours à casser notre délire :sob:
    Sam

    Comme il s’y attendait son initiative inspirée de la petite incita le reste des participants mécontents a agir en vengeance en catapultant leurs plats atroces non seulement au chef mais à toute son équipe de restauration en commençant par les cuisiniers.ères jusqu’aux serveurs.euses. L’atmosphère était très enfantin et la colère n’était plus.

    Klaus eut le loisir de toucher et aussi de se faire toucher salissant en effet ses vêtements mais sa bonne humeur épongea ça. Toutefois il finit par manquer de munition autour des tables adjacentes de sa position, si bien qu’il se mit à chercher d’autre type de munition, zigzaguant évitant précisément les tourtes hideuses il finit par se recevoir en pleine poire quelque chose… un gâteau… avec de la crème… avec un bon goût ?

    Dans la minute qui suivit, il eut le temps de renverser une table qui assurera ainsi ses arrières le temps qu’il.. succombe à ce plaisir culinaire. De là où il se trouvait il aperçut le chevalier de toute à l’heure ainsi que la divine & espiègle féline qui avait lancer tout ce merveilleux drame. Ils semblaient tenir une conversation en pleine bataille, discussion que même lui eut du mal à comprendre malgré ses aptitudes de magimorphe.

    Toutefois il entendit TRÈS bien son signal d’alerte, qui sonna malheureusement la fin de cette bataille déjantée. La petite fut la plus réactive et fraya aisément un chemin tout trouvé qui mena à une fenêtre ouverte à l’opposé de l’entrée, le basané préférant de loin éviter d’être accuser à l’origine de ce drama lui emboîta rapidement le chemin, envoyant par ci et par là quelques dernières assiette.

    Ce n’est qu’une fois dehors qu’il lâcha fièrement :
    Être à l’origine d’un drama et s’en sortir à bon compte est une chose dont je ne me lasserais jamais !

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    26 mars
    1001
    La fête des morfalles
    avec Santa Klaus et Astrid
    Le 'vieux' ? Non mais dis donc, je suis pas si vieux que ça, hé !
    Aaaah les jeunes... J'espère que je n'étais pas aussi insolent, quand même, à son âge... M'enfin. Peu importe si j'ai la trentaine ou non, je retombe en adolescence et même en enfance dans ce contexte. Je n'aime pas gâcher la nourriture mais je dois dire que c'est plutôt amusant, de jeter des aliments pourris au visage des autres. Pas comme si son truc était mangeable, en vérité. J'espère bien que plus personne ne viendra déjeuner dans son restaurant moisi, pfft... Ce concours était trop beau pour être vrai, de toute façon. Pas que j'ai besoin de ça puisque je ne suis pas à plaindre financièrement, mais c'était surtout pour l'esprit de compétition et la satisfaction de gagner quelque chose. Mais bon, pour le prix auquel on a droit... Je ne crois pas qu'on rate grand chose. En tout cas, pour ma part, je rigole bien, même si le cuisinier, lui, se marre un peu moins.
    Une nouvelle assiette dans la main, je m'apprête à faire mon plus beau lancer quand la féline derrière moi nous intime de fuir. En effet, je perçois à mon tour les bruits familier de soldats approchant pour vérifier ce qui se passe. Ce n'est pas très étonnant, le raffut qu'on fait a dû alerter tout le quartier, au moins. Et si avec mon rang je ne devrais pas avoir peur de finir en cellule, du moins pas longtemps, il y a quelque chose d'excitant à échapper aux autorités pour ne pas se faire prendre. Vaut mieux pas pour ma réputation dans tous les cas qu'on me voit en train de balancer de la choucroute à tout-va. Pour l'heure, je devrais probablement suivre mes camarades du jour. Ni une ni deux, je prends la suite de la jeune fille et du type qui était endormi tout à l'heure devant l'enseigne pour me carapater hors du restaurant, profitant qu'une fenêtre ait été cassée lors de la bataille de nourriture. Je ne peux retenir de pouffer comme un idiot, surtout lorsque l'homme aux yeux verts se vante.

    « Ah oui ? Parce que vous en avez l'habitude ? »

    Je lui lance une œillade. On dirait qu'ils ne savent pas à qui ils ont affaire. Tant mieux, en un sens, sinon, ils se méfieraient. Je n'ai pas trop à craindre les soldats pour ma part, mais autant leur éviter de se faire enfermer, eux deux.

    « Ce n'est pas mon cas, personnellement. Mais là... Il l'avait bien cherché. J'espère que son restaurant va fermer, après ça. »

    Dis-je en m'époussetant, cherchant dans la sacoche accrochée à ma ceinture de quoi nous débarbouiller un peu. J'ai des petits tissus, mais ça fera l'affaire. Bah quoi ? On ne sait jamais quand on est-ce qu'on en aura besoin, je tiens à mon apparence, quand je suis en ville.

    « En tout cas... J'avoue, c'était bien marrant ! Ça faisait longtemps que j'avais pas ressenti ça. Dommage pour le déjeuner et le concours ! M'enfin... On ne rate pas grand chose, je suppose. »

    Ce n'était pas désagréable, de rire un bon coup et de s'échapper un peu de ses devoirs de soldat. La vie de voleur, c'est particulier, quand même. Toujours fuir l'armée... C'est donc à ça, que ça ressemble ? J'imagine que cette expérience est bien maigre pour me rendre réellement compte, mais ça ne doit pas être drôle, quand j'y pense, de continuellement devoir trouver des échappatoires.

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    >> La fête aux morfales
    Galérienne niveau 1000
    La course et la fuite, c'est mon truc d'ordinaire : mais là, j'ai faim et j'ai encore l'arrière-goût immonde de tout à l'heure, alors mes réflexes sont un peu plus lents. Je ne pense même pas à passer en panthère, quand bien même cela me donnerait un avantage net : peut-être car j'ai un peu pitié de mes deux... On va dire « camarades d'infortune ». Ouais, ça sera bien suffisant.
    Une fois que nous sommes plus ou moins à l'abri, je prends le temps de récupérer mon souffle en écoutant à moitié ce qui se dit. Bon, visiblement, ils ont pas l'air particulièrement brillants, ces deux-là, entre celui qui se vante de ses exploits-méfaits passés devant deux inconnus et celui qui... Enfin, je saurai pas vraiment comment le dire. C'est un militaire, non ? Je m'en méfie, de ces trucs-là. Ça n'a pas d'âme. Et par expérience, c'est souvent très bête.

    Mais bon. Dans tous les cas, je prends les tissus qu'il nous tend pour m'essuyer et me redonner une allure à peu près présentable, le remerciant dans un vague grognement. J'avoue, c'était drôle, mais... Pour le coup, ça ne m'avance pas des masses, moi. J'espérais manger à l'oeil, au moins pour une journée, parce que celle d'être nourrie à l'année me paraissait trop inatteignable. Mais il faut croire que ce sera retour à la normale dès maintenant. Alors même si ça m'a amusé de lancer de la nourriture sur ces crétins, j'en reste un peu amère.

    « Ouais, je suppose. »

    Mes lèvres se pincent. Hmpf. Ça se voit que c'est pas eux qui vont se retrouver avec un demi-poisson un peu moche au dîner ce soir, hein. Enfin, je me débrouillerais, comme d'habitude.
    Une fois avoir terminé de me remettre dans un état à peu près propre, je m'étire vaguement et me prépare à quitter les lieux.

    « C'est pas tout, mais j'ai d'autres choses à faire, comme me chercher un repas. Donc... Bonne journée, hein. »

    Je leur fais un vague signe de la main, ne sachant pas exactement comment partir puisque je ne peux pas juste me contenter de le faire à ma manière habituelle. J'ai un vague sentiment de familiarité avec deux-là qui ne me permet pas d'être aussi malpolie, alors j'esquisse un saut maladroit sur une petite hauteur pour commencer à m'esquiver. Sérieux, j'aurais dû rester au lit.
    Libre
    Avril 1001

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