| Dernière Danse |
J’pense que c’est obvious mais INDILA JTM (plz qu’elle fasse un nouveau clip) |
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« Pourquoi suis-je venu déjà ? » C’était la question que la blonde se posait. Il y a quelque jours, un homme apparement important s’était rendu dans la demeure de son invocatrice, Aloe Ackerman.
Hestia quant à elle était tranquillement entrain de s’entrainer comme chaque jour et lors des « au revoir » il aurait surpris l’éossienne en pleine démonstration de son talent, et était resté là silencieux jusqu’à ce qu’elle termine.
À sa surprise, lorsqu’elle rouvrit les yeux elle le vit, resta un instant stoïque a cligner des yeux, immédiatement elle allait crier, demander qui était cet homme et ce qu’il foutait ici mais il parla le premier, s’avançant dangereusement dans son espace vital, il l’a complimenta pour sa prestation, affirmant que « Aloe ne m’avait pas parler du talent de son invocation »
À la mention de son invocatrice, Hestia relâcha le chandelier qu’elle tenait de derrière son dos pour se radoucir, apparement, c’est certes un inconnu pour lui mais pas pour Aloe, il soupira de soulagement, tandis que son interlocuteur revenait à la charge mais avec une question :
Accepteriez-vous jeune demoiselle de danser pour ma représentation ? Vous serez payer bien entendu !
Que.. quoi ? Une réception ? Ça sent à plein nez l’assemblée de vieux Bourges tout ça… mais quoique, n’est-ce pas ce qu’elle recherche ? La gloire ? La notoriété ? La joie dans le regard du public… mouais ça en second plan. Elle lui sortit alors un de ses plus beauxfaux sourire et lui répondit :
Ce sera alors avec l’immense joie que je participerais et l’argent ne sera pas nécéssaire.
Elle était alors dans les coulisses, attendant patiemment son tour, elle avait exclusivement demandée a passé dernière, par simple principe, le meilleur pour la fin comme on raconte.
Le stress ? Bien sûr qu’elle en a, mais légèrement après tout, n’est-elle pas la meilleure ? Pas besoin de réponse, c’était une question rhétorique.
Une tierce personne vint la prévenir, c’est son tour, son heure de gloire, l’éossienne n’avait pas prit la décision de voir de quoi serait composée le public, elle préférait les découvrir sur scène autant qu’ils la découvriront aussi.
Elle est fin prête, son masque, ses cheveux, sa tenue et pied nue (par préférence). Les rideaux se lèvent, d’abord figée un bras en l’air, la musique démarre, elle s’anime comme une poupée, elle s’exécute, agite les membres, se laissant entrainer dans la triste mélodie, elle joue la fille perdue, ne sachant où allez, sans famille sans amis, piégée dans le monde des vivants, mais soudain voit la fin de toute ses souffrances.
La musique monte en crescendo, tandis qu’elle tourne, encore et encore dans le vide, pour au final, s’éteindre doucement, couchée sur le milieu de la scène, la mort. C’est surement la fin qu’elle aurait préférée dans sa propre histoire au fond.
Hestia quant à elle était tranquillement entrain de s’entrainer comme chaque jour et lors des « au revoir » il aurait surpris l’éossienne en pleine démonstration de son talent, et était resté là silencieux jusqu’à ce qu’elle termine.
À sa surprise, lorsqu’elle rouvrit les yeux elle le vit, resta un instant stoïque a cligner des yeux, immédiatement elle allait crier, demander qui était cet homme et ce qu’il foutait ici mais il parla le premier, s’avançant dangereusement dans son espace vital, il l’a complimenta pour sa prestation, affirmant que « Aloe ne m’avait pas parler du talent de son invocation »
À la mention de son invocatrice, Hestia relâcha le chandelier qu’elle tenait de derrière son dos pour se radoucir, apparement, c’est certes un inconnu pour lui mais pas pour Aloe, il soupira de soulagement, tandis que son interlocuteur revenait à la charge mais avec une question :
Accepteriez-vous jeune demoiselle de danser pour ma représentation ? Vous serez payer bien entendu !
Que.. quoi ? Une réception ? Ça sent à plein nez l’assemblée de vieux Bourges tout ça… mais quoique, n’est-ce pas ce qu’elle recherche ? La gloire ? La notoriété ? La joie dans le regard du public… mouais ça en second plan. Elle lui sortit alors un de ses plus beaux
Ce sera alors avec l’immense joie que je participerais et l’argent ne sera pas nécéssaire.
Elle était alors dans les coulisses, attendant patiemment son tour, elle avait exclusivement demandée a passé dernière, par simple principe, le meilleur pour la fin comme on raconte.
Le stress ? Bien sûr qu’elle en a, mais légèrement après tout, n’est-elle pas la meilleure ? Pas besoin de réponse, c’était une question rhétorique.
Une tierce personne vint la prévenir, c’est son tour, son heure de gloire, l’éossienne n’avait pas prit la décision de voir de quoi serait composée le public, elle préférait les découvrir sur scène autant qu’ils la découvriront aussi.
Elle est fin prête, son masque, ses cheveux, sa tenue et pied nue (par préférence). Les rideaux se lèvent, d’abord figée un bras en l’air, la musique démarre, elle s’anime comme une poupée, elle s’exécute, agite les membres, se laissant entrainer dans la triste mélodie, elle joue la fille perdue, ne sachant où allez, sans famille sans amis, piégée dans le monde des vivants, mais soudain voit la fin de toute ses souffrances.
La musique monte en crescendo, tandis qu’elle tourne, encore et encore dans le vide, pour au final, s’éteindre doucement, couchée sur le milieu de la scène, la mort. C’est surement la fin qu’elle aurait préférée dans sa propre histoire au fond.