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  • Raid - Avril 1002 - Page 3
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    Le dragon n'est plus, miracle est arrivé. Yggdrasil a protégé sa cité. Des mois de siège éreintant cessent, la ville millénaire respire à nouveau. Chaque soir, sous la lueur émeraude et bienveillante du grand arbre, les éossiens fêtent et célèbrent ceux tombés au combat. Après tant d'épreuves, la ville semble reprendre vie...
    Forum Fantasy
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    Gabryel L. de Venomania
    Victoire Zeller
    Saoirse Ardeurien
    Elliott Donovan
    Samaël Enodril
    Raol Zeteki
    Ayako Yukimura
    Conan D. Solo
    Basmath Yeshua
    Alexander Edenweiss
    Yggdrasil
    15 participants

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    Rester près du mage, il l'a promis. Soren n'a de toute façon pas forcément envie de s'éloigner quand il craint de faire une bêtise seul et surtout quand il désire en savoir plus sur la magie blanche. Il veut apprendre de son aîné et pouvoir soigner, lui aussi. Comprendre la magie de soin et la maîtriser pour sauver des gens. Se rendre utile. Ranger cette épée dont il a du mal à se servir en dépit d'une ascendance qui connaît les rudiments des combats par cœur. Mais lui, Soren, n'a jamais été du genre militaire. C'est un studieux qui passe son temps le nez plongé dans les livres à tout vouloir savoir, tout vouloir connaître, et surtout se prouver à lui-même qu'il peut avoir une place, ici, quelque part. En plus d'être attentif, il est docile. Comme il le lui dit, il ne le quitte pas et suit religieusement ses pas comme s'il s'agissait des siennes.

    Lorsqu'ils se trouvent sur le terrain de l'action, Soren se fige en apercevant, au loin mais pas si loin, des formes monstrueuses qui ressemblent à celles qu'il a vu lorsque le dragon les a attaqué. Mais elles sont différentes. Elles sont plus grosses. Plus fortes. Plus menaçantes. Les jambes de l'adolescent tremblent, mais il ne fuit pas. Il ne veut plus jamais fuir. Ses pieds le rapprochent toutefois inconsciemment du magimorphe qui lui intime de rester à sa place. Le bleu hoche de la tête mais se trouve tétanisé au moment où l'Eossien s'éloigne. Il a compris le message : s'il va dans le danger, non seulement il va se faire rouspéter dessus, mais en plus le moine ne risque pas d'être content. Et son papa non plus, d'ailleurs. Il n'est pas rassuré à l'idée de rester un peu seul mais se contente d'observer les mouvements du mage, comme s'il les analysait. Intrigué par ce qu'il fait sans le comprendre, ses yeux s'écarquillent au moment où il érige une barrière pour protéger les soldats en contrebas.
    Shimomura... Il est si cool... Pas étonnant que parrain soit son ami.
    Le regard brillant, il s'approche un peu malgré lui pour observer la magie protectrice.
    C'est... incroyable...

    A l'aide, il entend. Son ouïe fine perçoit des appels au secours. On demande un soigneur. Le petit dragon relève la tête et tente de percevoir d'où vient cette voix en recherche de soin. Sa vue se précise. Une personne courre à travers le champ de bataille. Son bras dégage une couleur étrange ; c'est loin d'être bon signe.
    Mais... Mais qu'est-ce que je dois faire ?..
    Le natif lui a interdit de bouger. Il ne peut toutefois pas rester là sans rien faire. Paniqué, l'Altissien hésite à rejoindre maladroitement le hérissé, même si ce dernier a sans doute d'autres choses à faire. Le jeune Donovan est perdu, craint de faire une bêtise en dérangeant le mage. C'est qu'il aperçoit, en plus de ça, la silhouette de son parrain qui tente de lutter contre les créatures comme il peut.
    Moi aussi, je dois faire quelque chose.
    Même s'il l'a promis, il ne peut pas rester les bras croisés ; en dépit du fait que ça lui a porté préjudice la dernière fois. Mais il préfère tenter le coup quitte à se faire gronder après que d'être disponible et laisser quelqu'un mourir alors qu'il aurait pu faire quelque chose. Prenant son courage à deux mains, Soren quitte donc sa place pour accourir jusqu'au bipède qui avait besoin de soutien.

    « L-Laissez-moi vous aider ! Je suis soigneur ! »

    "Apprenti" soigneur devrait-il préciser. Mais ça, son "patient" n'a pas à le savoir.

    Spoiler :

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    avril
    1002
    Raid
    here we go again
    La remarque de Kurosawa ne plait pas à tous les soldats autour qui ne voient qu'en cette Sentinelle un prétentieux de première. Déjà méprisé pour ses origines Eossiennes, le fait qu'il se montre sûr de lui est trop pour les militaires qui sont pourtant bien plus orgueilleux que le concerné. Mais puisque je leur ai ordonné de travailler ensemble, je sens qu'ils se retiennent. Gabryel, heureusement, accepte sans broncher de faire équipe avec la nymphe de foudre et le tandem se met donc en place pour laisser leur magie parler pour eux. A ce moment-là, sentant la tension dans l'air s'échauffer et la préparation de quelque chose de plus grande envergure, les chevaliers reculent pour de bon et tous font de la place pour la pair qui lient leurs pouvoirs. La foudre qui s'échappe de la paume du natif fait gronder dans le ciel un véritable orage qui déchire l'atmosphère et provoque un son lourd et grave, comme si une tempête se préparait. Je sursaute moi-même sur place, mes yeux ne pouvant se détacher des éclairs qui zèbrent désormais l'azur devenu noir. Je ne sais si ce sont eux ou la lumière qu'ils produisent, mais ça fait mouche auprès de l'amas de Pourritures qui pousse un cri et commence à chanceler.

    « Incroyable... Ça marche ! »

    La forme sombre rugit comme une bête, se désintégrant petit à petit. Les étincelles et les flammes qui retombent au sol n'atteignent pas ceux qui les ont créées. Une barrière magique semble s'être formée au-dessus d'eux, et si j'aurais pu croire que ce fut l'œuvre de Gabryel, c'est une odeur familière qui me prend tout à coup au nez. Je cherche alors du regard cette silhouette qui était censée rester à la maison, mais quand je l'aperçois enfin, mon cœur rate un battement. Le moine est concentré sur l'aspect défensif et les réveille même avec une beuglante dont lui seul à le secret.
    Shimomura...
    Mes yeux brillent en le remarquant, me faisant oublier l'inquiétude qui aurait pu me ronger de le savoir ici. Mais il fallait s'y attendre, après tout, n'est-ce pas ? Cela me remet au moins les idées en place et je me concentre à nouveau moi-même sur ce que je dois faire. Mon attention se retourne vers les soldats près de moi.

    « Ne lâchez rien ! La barrière ne doit pas être fragilisée ! Abattez-moi ces Pourritures jusqu'au lever du soleil ! »

    Si nous ne pourrons bien sûr pas tous les exterminer ce soir, nous pouvons au moins tenir jusqu'à l'aube comme nous le faisons toujours. Même si l'ennemi est plus coriace cette fois, ça ne nous fait pas peur. Nous vaincrons, même si nous ne maîtrisons pas tous la magie pour produire de la lumière. Ma lame tranche autant qu'elle le peut et mon bouclier me protège de son mieux afin d'être le moins touché possible par ces blobs menaçants. Une pensée, alors, me vient tout à coup.
    Mais... Qui protège Shimomura ?..
    Je n'y ai même pas pensé sur l'instant alors que c'est si évident. Le moine a érigé une barrière pour autrui, mais de son côté, il est vulnérable.
    Je dois y aller. Je ne peux pas le laisser sans défense.
    Ma poitrine bat soudainement de nervosité pour l'éoniste qui ne pourra rien faire si on l'attaque par derrière. Je prends ma forme canine pour courir plus vite afin de le rejoindre, espérant ne pas arriver trop tard.

    y se passe quoi :

    ______________________


    Spoiler :

    Natsu et Sam by Coba <3

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    On est Raid
    fin avril 1002 - avec de joyeux drilles


    Pour une fois, Raol n’a même pas assez de motivation pour mettre la faute de ce qui lui arrive actuellement sur le dos des autres. Iel aurait pu dire que c’est la faute de Gabryel, qui ne donne pas assez signe de vie. Ou de Saoirse qui est… Saoirse. Mais non.

    J’suis con moi aussi, à crier comme une vieille truie comme si les gens étaient pas déjà assez occupés comme ça.

    Pff… J’aurais du rester à l’abri des racines avec Ziyal. Une fois de plus.

    Se maudire n’arrangera rien à l’histoire. Le mal est fait, désormais. Et si personne ne vient… peut-être qu’il faudra se résigner à perdre sa main. L’idée lui tord l’estomac d’angoisse et iel lui faut inspirer profondément pour ne pas céder à la panique. En balayant les environs des yeux, Raol voit bien que personne ne viendra à son aide.

    …Qu’est-ce que j’espérais aussi—

    La petite voix qui l’interpelle coupe court à ses pensées. Iel est encore plus surpris en voyant qu’elle appartient à un jeune soigneur.

    Trop jeune.

    Interdit, yeux écarquillés et bouche ouverte devant l’adolescent qui semble toutefois déterminé à bien faire, l’amphibien ne réagit pas tout de suite à sa sollicitation.

    « Qu’est-ce que… tu devrais pas être… ? »

    Après une brève hésitation, Raol se dit que tout jeune que ce « soigneur » semble être, il vaut mieux accepter sa proposition que laisser son poignet dans un sale état.

    C’est toujours mieux que rien, j’imagine.

    Autour d’elleux, la bataille ne perd pas en intensité. Menacés par le mouvement des combattants et des pourritures, la grenouille et le dragonnet ne devraient pas rester dans le passage. Raol prend le plus jeune par le bras afin de le guider à l’abri. Là, iel se baisse à sa hauteur et lui montre son poignet.

    « Tu… tu crois que tu peux faire quelque chose pour ça ? T-tu sais ce que c’est… ? »

    Iel ne peut pas s’empêcher de bafouiller, effrayé par la perspective d’avoir subi des dégâts irréversibles. Si c’est le cas, cependant… autant le savoir tout de suite. En déglutissant difficilement, lea Zeteki se prépare aux pires éventualités. Pour penser à autre chose, iel reporte son attention sur le jeune soigneur. Celui-ci n’a pas l’air de sortir des bas fonds. Il porte des étoffes chères, surement un enfant de nobles.

    « …je te raccompagnerais à tes parents ou… chez toi, après. Tu… tu devrais pas être tout seul à un endroit pareil. »

    C’est bon, je sais que je suis pas non plus un parangon en terme d’instinct de survie. Je dis pas ça pour lui faire la moralle !! C’est juste que… c’est inquiétant, un gamin de son âge sur un champ de bataille… !


    C long mais tkt vla le résumé :

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    Un vrai raid de BONHOMME
    avec les ploucs


    Evidemment, que la madame est surprise. Les vrais hommes, les gentilhommes comme Rex se font rares. Certaines femmes n’ont plus l’habitude d’être aussi bien traitées et protégées… certaines en viennent même à prendre les armes. C’est navrant, tout de même. A cause de certains incapables qui n’assument pas leurs rôles d’hommes, voila que de pauvres demoiselles en détresse en viennent à regarder Rex de travers. Comme le fait la brunette actuellement. Bien que vaguement blessé dans son égo, le diplomate ne laisse rien paraitre et ne se départit pas de son sourire en coin. Ah, les femmes…

    « Ne le prenez pas ainsi, miss, je ne veux que votre bien… »

    Un cheval… ? C’est moi, le « cheval » ?

    Pris de court par l’attitude de son interlocutrice qui décide de l’ignorer royalement en parlant de lui comme s’il n’était pas là et pire, comme s’il ne se rendait pas utile, Rex fronce ses fins sourcils.

    « "N’importe quoi" ? Ne vous emportez pas si vite car j’ai agi à votre place, miss. Vous savez, miss, si vous vous étiez renseignée sur ces pourritures, vous sauriez qu’elles sont sensibles aux flammes… or, miss, en projetant cette barricades incandescente, j’ai non seulement réduit leur progression mais également.. »

    Une pourriture s’élance sur lui et manque de lui couper la parole. Rex lui présente son bouclier. Dès que l’impact de la pourriture sur le métal se fait sentir, il emet un cri viril et repousse son assaillant quelque mètres plus loin. En ébrouant sa tête et en émettant un « pfffrtt » digne du plus loyal des canassons, il reporte son attention sur Victoire qui vaque à d’autres occupations. Ah, elle fait partie de ces dames pour qui rien n’est assez bien pour leur convenance, hein… ? Tant pis pour elle. Elle ne mérite pas l’attention d’un étalon tel que Rex.

    Il y a surement mieux à faire ailleurs. Des mages ont l’air d’avoir réussi à créer une barrière enflammée… apparemment, les généraux ne sont pas loin non plus. Les choses devraient donc se tasser. Mais… visiblement, le mage qui s’occupe de la barrière est seul… avec un toutou qui courre vers lui. Ce n’est pas comme ça que leur atout va tenir bon !

    Le centaure bondit avec maitrise au-dessus de la foule et parvient bientôt aux côtés du mage que les pourritures ont bien remarqué et pris comme cible. Grâce à son bouclier, le caldissien en repousse plusieurs, non sans oublier de grogner et crier à chaque mouvement qui lui demande d’utiliser ses gros bras. Au moins, à se donner en spectacle ainsi, le Mandragoras devrait attirer l’attention des militaires qui pourront se joindre à l’escouade de protection du mage. Quoique, son énergie virile pourrait aussi en effrayer plus d’un (et les pourritures avec, on l’espère)…

    Rézoumay :


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    Alors là c'est un peu la confusion. Il était là, tout juste rentré dans le feu de l'action pour aller dézinguer les pourritures de pas d'ici (à ne pas confondre avec l'armée caldissienne et altissienne qui sont également des pourritures de pas d'ici mais légalement distinctes). Jusque-là, ça allait. Et puis un espèce de truc en verre lui éclate sur le casque avec les morceaux qui glissent et tombent par terre autour de Conan. Rien de bien méchant hein...sauf l'espèce de glue noire qui en sort et se me à dégouliner tout le long du casque. C'est clairement pas le pire truc qui aurait pu lui arriver mais il y a un temps et une heure pour ce genre d'accidents. Etre cerné par les monstres de nuit en plein siège n'est pas spécialement le temps ou l'heure pour ça. Premier réflexe du gris, c'est de s'essuyer l'avant du casque rapidement avec l'avant-bras. Pas très efficace; ça fait surtout coller inutilement sans arrêter le reste. Le même reste qui commence à aller dire bonjour par-delà les fentes de sa visière. Un râle qu'il laisse s'échapper. Faut croire qu'il va devoir enlever le c-

    Une seconde d'inattention c'est toujours une seconde de trop et le coup qu'il vient de se prendre dans la face vient le lui rappeler. Une pourriture vient de se jeter presque entièrement sur lui. Heureusement trop petit pour faire quoique ce soit de vraiment sérieux à Conan. Mais une petite pourriture passe, une normale? Beaucoup moins. Tant pis il va falloir retirer le casque. Oui mais ça va devoir se faire avec la prothèse. Une main de fer qui commence à coller avec la matière qui envahit le casque...Et maintenant la main. Il a l'air fin maintenant. Bon de toute façon ça change rien si ce n'est la gêne. Une même gêne qui le pousse à faire deux pas en arrière, se cogner accidentellement avec quelqu'un d'autre, se cogner l'arrière du pied dans rocher et au même moment une autre pourriture qui se jette sur lui, les faisant tomber tous les deux dans le fossé au pied du grand mur.

    Tombé dans le trou, c'est trois autres pourritures qui viennent se jeter dans le fossé avec lui et la quatrième. Les quatres qui commencent à le recouvrir, leurs masses seules pourraient suffir à étouffer un humain normal. Ca tombe bien, s'en est pas un. Après quelques secondes d'emprise, la lame enflammée de Conan parvient à en transpercer un, la flamme se répands vite dans toute l'entité qui lâche prise. S'ensuit des coups d'épées un peu au hasard qui parviennent à en trancher deux autres et propulser la dernière survivante plus loin. Enfin dégagé, Conan retire enfin son foutu casque, non sans difficulté avec la main de métal collant. S'essuyant le visage et là, enfin (il était temps wow) la matière s'en va, lui redonnant enfin la vue. Et la première chose qu'il voit?

    La dernière pourriture qui se déforme puis se reforme sous une autre forme. Une forme qui semble etre une silhouette humanoide qui lui ressemble plus ou moins, et avec un ersatz d'épée. Les sourcils de Conan qui se fronce légèrement en réalisant l'étrange imitation devant lui...et un détail qu'il ne peut pas s'empêcher de remarquer.

    ...Pourquoi il a deux mains lui.

    La créature s'exécute, brandissant la fausse arme vers le gris, non pas comme lui le ferait, mais comme un soldat commun. Rien de bien dangereux pour lui mais c'est déjà nettement plus qu'un civil lambda. C'est comme si le machin avait apprit. Bon deux secondes plus tard le voilà tranché et calciné mais quand-même.

    Bon deux mains gauches-

    Pas le temps de trainer. Il va falloir grimper et retourner sur le champ de bataille avec les copains copines. Pas de la meilleure façon cela dit. Le sol est humide et avec une armure -même si pas tant lourde que ça- ça n'arrange rien. Mais après 2-3 tentatives assez galériennes, sa main vient enfin se poser sur la vraie terre ferme avant de se relever.

    Ses yeux s'en vont à droite à gauche, assez confus, avant de retrouver un visage familier dans tout ce fatras, Basmath, qu'il a vu juste avant le facheux incident. Basmath qu'il finit par rattraper non sans prendre le temps d'éliminer ce qu'il peut sur le chemin jusqu'à a enfin atteindre la caldissienne. Parlant d'eux...

    Retiens-toi ils commencent à nous copier-

    Oui bonjour tout ça tout ça, il sait plus s'il l'a déjà dit ou non, c'est pas la priorité.


    Résumé foireux :

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