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  • Look at my horse, my horse is amazing ~ Martin
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    Le dragon n'est plus, miracle est arrivé. Yggdrasil a protégé sa cité. Des mois de siège éreintant cessent, la ville millénaire respire à nouveau. Chaque soir, sous la lueur émeraude et bienveillante du grand arbre, les éossiens fêtent et célèbrent ceux tombés au combat. Après tant d'épreuves, la ville semble reprendre vie...
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    juillet 1002
    Look at my horse

    my horse is amaaazing

    "Vous avez l'air de bonne humeur ce matin, Général !"
    Ce n'est pas le premier chevalier qui me fait la remarque, mais c'est que ça doit se voir sur mon visage. Pourtant, je n'ai pas l'impression d'avoir tant changé que ça, mais je ne vois pas en vérité à quel point je rayonne. A quel point je suis plus souriant. Plus lumineux. Plus énergique. A cela il faut ajouter la comparaison avec comment j'étais il y a une quinzaine de jours, après l'incident de la cérémonie. Pendant une semaine, on ne put me reconnaître. J'étais vide, déprimé, ne voulais rien faire et m'énervais sur des choses futiles, même aux entraînements. Je n'étais pas bien, et ça se sentait.
    Mais le bal a été une réussite, et j'en fus le premier surpris. Pendant les raids de Pourritures, aux derniers événements un peu festifs organisés pour détendre l'ambiance, j'en ai entendu qui ont râlé que ce n'était "pas le moment". C'est sûr, c'était pas les mêmes qui devaient aller au front le lendemain soir. Mais il fallait décompresser ou ma garde devenait complètement folle, à enchaîner des nuits blanches à cause des monstres. Alors je n'écoute jamais les critiques. Si la soirée du bal s'était bien déroulée pour moi, j'ignorais qu'il en avait été de même pour les autres, mais tout le monde semble s'être amusé. On en oublierait presque les quelques petites tensions qui ont pu refaire surface dernièrement ; à l'instar, par exemple, des regards de mes collègues dirigés avec méfiance contre les Sentinelles, comme s'ils craignaient que du jour au lendemain ils se remettent à devenir fous. J'ai eu bien des peurs, mais pas celle-là, ironiquement. Depuis son retour à la maison, en tout cas, Natsume s'est comporté de manière tout à fait normal, et je vis de façon idyllique en oubliant mes tracas du quotidien dès que je franchis le pas de la porte. Je profite qu'il n'ait pas encore retrouvé de travail pour le couvrir d'attention, comme s'il n'en avait jamais assez. Alors, peut-être qu'effectivement je suis plus en forme que jamais.

    Quand je n'allais pas très bien, il y a un être qui arrivait un peu à me faire oublier le reste. Ma jument Mearas m'est fidèle depuis huit ans maintenant et m'a accompagné sur bien des terrains, militaires ou non. Gardée aux écuries de la caserne, je n'ai malheureusement pas assez de place chez moi pour l'y accueillir mais elle est bien mieux ici, entourée de d'autres chevaux et de palefreniers qui s'occupent bien d'elle. Plusieurs fois par mois, je m'occupe quand même de la monter et de la sortir pour que nous puissions faire des balades. J'aimerais bien emmener Natsume avec moi pour une promenade à cheval à l'occasion... Enfin bref !
    Aujourd'hui, je voulais voir comment elle se portait. Eventuellement aussi, peut-être lui faire un peu d'exercices sur le parcours d'obstacles, ça fait un moment.

    « Martin ?.. »

    Depuis l'entrée des écuries, j'appelle le palefrenier que je connais le mieux et qui s'occupe parfois de ma jument (si ce n'est tout le temps ? Je ne sais pas trop comment ils se relèguent, ici)

    « Tu es occupé ? »

    Je sais que sa spécialité sont les bêtes volantes, mais son expertise en équidé est large et précieuse.

    « Je voulais voir comment se portait Mearas. »

    Si toutefois le timing est mauvais, je peux repasser un peu plus tard dans la journée.


    ______________________


    Spoiler :

    Natsu et Sam by Coba <3

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    My Horse is Amazing
    avec Samaël Enodril


    Martin aime beaucoup son travail. Probablement un peu trop, même. C’est un fait connu de nombreux collègues de longue date du palefrenier : le blond n’a pas beaucoup de loisirs hors du boulot et ne semble pas s’en rendre compte. Il ne s’en plait jamais, d’ailleurs. Par contre, il a tendance à regarder de travers ceux qui sont frustrés par la fatigue occasioné par leurs activités. Le Hildawagner ne s’est jamais enlevé de la tête que « le travail, c’est la santé ». Tout ce qui lui permet de ne pas penser à ses problèmes est une bonne chose, en fait. Et comme il n’a que peu d’autres alternatives que son boulot pour se distraire… Enfin.

    C’est une matinée comme une autre qui a bien commencé. Depuis maintenant quelques heures, Martin s’affaire dans les écuries. Les box ont été nettoyés à fond pendant que les chevaux et pégases pâturaient. Il fera de même avec les wyvern plus tard. Pour des questions de mésententes fréquentes entre ces espèces. Puis, les wyvern sont moins nombreux.

    Maintenant que le nettoyage est terminé, le blondin peut débuter l’étape qu’il préfère, c’est-à-dire : retirer sa tenue de ramassage de crottin qui pue, puis faire rentrer les chevaux afin de les préparer pour la journée.

    S’il se souvient bien, le général Enodril doit passer voir sa jument aujourd’hui. Il n’a pas d’heure particulière, donc Martin attendra sa venue pour s’occuper de Mearas. La jument à la robe alezane semble apaisée, ce matin. Le palefrenier sait qu’elle est très loin d’être plus difficile de l’écurie, exceptée lorsqu’elle a faim.

    Tandis que le blondin peste sur le fait qu’il ne retrouve pas ses brosses (c’est certainement cet abruti de Jean-Pierre de Bolossaxe qui les a mal rangées), il entend quelqu’un appeler son prénom. Ne reconnaissant pas la voix du général, qu’il attribue à un de ses collègues palefrenier, il décide de le faire attendre, d’un ton qui n’est pas des plus agréable.

    « Une minute ! »

    Après avoir fouillé, il finit par trouver l’une de ses brosses, mais pas les autres.

    Il va m’entendre, le De Bolossaxe !! A tous les coups, il est encore reparti avec et les a perdues !

    En grommelant, Martin revient vers l’entrée et tombe sur…

    « Ah ! Général Enodril…! Veuillez m’excuser monsieur, je vous avais pris pour quelqu’un d’autre… »

    Il se redresse, droit comme un « i » et salue son supérieur selon l’étiquette militaire. Le blondin se sent un peu embarrassé.

    Super, l’impression que tu laisses…

    « Non. J’allais commencer à préparer les chevaux. »

    Martin se retourne et indique la direction du box au général.

    « Mereas est par-là. Elle va être contente de vous voir »

    Enodril a l’air fort enthousiaste, ce matin. Mais, Martin se dit que de toute manière, tout le monde à l’air jovial comparé à lui et sa mine constamment boudeuse. Sur le chemin, le blondinet continue de chercher ses brosses, non sans être satisfait de voir le box aussi propre. Il ouvre la porte du box de la jument qui avance son museau vers son maitre et lui ouffle doucement sur le visage afin de lui témoigner son affection. Comme elle est fort détendue, Martin entreprend de la brosser. Sa voix devient bien plus douce qu'à l'accoutumée, lorsqu'il parle aux chevaux.

    « Regarde, ma belle, papa est là. »

    Au vu de la tranquillité apparente de la jument, Martin sent qu’elle est contente de voir Samaël et elle est assez en confiance pour se laisser faire par le palefrenier.

    « C’est vraiment une gentille fille que vous avez, vous savez. C’est une des plus calmes dont j’ai pu m’occuper ! »

    Il tapote affectueusement l’encolure de l’alezane

    « Mais elle ne se laisse pas faire quand c’est l’heure du repas ! Pas vrai ma grande ? Tu lui a fait un peu peur, au canasson de Gontrand, hier ! »

    Martin pourrait parler toute la journée à ses bêtes et il a tendance à en oublier ses interlocuteurs humains. En se corrigeant d’un éclaircissement de gorge, il reprend en s’adressant au général.

    « Arhem. Vous voulez que je vous la prépare pour sortir ? Ça lui ferait surement du bien, de passer un peu de temps avec vous. »

    Oui, enfin, faudrait pas que je me retrouve à donner des conseils pas sollicités à mon supérieur.

    « Euh, enfin, vous êtes certainement déjà bien occupé. »

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    juillet 1002
    Look at my horse

    my horse is amaaazing

    Hmmm... Est-ce que je l'embête en plein travail ? On dirait bien... Ou alors il a eu une mauvaise matinée. J'attends sagement aux portes des écuries qu'il revienne avant de le voir se confondre en excuses. Oh... Je n'avais pas mal pris son ton, mais son changement soudain de comportement a quelque chose d'amusant. Je ne fais pas de manières pour qu'on respecte mon titre, en tout cas. Cela m'indiffère dans ce genre de contexte et Martin est plus âgé que moi, après tout, alors quelque part, c'est ironique qu'il me parle ainsi. Bon, il est vrai que des fois j'abuse un peu de mon titre quand ça m'arrange mais c'est toujours pour la bonne cause et... Envers le palefrenier, je trouve que ça n'a pas grande importance. Il s'est souvenu au moins que j'étais venu voir ma jument. Sans me départir de mon petit sourire, je le suis jusqu'au box de Mearas, où cette dernière me salue en s'approchant sa tête pour me renifler et me donner des petits coups afin que je la caresse. Comme l'a dit le Hildawagner, elle est effectivement ravie de me retrouver, mais rien de surprenant à ça, puisqu'on se connaît depuis longtemps, elle et moi. Je rougis peut-être légèrement lorsque le blond me désigne auprès d'elle. "Papa", c'est amusant comme surnom. Il est vrai que beaucoup de liens avec les animaux et les humanoïdes sont ainsi définies et que je l'ai vue grandir, mais ça me fait drôle.
    Je ne suis d'ailleurs pas peu fier quand mon collègue me parle de ses qualités, et j'acquiesce donc, fier qu'on dise autant de bien de ma jument. C'est surtout Faust qui m'a aidé à la choisir à l'époque. Il me fallait un cheval qui ne soit pas trop rebelle et que je puisse monter facilement. Caressant son encolure, je lui envoie une expression douce. Je suis content que ce soit un passionné comme Martin qui s'en occupe ; prévoyant, il me propose même de l'apprêter.

    « J'ai un peu de temps, aujourd'hui, je voulais la sortir, justement, ça tombe bien. »

    Elle ne peut pas rester tout le temps dans son box, il faut bien la sortir au moins une fois par jour ; mais mon emploi du temps ne me le permet pas tout le temps (et dernièrement encore moins) alors ça me rassure de savoir qu'on s'en occupe quand je ne peux pas le faire moi-même.

    « Elle n'a plus trop eu l'occasion de se défouler donc je vais la faire trottiner puis peut-être après un petit tour aux obstacles... »

    Je réfléchis brièvement à ce que je pourrais faire pour qu'elle se dépense sans qu'on n'aille bien loin aujourd'hui. J'irai avec elle en balade dans la forêt bientôt, mais aujourd'hui je dois rester dans la cité. Alors que je la scrute, mon regard se fait tout à coup mélancolique.

    « Des fois je me dis que les plaines d'Altissia doivent lui manquer... Tu crois que j'ai bien fait de l'amener avec moi, Martin ?.. Je me demande si elle n'aurait pas été plus heureuse en restant au pays... »

    Yggdrasil, avec tout ce qui s'y passe, n'est pas une ville de tout repos pour elle ; bien qu'elle ait été habituée à aller sur les champs-de-bataille, j'espérais qu'en venant ici elle aurait une retraite anticipée de cheval de guerre bien mérité.


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    Spoiler :

    Natsu et Sam by Coba <3

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    My Horse is Amazing
    avec Samaël Enodril

    C’est sans doute un peu ridicule au vu de leurs âges respectifs, mais Martin ne peut se résoudre à tutoyer Samaël en retour. Cela le fera peut-être paraitre un peu distant, mais le blondinet est trop attaché à son éducation militaire pour ne pas respecter très formellement les règles liées à la hiérarchie. Martin se réjouit que le général accepte de passer un peu de temps avec sa jument. Mereas n’est pas malheureuse sans son maître car on prend soin d’elle au quotidien, mais c’est important que ce dernier s’en occupe régulièrement.

    Un début de sourire (subtil) apparait sur le visage du palefrenier, enthousiaste à l’idée de voir la jument courir avec le général sur son dos. Les propos du général, nostalgiques, ne manquent pas de toucher Martin, qui repense bien souvent à son pays natal. En vivant en Yggdrasil, il se sent déraciné de ses origines, mais ce n’est pas comme s’il y avait quelque chose de bon qui l’attendre en Altissia. Si on demande à Martin pourquoi il ne retourne pas plus souvent « chez lui », il dira qu’il a pleinement confiance en ses vassaux restés fidèles s’occupent très bien de ce qui leur reste de territoire.

    Mais, en réalité, j’ai juste trop honte à l’idée de leur faire à nouveau face.

    Ses vassaux, loyaux à la maison Hildawagner depuis toujours, n’ont pas l’air de lui tenir rigueur d’avoir abandonné beaucoup lors de son divorce. Ils avaient l’air soulagés de se contenter de biens et de territoires bien mince par rapport à ce que le Hildawagner avaient jadis, car cela signifiait de mettre fin à des rébellions et conflits trop fréquents et à l’appauvrissement inéluctables de leurs terres.

    Je peux quand même pas m’empêcher d’imaginer comment les choses auraient pu se passer si j’avais pas décidé d’abandonner cette bataille… Ce que mère me dirait, aujourd’hui.

    Perdu dans ses pensées, le blondin laisse un blanc entre la question de Samaël et sa réponse, hésitante.

    « Je… je peux vous dire qu’elle est heureuse ici. »

    De toute façon, je ne pense pas qu’on sera ici pour encore très longtemps. Ce n’est qu’une question de temps avant qu’Yggdrasil soit détruite par de nouveaux monstres ou la guerre qui reprendra inévitablement entre nous et eux.

    « Je ne sais pas si elle aurait aimé se retrouver seule, même si c’était en restant « à la maison ». Ici, elle a des copains et elle peut vous voir, au moins. »

    Tout en terminant de brosser Mereas, Martin hausse les épaules.

    « Si vous me permettez de vous demander plus franchement… »

    Il marque une pause, attendant l’autorisation du général.

    « Pensez-vous vraiment qu’on s’éternisera ici, de toute façon ? Cette ville est trop instable, entre les attaques de monstres qui ont failli avoir raison de nous et la cohabitation avec les caldissiens qui n’est peut-être pas si solide… »

    Camelia et Gaston sont jeunes et ont moins vécu la guerre que leurs parents. Probablement sont-ils plus enclins à préserver la paix pour le moment. Mais, ils sont trop jeunes et s’ils meurent… on ne sait pas ce que feront les personnes qui leur succèderont.

    Maintenant qu’il repense à ses paroles, Martin se rend compte qu’il a un peu l’air de sous-entendre que son supérieur ne fait pas bien son travail pour assurer la sécurité des gens.

    « P-pas que je pense que vous ne fassiez pas bien votre travail, hein ! »

    Il s’éclaircit la gorge et regarde le sol, un peu piteux.

    « Veuillez m’excuser Général. Mes paroles ont dépassé ma pensée. »

    Pour changer de sujet, il s’en va chercher la selle de Mereas, pressant nerveusement le pas.

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    juillet 1002
    Look at my horse

    my horse is amaaazing

    Si Martin me dit que Mearas est plus heureuse ainsi... Je le crois. C'est lui, le spécialiste, après tout. Le langage des chevaux, il doit bien connaître. C'est évident quand il le dit comme ça, mais c'est vrai qu'elle peut être en compagnie de d'autres montures, également. Caressant sa tête tandis que je laisse le palefrenier faire son travail, je suis quelque peu surpris par sa question soudaine. J'ai fini par tellement me mélanger aux Eossiens et aux Caldissiens sans faire attention que j'en ai oublié qu'il y avait encore des tensions qui subsistaient. A l'évidence, Martin n'a pas l'air d'être du genre à se lier aux étrangers. Bon, en même temps, avec son passé d'ancien soldat, ça peut se comprendre ; je ne peux pas blâmer tous les chevaliers d'avoir du mal à faire ami-ami avec ceux qui furent nos ennemis pendant un millénaire. Je crois pouvoir affirmer toutefois que les populations sont parvenues de plus en plus à se fondre entre elles, encouragés par le mariage des souverains. Que dire de ma propre situation... Disons que ça ne m'arrangerait pas de partir maintenant ; du moins, pas sans Natsume. J'évite pour le moment néanmoins d'aborder ce sujet à tort et à travers, mimant une incertitude tandis qu'il prépare la selle.

    « Je ne sais pas... Où voudrais-tu que l'on aille ? »

    "Retourner du côté d'Altissia" est la réponse évidente. Mais je ne peux pas faire comme si les choses étaient si simples. Ou lui faire croire que ce serait acceptable sans condition et désavantage. Le blond, humble, ne m'offense pas avec ce genre d'interrogations ; mais je suis le premier concerné dans ce genre de problématiques donc il est difficile d'être vraiment objectif.

    « Je veux dire... Je pense que les gens s'habituent peu à peu à la situation. Même s'il y a des imprévus, ça reste avantageux, non ?.. Il n'y a au moins plus de guerre entre Caldissia et Altissia et euh... C'est pas rien. »

    Je tente de voir le bon côté des choses. Cela me paraîtrait bizarre à présent de devoir affronter Gabryel de façon sérieuse. Et je crois qu'il ne serait pas forcément plus à l'aise.

    « Enfin, à titre personnel, je préfère me battre contre des monstres plutôt que d'autres chevaliers. Il y a aussi ceux qui se sont liés étroitement aux Caldissiens et... et aux Eossiens. »

    Mon regard passe distraitement sur le plafond de l'écurie. Outre notre rapport à nos anciens rivaux, qu'est-ce qui se passerait pour les Natifs si nous venions à partir ?..
    Je me tourne vers le palefrenier, avec un air curieux.

    « Tu as un peu de mal avec cette histoire de cohabitation, n'est-ce pas ? »

    En un sens, connaissant les clichés sur les Caldissiens (pas si éloignés que ça de la réalité pour ce que j'en sais), ça ne m'étonne pas si Martin éprouve quelques difficultés à s'entendre avec eux. Les Altissiens ont aussi leur petit caractère.


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    Natsu et Sam by Coba <3

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