Prêt à conquérir l'arbre, les outils nécessaires à son ascension sortent de son sac et il lève son regard bleu en direction des cimes pour juger de ses meilleures prises. Le plus simple, se dit-il, reste pour l'instant de s'occuper des branches les plus basses. Enthousiaste, il se heurte toutefois bien vite à un problème. Un heurt littéral. Ou plutôt est-ce d'ailleurs à lui qu'on se heurte. Elliott se retrouve brièvement bousculé par quelque chose ou quelqu'un, et quand il se retourne vers l'obstacle en question, ses yeux s'écarquillent.
Le Cardinal ?
C'est peu dire qu'il ne porte pas le religieux dans son cœur. Bien que ce soit un mage puissant et instruit, le Donovan a beaucoup de mal à l'apprécier et il ne suffit pas non plus d'avoir une grosse culture pour rentrer dans ses bonnes grâces. Il doit néanmoins se retenir de pouffer lorsque l'autre trébuche sur une racine.
Même s'il ne me voit pas, je ne dois pas trop traîner.
Discrètement, s'il commence à s'éloigner pour ne pas que Edenweiss finisse par soupçonner quelque chose, il ne s'attendait pas à ce que ce dernier balaye sur lui un nuage de poussière.
C'est pas bon pour mon asthme, ça.
Bien qu'il tente de se retenir, c'est un peu raté : il tousse pour ne pas avaler les particules de sable mais se retrouve légèrement couvert pour celles-ci qui dessinent dans l'air un bout de son corps. Elliott s'en débarrasse aussitôt mais trop tard : le brun a attrapé un bout de sa robe et n'a pas l'intention de vouloir le lâcher. S'il tarde trop à réagir, il peut dire adieu à sa session d'escalade. Son cerveau réfléchit à toute vitesse mais il n'a pas amené beaucoup de potions qui peuvent l'aider, cette fois. Déchirer son bout de tissu agrippé serait aussi une solution, mais il ne tient pas à laisser une seule trace derrière lui. Alors son instinct réagit avant lui. Pas le côté humain, toutefois. L'âme du loup-garou surgit sans véritablement s'en rendre compte. Ses crocs s'affutent comme ceux d'un canidé qui viennent alors plonger dans la main qui l'agrippent dans l'espoir que ça suffise à le lâcher. Une fois cela fait, Elliott n'attend pas avant de bondir sur la première branche qui apparaît devant lui. Puis la seconde. Et la troisième.
Ouf !
Hors de portée du Cardinal (pour le moment), Elliott souffle un peu. Il ignore que son plus grand adversaire à l'heure actuelle n'est toutefois pas le pyromane en bas, mais plutôt le végétal qu'il veut étudier.
Je dois me dépêcher avant que la curiosité de l'autre vienne gâcher mes plans.
Il ne sait pas si le religieux va le poursuivre ou s'il va abandonner, après tout, mais ce n'est plus le moment de prendre son temps, même si le blanc n'aime pas être pressé. Sortant couteau et bocal, sa lame s'abat sur l'une des branches aux feuilles lumineuses. Mais juste après la première entaille sur le tronc, une autre attaque met à mal son projet : celle de l'arbre, cette fois qui...
... se défend ?
Une autre branche, un peu plus haute, vient le taper voire même le fouetter avec ses feuilles pour tenter de le faire tomber.
Ouch !
C'était peut-être, après tout, une fausse bonne idée, cette histoire.
Le Cardinal ?
C'est peu dire qu'il ne porte pas le religieux dans son cœur. Bien que ce soit un mage puissant et instruit, le Donovan a beaucoup de mal à l'apprécier et il ne suffit pas non plus d'avoir une grosse culture pour rentrer dans ses bonnes grâces. Il doit néanmoins se retenir de pouffer lorsque l'autre trébuche sur une racine.
Même s'il ne me voit pas, je ne dois pas trop traîner.
Discrètement, s'il commence à s'éloigner pour ne pas que Edenweiss finisse par soupçonner quelque chose, il ne s'attendait pas à ce que ce dernier balaye sur lui un nuage de poussière.
C'est pas bon pour mon asthme, ça.
Bien qu'il tente de se retenir, c'est un peu raté : il tousse pour ne pas avaler les particules de sable mais se retrouve légèrement couvert pour celles-ci qui dessinent dans l'air un bout de son corps. Elliott s'en débarrasse aussitôt mais trop tard : le brun a attrapé un bout de sa robe et n'a pas l'intention de vouloir le lâcher. S'il tarde trop à réagir, il peut dire adieu à sa session d'escalade. Son cerveau réfléchit à toute vitesse mais il n'a pas amené beaucoup de potions qui peuvent l'aider, cette fois. Déchirer son bout de tissu agrippé serait aussi une solution, mais il ne tient pas à laisser une seule trace derrière lui. Alors son instinct réagit avant lui. Pas le côté humain, toutefois. L'âme du loup-garou surgit sans véritablement s'en rendre compte. Ses crocs s'affutent comme ceux d'un canidé qui viennent alors plonger dans la main qui l'agrippent dans l'espoir que ça suffise à le lâcher. Une fois cela fait, Elliott n'attend pas avant de bondir sur la première branche qui apparaît devant lui. Puis la seconde. Et la troisième.
Ouf !
Hors de portée du Cardinal (pour le moment), Elliott souffle un peu. Il ignore que son plus grand adversaire à l'heure actuelle n'est toutefois pas le pyromane en bas, mais plutôt le végétal qu'il veut étudier.
Je dois me dépêcher avant que la curiosité de l'autre vienne gâcher mes plans.
Il ne sait pas si le religieux va le poursuivre ou s'il va abandonner, après tout, mais ce n'est plus le moment de prendre son temps, même si le blanc n'aime pas être pressé. Sortant couteau et bocal, sa lame s'abat sur l'une des branches aux feuilles lumineuses. Mais juste après la première entaille sur le tronc, une autre attaque met à mal son projet : celle de l'arbre, cette fois qui...
... se défend ?
Une autre branche, un peu plus haute, vient le taper voire même le fouetter avec ses feuilles pour tenter de le faire tomber.
Ouch !
C'était peut-être, après tout, une fausse bonne idée, cette histoire.
raie-zoom-haie :
Elliott se fait attraper par Helmut et, sous le coup de la panique, se sert de ses crocs de loup-garou pour le mordre assez fort afin qu'il le lâche. Puis il grimpe en vitesse dans l'arbre et veut couper une branche mais l'Arbre contre-attaque en utilisant ses autres branches.