De retour dans les quartiers Eossiens. La même chose que durant sa première visite chez Shimomura au sanctuaire. Elle a beau toujours être l'étrangère, c'est pas comme si ça changeait de ses habitudes. Les lieux lui paraissent plus familier. Malgré l'état parfois déplorable des habitations, il y a toujours ce quelque-chose d'étrange, reposant, comme un "chez-soi" en venant ici. Peut-être juste le fait d'être plus près de la nature et moins de la ville qu'elle ne supporte pas vraiment. Parlant de la ville, si elle se rends ici, c'est dans un but précis. Le forgeron de l'autre fois n'a plus donné la moindre nouvelle depuis leur rencontre. Pas que ça lui manque. C'était durant sa longue et douloureuse phase à encaisser le choc de sa mort, résurrection et disparition de sa famille. Mais bon, Basmath est revenue, Elle et Klaus ça s'est calmé et elle est avec Rosie; il est grand temps de continuer de l'avant. Mais, si jamais elle devait trainer pour accomplir la volonté qui la retient dans ce bas-monde, autant forger son héritage. Elle a entendu parler d'anciens forgerons à la très bonne réputation chez les eossiens, Ashworth quelque-chose. Autant en avoir le coeur net et voir ça soi-même.
Ses pas la mène jusqu'au fameux bâtiment. Un bâtiment qui a connu des jours meilleurs pour sûr. Pas que ce soit laid ou pas entretenu. Juste que...C'est grand, et tout a pas pu être encore bien rénové. Les temps sont dur pour eux aussi. La mate lève la tête, regarde l'enseigne et juste, l'architecture extérieure. Elle aime bien le style Eossien honnêtement. Elle sort un instant de ses rêveries et entre enfin. Ses pas virent petit à petit au ralenti. Son regard se pose un peu partout, ici et là. C'est vraiment grand pour une forge...et calme. Le bâtiment a l'air de n'être qu'à moitié utilisé. Ses yeux se posent vers une quelconque porte, à la recherche d'un visage.
Qu-qu-que-quel-quelqu'un? Mais pas de réponse sur l'instant.
Bon, elle va pas se décourager aussi vite l'invocation. Alors elle replace ses mains sous le manteau, commençant à errer un peu ici et là. La curiosité qui la guide jusqu'à des pièces d'équipement exposées. Des brassards, des jambières et des lames; sa main valide se pose sur l'une d'elle alors qu'elle regarde de plus près. C'est tellement...détaillé, bien plus que chez l'autre forgeron. Judith se demande bien si les occupants de la forge font encore de tels ouvrages, et si leur efficacité valent leur allure. Perdue à nouveau dans ses pensées, la matte prends un des brassards et le regarde dans les moindres recoins. C'est joli, peut-être avec de la peinture elle pourrait faire en sorte qu'elle lui aille parfaitement. Reste à savoir le pri-
Un bruit de grincement de porte derrière elle qui parvient à la faire sursauter. Ni une ni deux, la métisse se tourne, yeux écarquillés, toujours le brassard dans les mains. On dirait une petite voleuse prise en flagrant délit vu comme ça.
Ses pas la mène jusqu'au fameux bâtiment. Un bâtiment qui a connu des jours meilleurs pour sûr. Pas que ce soit laid ou pas entretenu. Juste que...C'est grand, et tout a pas pu être encore bien rénové. Les temps sont dur pour eux aussi. La mate lève la tête, regarde l'enseigne et juste, l'architecture extérieure. Elle aime bien le style Eossien honnêtement. Elle sort un instant de ses rêveries et entre enfin. Ses pas virent petit à petit au ralenti. Son regard se pose un peu partout, ici et là. C'est vraiment grand pour une forge...et calme. Le bâtiment a l'air de n'être qu'à moitié utilisé. Ses yeux se posent vers une quelconque porte, à la recherche d'un visage.
Qu-qu-que-quel-quelqu'un? Mais pas de réponse sur l'instant.
Bon, elle va pas se décourager aussi vite l'invocation. Alors elle replace ses mains sous le manteau, commençant à errer un peu ici et là. La curiosité qui la guide jusqu'à des pièces d'équipement exposées. Des brassards, des jambières et des lames; sa main valide se pose sur l'une d'elle alors qu'elle regarde de plus près. C'est tellement...détaillé, bien plus que chez l'autre forgeron. Judith se demande bien si les occupants de la forge font encore de tels ouvrages, et si leur efficacité valent leur allure. Perdue à nouveau dans ses pensées, la matte prends un des brassards et le regarde dans les moindres recoins. C'est joli, peut-être avec de la peinture elle pourrait faire en sorte qu'elle lui aille parfaitement. Reste à savoir le pri-
Un bruit de grincement de porte derrière elle qui parvient à la faire sursauter. Ni une ni deux, la métisse se tourne, yeux écarquillés, toujours le brassard dans les mains. On dirait une petite voleuse prise en flagrant délit vu comme ça.