Soirée jeu :
ça tourne mal !
Après ses dernières paroles irréfléchies (enfin, que Lionel juge irréfléchies), le vampire espère que Klaus changera de sujet. Mais le cerbère ne semble pas mis mal à l’aise par les jérémiades du bleu. Au contraire, il a l’air serein et rassuré.
Il trouve qu’on est similaires ? Hm…
« Ah ! Parce qu’on est tous les deux caldissiens, oui ! »
Bon sang, Lionel, ne fais pas semblant de ne pas comprendre. Ne t’étonnes pas que tout le monde te prenne pour un bouffon après ce genre de remarques grâces auxquelles tu te fais passer pour un débile !
Au moins, maintenant, les deux parlent de se retrouver dans le quartier des loisirs. Klaus a l’air de bien connaître le coin (ce qui n’est pas anormal sachant qu’il y vit) et toujours enthousiaste. Lionel hoche la tête aux remarques de l’autre.
« Oh, oui, c’est vrai que c’est bien pratique ! D’autant plus que je ne supporte pas bien les foules ! J’espère qu’un jour, je maitriserais mieux ma transformation et que je pourrais simplement me faire pousser des grandes ailes ! »
Hihihi ! Être vampire ce n’est pas drôle tout le temps mais pour ce qui est de voler… ah, ça, ça compense un peu les désavantages de mon espèce.
Il s’imagine souvent, voler au secours des gens avec ses grandes ailes démoniaques violettes, attraper les personnes malmenées dans ses bras pour les porter loin du danger !
Je rêvais souvent qu’un héros ailé vienne me sauver, quand j’étais petit, d’ailleurs. Enfin bref, ce n’est pas le moment de faire ma thérapie ! Pas besoin !
Bah, oui, hein pourquoi faire une thérapie quand on en a grandement besoin alors qu’on pourrait aller faire du shopping, hein ?! Oui, on n’a jamais dit que Lionel était très fut-fut quand il s’agit de sa santé mentale.
« Ça fait tellement longtemps que je ne suis pas allé faire les magasins… ! C’est que ne pas pouvoir sortir le jour n’aide pas trop. Du coup, j’ai appris à coudre moi-même mes capes. »
Il hausse les épaules. Un petit tour au marché noir pourrait être amusant aussi. On y trouve surement pleins de choses intéressantes. Pas seulement des choses mauvaises ou illégales.
« Il y a surement un marché de nuit… et le marché noir ! Je suis sûr qu’on peut y trouver des choses intéressantes. »
Ou des artefacts louches et d’autres choses étranges qu’on est pas trop censés acheter. Mais bon, Lionel est curieux. Parfois un peu trop curieux.
Mais ses questions devront attendre une autre fois pour avoir des réponses. Il commence à se faire tard (ou plutôt, très tôt le matin, en l’occurrence) et si Lionel a l’habitude de passer certaines nuits dehors, Klaus, lui, est un individu diurne.
« Bon, je ne veux pas t’empêcher de rentrer dormir chez toi ! Je crois que je vais rentrer à la maison également… j’ai pas mal de choses pour occuper ma nuit. Il y a ce roman que je voudrais finir de lire qui… euh, bref. Je t’écrirais pour qu’on aille faire les échoppes du coin ensemble, qu’en dis-tu ? »
Sur ce, le vampire se tint prêt à retenir l’adresse de son ami, pour ensuite lui dire bonne nuit et s’envoler pour rentrer chez lui.
Il trouve qu’on est similaires ? Hm…
« Ah ! Parce qu’on est tous les deux caldissiens, oui ! »
Bon sang, Lionel, ne fais pas semblant de ne pas comprendre. Ne t’étonnes pas que tout le monde te prenne pour un bouffon après ce genre de remarques grâces auxquelles tu te fais passer pour un débile !
Au moins, maintenant, les deux parlent de se retrouver dans le quartier des loisirs. Klaus a l’air de bien connaître le coin (ce qui n’est pas anormal sachant qu’il y vit) et toujours enthousiaste. Lionel hoche la tête aux remarques de l’autre.
« Oh, oui, c’est vrai que c’est bien pratique ! D’autant plus que je ne supporte pas bien les foules ! J’espère qu’un jour, je maitriserais mieux ma transformation et que je pourrais simplement me faire pousser des grandes ailes ! »
Hihihi ! Être vampire ce n’est pas drôle tout le temps mais pour ce qui est de voler… ah, ça, ça compense un peu les désavantages de mon espèce.
Il s’imagine souvent, voler au secours des gens avec ses grandes ailes démoniaques violettes, attraper les personnes malmenées dans ses bras pour les porter loin du danger !
Je rêvais souvent qu’un héros ailé vienne me sauver, quand j’étais petit, d’ailleurs. Enfin bref, ce n’est pas le moment de faire ma thérapie ! Pas besoin !
Bah, oui, hein pourquoi faire une thérapie quand on en a grandement besoin alors qu’on pourrait aller faire du shopping, hein ?! Oui, on n’a jamais dit que Lionel était très fut-fut quand il s’agit de sa santé mentale.
« Ça fait tellement longtemps que je ne suis pas allé faire les magasins… ! C’est que ne pas pouvoir sortir le jour n’aide pas trop. Du coup, j’ai appris à coudre moi-même mes capes. »
Il hausse les épaules. Un petit tour au marché noir pourrait être amusant aussi. On y trouve surement pleins de choses intéressantes. Pas seulement des choses mauvaises ou illégales.
« Il y a surement un marché de nuit… et le marché noir ! Je suis sûr qu’on peut y trouver des choses intéressantes. »
Ou des artefacts louches et d’autres choses étranges qu’on est pas trop censés acheter. Mais bon, Lionel est curieux. Parfois un peu trop curieux.
Mais ses questions devront attendre une autre fois pour avoir des réponses. Il commence à se faire tard (ou plutôt, très tôt le matin, en l’occurrence) et si Lionel a l’habitude de passer certaines nuits dehors, Klaus, lui, est un individu diurne.
« Bon, je ne veux pas t’empêcher de rentrer dormir chez toi ! Je crois que je vais rentrer à la maison également… j’ai pas mal de choses pour occuper ma nuit. Il y a ce roman que je voudrais finir de lire qui… euh, bref. Je t’écrirais pour qu’on aille faire les échoppes du coin ensemble, qu’en dis-tu ? »
Sur ce, le vampire se tint prêt à retenir l’adresse de son ami, pour ensuite lui dire bonne nuit et s’envoler pour rentrer chez lui.
Quartier des Loisirs - Juillet 1001