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  • Mini-Event n°1 - La Foire de 1001 - Page 2
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    Le dragon n'est plus, miracle est arrivé. Yggdrasil a protégé sa cité. Des mois de siège éreintant cessent, la ville millénaire respire à nouveau. Chaque soir, sous la lueur émeraude et bienveillante du grand arbre, les éossiens fêtent et célèbrent ceux tombés au combat. Après tant d'épreuves, la ville semble reprendre vie...
    Forum Fantasy
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    +24
    Allikah Yeshua
    Samaël Enodril
    Aëly Rietvield
    Faust Donovan
    Gabryel L. de Venomania
    Basmath Yeshua
    Astrid Windberg
    Natsume Shimomura
    Breglamdia Bleuciel
    Théodule Von Griffon
    Linea Hymalae
    Hestia Quynh
    Sélène I. Arvesden
    Klaus H. Evergarden
    Aëden Von Griffon
    Raol Zeteki
    Elyas A. Maresh
    Lysia Thalys
    Jill Lazarus
    Rosemarie Förstner
    Kanaé Cranberry
    Volf Wer
    Howl Wintersong
    Yggdrasil
    28 participants

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    la foire. Dedene & Le Monde +

    Je suivis du regard son doigt qu'elle pointait vers un petit stand tenu par un vieil homme moustachu. Il lui a donné ? C'est possible ça ? Les yeux pétillants, je voyais un peu cette jeune fille comme une adulte ! Elle avait l'air d'en savoir des choses et en plus les gens l'aimaient bien ! Enfin, c'est ce que j'en ai naïvement déduit lorsqu'elle m'a confié le fait que le vendeur de fruits lui a donné de quoi se nourrir. Bavant presque en la voyant croquer dans le fruit, je la fixe maladroitement du regard, plein d'espoir. Elle m'annonce être perdu... Moi, je ne le suis pas, grâce à mon nez je pourrai rentrer plus ou moins rapidement à la maison. Elle sembla hésiter, puis finalement, la bouche pleine, m'invite à manger un fruit qu'elle me lance. Le rattrapant par réflexe un peu animal, je fais une démonstration surprenante de force en cassant en deux le fruit avant de le sentir de l'intérieur. Méfiant, je préférais être certain que ça ne sois pas du poison. Mais mon flair m'indique que non ! Je m'éloigne un peu pour me mettre à l'écart et la tient par la manche pour qu'elle me suive. Je ne l'a remercie pas -la politesse m'étant toujours aussi inconnue- et affiche un air un peu perdu. Bon, tant pis, j'ai faim ! Enlevant le bandage qui cachait le dessous de mon visage, je penche ma tête en avant pour qu'elle ne sois pas trop dégoûtée de ma blessure et croque dans le fruit juteux. Lui jetant un regard en biais, je repris la parole en avalant difficilement un gros morceau :

    « Si tu es perdue, je connais quelqu'un qui peut t'aider. Il connait tout Yggdrasil par coeur ! »


    Bon, j'exagérais un peu sans m'en rendre comte, mais j'aimais tellement parler de Théodule que... je ne pouvais m'en empêcher. Grignotant encore un peu la nourriture, je m'avance un peu et relève timidement la tête. Je n'aime pas que l'on voit mes blessures, mais bon, cette fille semble avoir mon âge alors peut-être que ça ira ? Je fini rapidement mon fruit en l'engloutissant en entier, ainsi je pouvais remettre mes bandages et me sentir plus à l'aise. Je souris innocemment à l'animorphe et la fixe droit dans les yeux.

    « Et t'es qui toi ? »


    C'était un peu brute et déplacé, mais j'essayais parfois de faire des efforts. Toute cette politesse et ces mots qu'on dit pour faire semblant d'être gentil ça m'agace. Il valait mieux être honnête, direct et simpliste, il n'y a rien de mieux !
    kyro. 017 ldd

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    Une journée de plus où les choses semblaient enfin bien se passer. Tellement bien qu'à l'annonce de la foire, et de la proposition de Klaus pour s'y rendre, elle a accepté. Ces derniers temps, elle est beaucoup plus conciliante avec lui. S'en est presque flippant. Mais non, elle est juste, contente, que beaucoup de choses se dégoupillent, et cette foire ne va faire que l'aider. ...Et si Iris était à la foire? Ou Rosie? Elle aurait peut-être demandé à sa mè-Oh c'est vrai elle ne l'a toujours pas dit à Klaus, pour sa famille. Plus tard.

    Les voilà à la foire et...Il y a, tellement de monde. Si elle n'était pas d'aussi bonne humeur, ça la mettrait mal à l'aise. Judith ne s'est pas mise sur son 31 pour l'occasion. Les robes ne lui vont pas avec les bandages qui la grossissent. Enfin bref, elle est à se balader, à observer les alentours plutôt que le stands. Et puis il entends une voix qui l'extirpe de son petit nuage. Elle se tourne, confuse et yeux ouverts.

    H-huh?

    De quoi, quel stand? Oh ! Ce sta-...wow. Entre Judith qui a des étoiles plein les yeux à tout observer, et Klaus qu'elle n'arrive pas à reconnaître tant il est excité. Drôle de soirée. Mais elle hoche la tête, souriante.

    D'd'acc-accord. Le ton est calme mais elle est déjà partie en trottinant jusqu'au stand, essayer de se faire comprendre par le marchand, donner du sicam et être la première à pouvoir tirer à l'arc.

    Elle se met en position, comme à l'entrainement avec son père. Regarde et admire Klaus. Tu vas l'avoir cette peluche de panda, et si possible, une autre peluche pour Iris. Pas son arme favorite mais elle se débrouille. Reste à voir sir elle n'a pas perdu ses réfl-

    AH!

    Les feux d'artifices, le bruit d'explosion, l'explosion, l'explosion, Isaac, mort, morte. Tout un tas de flash et la douleur sur tout le coté brûlée qui devient vive. Elle a lâché l'arc, ses doigts se tordant de douleurs avant qu'elle n'attrape sa main en bandages avec l'autre. Elle recule précipitamment horrifié à force d'entendre les bruits. Son souffle est saccadée, elle tremble. La mate tente de se ressaisir et s'éloigne, laissant la place à Klaus.

    V-vas-y-

    Elle va tenter de garder son calme, le feu d'artifice va passer, ça où son état d’âme.

    Résumé foireux :

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    Elle se balade, insouciante, la tête ailleurs alors que certains la dévisagent, elle et sa carrure. Aïthria est partie avec Lykos pour la foire, non pas qu'Aïthria avait insisté pour venir voir (elle a totalement insisté). Le problème c'est que, à papillonner sans faire attention, elle a accidentellement semé son amie. Elle s'est perdue jusqu'à un stand de tir. Lancer une balle et si vous faites tomber les canettes, vous gagnez un prix. Elle a voulu jouer Aith, mais visiblement, il y avait une différence entre faire tomber, et faire exploser tellement le lancer était fort. Du coup elle est partie, sans récompenses alors qu'on l'engueulait. Elle a pas compris pourquoi...

    Et puis, elle sent une odeur, l'odeur de la victoire, celle de la nourriture. Elle a suivi l'odeur, ça sentait la pâtisserie, comme chez le boulanger de son village. Mais quelque-chose l'avait encore écarté de son objectif premier. Des boom, des bam, des pan et des trucs dans le ci-...

    ...Aïthria regarde là-haut, bouche-bée, émerveillée, presque émue. C'était beau, elle avait jamais vu ça. Si Lykos était là, elle aurait pu lui dire qu'il s'agissait d'un feu d'artificie, que c'était le but de la fête. Mais là tout de suite, pour elle qui pointait le ciel, c'était-

    Les étoiles dansent ?!

    A qui elle s'adressait? Huh, bonne question, sûrement à la fille "en orange" et au gars un peu biz-Oh wow. Maintenant qu'elle le regarde, sa bouche. Elle en oublie un instant la nourriture qu'ils ont et tout le feu d'artifice en haut. Elle se penche vers lui, pointant du doigt son visage défiguré, curieuse.

    Pourquoi ta bouche elle est cassée?

    Classe Aith'.

    Résumé foireux :

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    Emportés par la fouuuuuule 
    Avec du monde
    ◊ Théodule se perd dans la foule, se daronnise et cherche son Dedennou ◊

    « Mais arrêtes de paniquer comme ça, t’es stressant ! »

    Je plisse les yeux en essayant de me grandir pour voir un peu plus loin que les aisselles des gens dans la foule, espérant y distinguer Aëden qui est parti je ne sais où. Ça pue, à cet étage ! Ça n’a pas l’air de déranger mon frère Olaf, cela dit. Ses yeux fins aux pupilles sombres partiellement cachés par ses longs cheveux noirs me fixent d’un air moqueur.

    « Il reviendra chez toi quand il en aura marre, toute façon. »

    Oui, certes, mais je ne suis pas certain qu’il en ait marre un jour ou qu’il ne se perde pas. Les rues sont méconnaissables quand elles sont aussi peuplées.

    « Tu parles, il s’est sûrement perdu en suivant une odeur de nourriture ! »

    Olaf leva les yeux au ciel et pinça les lèvres, l’air de dire que tout cela est très banal. Il ajouta même un « bah y’a rien d’mal à ça » en haussant les épaules. Il faut dire que lui-même venait de finir sa troisième brochette et avait encore faim… je vous jure. J’aimerais avoir autant d’appétit, des fois. J'ai vraiment l'air maigrelet et sec à côté de lui et de sa carrure de soldat, j'aime pas ça.

    Tandis que je grogne en me frayant un chemin vers un escalier me donnant une meilleure vue sur la foule, Olaf reste en bas en ricanant.

    « Héhéhé. »
    « Quoi ?! »

    Il se met à rigoler de plus belle. Je croise les bras en faisant la moue.

    « Rien, rien, c’marrant de voir qu’tu t’inquiètes pour quelqu’un d’autre que ton reflet dans le miroir. »
    « Hmph ! »


    Qu’il se rende utile au lieu de se foutre de moi ! Je descends les escaliers bredouille et retourne me mêler à la foule afin d’avancer. Il y a de la musique, dans le coin, ça sent fort la nourriture… c’est certain que mon-- que Aëden s’est perdu là-dedans. Avec ses sens, il doit sûrement être totalement perdu. En me voyant me presser, Olaf me tapotte fraternellement l’épaule.

    « Roooh, fais pas cette gueule, il est pas parti loin ton gamin... »
    « C’est pas « mon » gamin ! »


    M’offusquais-je en le repoussant. Je ne suis pas son père, bon sang ! Je… je le laisse juste rester dans mon jardin, comme il ne veut pas rentrer à l’intérieur de toute manière.

    « Mais ouais, c’est ça… »

    Marmonne Olaf sans perdre son air rigolard.

    « Pfff !! Rases-toi le visage avant de la ramener ! Tu es moche ! »
    « C'toi qu'es moche. »


    Oh, je vous jure, il a quel âge, hein… Je lui chippe une de ses brochettes afin de croquer dedans prestement.

    « Aëdeeeeeeen ? y'a Papa et Tonton on a des brochettes pour toi ! »

    Lance Olaf en beuglant au milieu de la foule, agitant ses brochettes en l'air avant de ricaner de plus belle.

    « Arrêtes de crier abruti ! »

    On va bien finir par le trouver, hein… ? J’espère juste qu’il ne s’attire pas d’ennuis, il a tendance à s’approcher un peu trop près des soldats, des fois. Enfin, euh, je ne m’inquiète pas, c’est juste… bref, n’en parlons plus !



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    Le garçon avait commencé à manger, dévoilant une énorme cicatrice sur la bouche qui avait surement fait mal parce que c'était une grosse blessure ouille. Enfin, pas aussi mal qu'un ventre qui crie famine apparemment vu qu'il avait enlevé son masque pour manger le fruit que je lui ai lancé ! Il l'avait cassé en deux sans doute pour faire le costaud comme certains garçons quand j'étais à l'école…

    Il me dit qu'il connait quelqu'un qui peut m'aider si je suis perdue, nooon ! Pour une fois que je veux rester perdue le temps de m'amuser assez. Je retrouverais bien mon chemin toute seule en plus ! Si seulement il n'y avait pas de bonnes odeurs partout ! Je suis prisonnière d'un terrain miné par de la nourriture délicieuse et des attractions qui ont l'air très chouette aucun moyen ni aucune envie d'en sortir !

    - Non merci ! J'aime bien être ici et puis mon grand frère me retrouvera bien après !

    Quoi que, le retrouver maintenant ne serait pas mal vu qu'il a l'argent pour acheter à manger et j'ai faim et il n'y a plus de fruit… je gonfle légèrement mes joues par frustration, avec un air de boudeuse affiché sur le visage qui n'est pourtant destiné à personne. Ah, qui je suis ? Ah oui c'est vrai, je n'ai pas dit mon nom !

    - Moi c'est Kanaé ! Je suis une panda roux et toi t'es qui ?

    Lançais-je avec énergie avant que mon ventre ne gargouille fort et qu'une autre inconnue vienne se mêler à la discussion, demandant si les étoiles dansent ! C'est une belle manière de voir les choses !

    - Oh c'est vrai qu'on pourrait voir ça comme ça !

    Elle demande au garçon si sa bouche est cassée, elle n'a jamais vu de cicatrices ? Même moi j'en ai eu quelques unes toutes minuscules à force de jouer en forêt ! Enfin, ce n'est pas une grosse branche qui aurait pu lui faire un truc aussi énorme !

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    Oh, c'était encore bien nouveau cette foule pour la petite naine du clan Bleuciel ! Cette foire, immense pour elle, qui vient de la montagne et des forêts, lui fait tourner la tête. Avec son frère Kherferlun, ils se promènent à la découverte des nouveautés. Normalement, ils devaient partir tous ensemble avec la compagnie des pandas roux, mais Kanaé avait trop faim et ils n'avaient finalement pas attendu les deux nains.

    Évidemment, Bleuciel était émerveillée par le moment présent. Des gens, de toutes les races, de toutes les provenances. La fête, comme si la vie n'était qu'une grande kermesse et qu'une grande cour de récréation. C'était un peu le début de la découverte que souhaitait la petite Bleuciel. Elle découvrait aussi les stands, des produits venant de Caldis, d'autres d'Altis, ceux-là, elle connaissait déjà un peu mieux.

    Elle avait fait tout un cirque à son frère pour qu'il lui achète des plantes. C'est vrai, elle n'en avait jamais vu des plantes avec des fleurs de cette couleur là. C'était un vert particulièrement clair. Qui lui rappelait la couleur de la barbe de leur mère. Bien sur, elle avait joué sur cette ligne en mouillant un peu ses yeux à son frère. Il avait cédé à contre cœur, mais que voulez-vous ? Elle n'allait pas arrêter, jamais.

    Et voilà le pauvre nain Bleuciel, portant les deux plantes pendant que sa petite sœur courait vers un stand de nourriture. Vu le degré d'excitation et d'enthousiasme de sa sœur, il va devoir supporter tout ça encore un peu. Heureusement pour lui, il croise le frère de Kanaé qui l'aide à porter les plantes. Kherferlun rigole, Kanaé est quelque part dans la foire, impossible de la retrouver pour le panda roux. Ils verront bien où elle se cache, en attendant, ils suivent Bleuciel vers le stand de nourriture...

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    La foire de 1001


    Mini-Event n°1
    « O-oh !  »

    Bêtement, je me suis exclamé lorsque l'une des explosions lumineuses fait crépiter dans le ciel des éclats de couleur rougeoyantes. Les yeux grands ouverts, la bouche légèrement ouverte, des lueurs curieuses et fascinées dans le regard, je n'arrive pas à détourner mon attention des feux qui sont en train d'illuminer le ciel. Je n'en avais jamais vu avant, de feux d'artifice, alors je suis émerveillé, aussi hypnotisé qu'un enfant devant un spectacle qui, si j'avais été seul, m'aurait sans doute fait peur au vu du bruit.
    Toutefois, je ne suis pas seul. Je ne supporterais pas d'être dans une foule pareille en solitaire, encore plus du fait de la panoplie d'odeurs et de bruits qui parviennent à mes sens, alors je suis plutôt rassuré d'être accompagné. Lorsque Rosemarie m'avait demandé si je comptais y aller, j'avais au départ hésité, craintif d'être un poids lourd pour elle, mais... L'idée me faisait envie, alors j'avais pris des vêtements plus détendus que ceux qui sont les miens d'ordinaire. Malgré le stress et l'incertitude logée dans mon ventre à cause de la densité des rues, toutefois, je suis plus que content.

    « C'est... C'est vraiment très joli. Vous en avez beaucoup, en Altissia... ? »

    Je me suis tourné brièvement vers la requine. Ici, disons que... Eh bien, ce n'était pas vraiment très commun, pour les éossiens. Mais alors que je regarde autour de nous, je remarque une rampe, et me permet de reprendre la parole.

    « V-viens, l'on sera mieux juste ici ! »

    Je me permets de lui tendre la main pour l'aider à grimper à ma suite. Mine de rien, pour le moment, je suis content d'être là.

    ft. Tout le monde
    30 avril 1001


    ______________________

    Natsu grogne et fixe des fleurs en #8A4B08

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    >> La foire de 1001
    Des gens et des feux
    La foire, mine de rien, c'est bien sympathique. Ou du moins, c'est sympathique car il est très facile d'y chiper de la nourriture, que les jeux sont exceptionnellement gratuits aujourd'hui et que la bonne humeur générale parvient même à m'être contagieuse. Pour l'occasion, je n'ai même pas fait les poches de qui que ce soit : et oui, j'attendrais presque que l'on m'applaudisse pour si peu. Pour autant... C'est sympathique jusqu'à ce qu'ils ne se décident à faire exploser de grands feux dans le ciel, ce que je n'apprécie pas spécialement. Pour ne pas dire pas du tout. Je déteste les grands bruits, alors dès lors que ces horreurs ont commencé à éclater, tous mes muscles se sont tendus d'un commun accord. Les griffes sorties, la queue hérissée, le dos presque voûté, je manquerais presque de feuler si je n'avais pas conscience que l'on me regarderait encore plus étrangement que maintenant.
    Je me suis donc mise à l'angle d'une rue, essayant de penser à autre chose et attendant que ça passe, grincheuse d'avoir été ainsi dérangée dans mon amusement. En marmonnant dans ma barbe, j'envisage presque de glisser entre les rues pour me faufiler vers un endroit plus tranquille. Mes oreilles, toutefois, s'agitent brièvement en entendant une voix paniquée, me faisant tourner un regard perçant vers la source du son.
    Hé, mais ça ne serait pas... ?
    Et si. Je sais reconnaître les visages (j'oublie vite les noms, mais pas les têtes ; c'est que ça peut vous éviter de finir en prison bien souvent), alors je n'ai pas de mal à replacer la tête de la jeune femme que je regarde comme celle qui m'a fait la leçon la dernière fois. Pourtant, elle a l'air... Eh bien. En mauvaise situation, on va dire. J'ai vu assez de cas de panique dans ce genre pour avoir une idée de ce qui se passe, et vu qu'elle semble isolée... Hm. C'est que ça m'enquiquinerait qui lui arrive quelque chose : en plus, je lui en dois une. Quittant donc mon coin de rue, je m'approche le plus lentement possible, la voix se voulant presque douce.

    « Hé, euh... T-tout va bien ? E-enfin, non, ça va pas, et t'as clairement pas envie de voir ma tronche maintenant, m-mais... »

    Oh, Astrid, pitié, pas de dramatisme interminable, on est pas là pour ça. Une légère grimace sur les lèvres, j'hésite à m'approcher, de crainte que cela n'exacerbe sa panique. Et comme dit précédemment, je ne suis certainement pas la personne qu'elle désire voir le plus.

    « … Y'a un coin calme, là-bas, si tu veux. »

    Je lui montre le coin de rue dans lequel je me cachais du son tout à l'heure. Mais à vrai dire, je ne sais pas trop ce que je suis en train de faire.
    Mini-Event n°1
    30 Avril 1001

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      Les yeux dorés brillants d’émerveillements, la petite requine ne pouvait s’empêcher de se dire qu’elle aurait tant aimé pouvoir regarder ces feux d’artifices avec sa mère. Elle lui aurait sûrement expliqué comment ces explosions dans le ciel fonctionnaient. Malheureusement, Rosie savait que ce temps était dépassé, que sa mère ne serait plus jamais là. Son cœur se serre, mais la voix de Natsume la sort de son petit moment mélancolique. Rosie secoue la tête négativement, doucement, avant de prendre la parole.

        « J-je n’en ai j-jamais vu, mais je…. Je ne sortais p-pas beaucoup. »


      Cette foire était vraiment un endroit superbe, merveilleux. Les sourires des gens, ça faisait du bien à la requine qui commençait à vraiment déprimer avec toutes ces tensions dans l’air depuis les dernières semaines. Puis, la voix de Natsu résonne encore une fois, mentionnant une petite plateforme ou ils pourraient mieux voir le ciel. Et le brun lui tend la main, ce qui cause une explosion de rougeur dans les joues grises de la jeune femme. Elle trouvait… Enfin, tout ça était très romantique, comme situation, même si Natsu, c’était son ami et rien de plus! Mais quand même, elle pris quelques secondes à se décider à prendre sa main, le cœur battant, s’imaginant un tas de trucs qui pourraient se passer quand elle se glisserait sur la plateforme. Un baisersurtoutohOmnisarrêtetoutdesuite!!

      Quand elle monte sur la rampe avec l’aide de Natsume, elle lui sourit en replaçant une mèche de ses cheveux d’ébène derrière son oreille.

        « J-M-merci… »


      Puis son regard retourne vers le ciel ou elle pouvait continuer de voir les explosions de couleurs. Les formes que celles-ci faisaient. C’était, vraiment, un beau spectacle. La requine joue nerveusement avec ses doigts, avant de timidement prendre la main de Natsu. Même s’ils n’étaient pas très hauts, Rosie avait quand même peur de tomber. Elle pouvait être très maladroite et tomber sur quelqu’un d’autre, elle se sentirait terriblement mal.

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      Basmath n’aime pas trop les grosses fêtes et les foules, mais elle se disait bien que ça pourrait l’aider à décompresser. Avec les derniers jours, c’était un peu euh… Intense. Sa petite sœur est à Yggdrasil aussi, déjà. Elle qui la croyait morte depuis plus de 4 ans.

      Ça avait été tout un choc pour la louve-garou qui s’était dit que, finalement, une petite fête ça pourrait lui faire du bien. Sourire, boire un peu, faire la fête, rencontrer quelqu’un peut-être ? Non, elle n’était pas prête. Elle était loin d’être prête pour ça. Et puis bon, qui de mieux pour empêcher des conneries de gens trop excités que Basmath ?

      Alors qu’elle marchait, parmis la foule, parmis les stands, la guerrière pose les yeux sur une tête blonde qu’elle reconnaît bien : Judith. Sa petite sœur adorée qu’elle aimait du plus profond de son cœur, elle était juste là. Et la voir, ça la trouble encore, mais elle était bien… Elle était en vie.

      Elle ne l’a pas encore vue et pendant de longues secondes, Basmath se demande si c’était mieux comme ça. Elle était concentrée, aussi, avec un arc dans les mains et p—

      À la voir, paniquer, sous les sons des feux d’artifices, ça éveil en la soldate, un instinct protecteur qu’elle croyait avoir perdu. Elle ignore, exactement, ce qu’elle a vécu, mais ce qui est certain, c’est qu’elle n’allait pas rester là à la regarder, alors que, clairement, Judith n’est pas bien. Alors Basmath s’avance vers sa petite sœur et…. Klaus ? Klaus Evergarden ? Huh….

      Quand les yeux bronzes de la blondinette se plante dans les siens, Basmath sourit et s’approche d’elle. Plus elle s’approche d’elle, plus les sentiments désagréables de culpabilité. Elle aurait dû être là. Elle aurait dû.

        « Salut, Jud. »


      Sourire doux, elle s’approche d’elle, mais pas trop près. Elle ignore encore si elle…. Si elle a le droit, en vrai.

        « Comment tu vas ? C’est une belle soirée, tu trouves pas ? »


      Merde qu’elle ne sait pas quoi dire.

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    NOM
    Prénom

    NOM
    Prénom

    「 Le ventre commande」
    Volf était en train de jouer sa mélodie pour accompagner le chateur. Au milieu de ce spectacle, quelqu'un était en train de rouspéter sur quelque chose mais le bouffon n'entendait pas vraiment les mots, trop concentré sur sa flûte. D'ailleurs, des danseurs s'étaient aussi invités à la fête. Ce show se transformait en vrai spectacle. D'un côté, il était content de voir ça mais de l'autre il ne voulait pas que tous ces gens s'entendent bien au fond. Les éossiens devaient se rebeller davantage. Mais peut être qu'aujourd'hui, le bouffon n'allait pas jouer les entremetteur.

    Au moment où les feux d'artifices retentirent dans le ciel, le musicien s'arrêta de souffler dans son instrument. Il leva les yeux vers le ciel, s'émerveillant comme toute la populace. N'importe qui serait un minimum impacté par ce son assourdissant et toutes ces couleurs. Par ailleurs, il profita que les gens avaient le regard vers le haut pour s'éclipser comme s'il n'était jamais intervenu dans ce show. Il ne fera donc pas connaissance avec ce chanteur talentueux, ni avec celui qui rouspétait, ni les danseurs.

    Au passage, il décida de changer de masque, pour celui qui était beaucoup plus pratique pour manger. Un demi masque pour que la nourriture puisse atteindre sa bouche plus facilement. Il commençait à avoir faim et se diriger vers les stands de nourriture tout en gardant un œil vers le ciel. Il tomba rapidement sur une connaissance qui vendait des dangos, des sucrerie faites à partir de pâte de riz.

    - Hey ! Joker ! Attrapes !

    Le commerçant lui envoya deux piques de dangos, tel des shurikens, qu'il attrapa de justesse avec chacune de ses mains. Le bouffon leva sa main et lui fit un signe de remerciement tout en continuant sa marche. Sans attendre davantage, il commença par manger la première boule sucrée. Un vrai délice. Et au milieu de cette foule il cru reconnaitre plusieurs personnes qu'il a déjà rencontré. Mais pour le moment il se faufila à travers les gens en quête de différents plats.

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    La foire de 1001


    Mini-Event n°1
    Je me sens, même si c'est idiot, un peu moins niais de voir des feux pour la première fois quand Rosemarie m'avoue n'en avoir pas non plus vu à cause de l'enfermement. Un point que je ne relève pas mais qui me fait m'arrêter un court instant, comme hésitant à lui dire que j'avais vécu la même chose. Je ne veux pas gâcher l'ambiance, toutefois, alors je me contente d'un sourire tranquille en l'aidant à grimper.
    J'ai l'impression, toutefois, que quelque chose la travaille ; clignant des yeux quand elle saisit ma main, je la serre très légèrement pour lui faire signe que tout va bien. Peut-être a-t-elle peur... ? J'essaie donc de me montrer à peu près réconfortant.

    « H-hé, si ça te rassure, j'ai le vertige aussi, rien qu'à regarder en bas. »

    Je me permets un gloussement, même si c'est ridicule. Je ne suis pas bien fier de cette crainte déraisonnable, à vrai dire, tant et si bien que j'essaie de me dérider à ce propos en me penchant un peu, ne serait-ce que pour regarder autour de nous. Me forçant à avoir plus à l'aise, j'essaie même de me relever un peu pour me tenir accroupi sur mes jambes, me permettant de détendre mes ailes dans mon dos pour sentir l'air frais du soir entre mes écailles. De bonne humeur, je surestime peut-être ma capacité d'équilibre alors que je me tourne vers mon interlocutrice.

    « M-mais bon, on ne va pas tomber d'aussi ba-AH ! » »

    … Et j'aurais mieux fait de me taire, car aussitôt, mon pied glisse. J'ai tout juste le temps de lâcher la main de Rosemarie pour ne pas l'emporter avec moi dans ma chute que je me sens tomber vers l'arrière, mais m'écrase sur un poids inconnu. Je crois que je viens littéralement de tomber sur quelqu'un.

    ft. Tout le monde
    30 avril 1001





    ______________________

    Natsu grogne et fixe des fleurs en #8A4B08

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    C'est la teuf en Yggdrasil
    avec tout Yggdrasil et des feux d'artifesse :wut:

    Jill se mit à regarder alternativement ce qui se passait sur scène et les feux d’artifice éclatant dans le ciel nocturne. Heureuse d’assister à tout ça et de voir son partenaire s’amuser, la Lazarus se laissa aller à un sourire plus large que d’habitude. Néanmoins, l’heureux trio qui s’amusait sur scène n’avait pas l’air de trouver grâce aux yeux de tout le monde. Une adolescent brun, qui avait présenté le blondinet à la foule un peu plus tôt, se manifesta à nouveau pour reprocher à Lionel et au flûtiste de piquer la vedette au fameux Howl et plus généralement, aux eossiens.

    En entendant les protestations du jeune homme, Lionel s’arrêta de danser et eut l’air immédiatement très embêté.

    « Oh, non, ce n’est pas du tout-- ! Je ne me permettrais pas ! »

    Le bleu s’apprêta à descendre de l’estrade, pour formuler d’autres excuses à celui qu’il s’imaginait être l’impressario du Wintersong. Jill se leva également pour essayer de calmer le jeu, se rapprochant du jeune brun.

    « Hm, ils ne pensaient pas à mal, je crois qu'ils voulaient juste-- »

    Si le chanteur s’était interrompu et que le flûtiste avait pris le large, ce fut le jeune homme aux cheveux clairs qui s’approcha de l’eossien brun pour calmer les choses. Il se remit à chanter pour son ami et Jill se remit à sourire en coin et s’éloigna de quelques pas, touchée par la scène qui se jouait entre les deux adolescents. Sur la scène, une jeune femme aux cheveux blonds venait de grimper et s’était mise à danser. Lionel se rapprocha d’elle et lui tendit la main pour lui proposer de danser ensemble un moment.

    Le public fut à nouveau entraîné par les chants du Wintersong et ce qui se passait sur scène. Jill souffla et croisa les bras, mais ne put s’empêcher de voir arriver en direction de la scène un petit bonhomme manifestement agacé. Il marmonna quelques chose à ses collègues qui applaudissaient avec le public, puis se mit à vociférer :

    « Qu’est-ce que c’est que ce bazar ?! Ce n’est pas du tout dans les règles du concours ! On a dit, un passage par personne ! »
    « Mais euh patron, les gens s’amusaient... »

    Roh... quel rabat joie.

    Le petit monsieur s’agaça encore plus puis reprit la parole, l’air encore plus nerveux :

    « Et pas plus de trois personnes sur MA scène… c’est fragile ! »

    Gné ? De quoi ?

    A ces mots, l’estrade émit un craquement singulier. Les collègues du monsieur s’éloignèrent prestement de la scène et Lionel s’arrêta de danser et vit les planches se dérober sous lui et la danseuse aux cheveux blonds. Fort heureusement, ils n’auront pas pu faire une chute dangereuse.

    « M’enfin, pourquoi faire un concours de talents si votre scène tient même pas ?! »

    Protesta la nécromate en se rapprochant afin d’aider la jeune femme aux cheveux clairs et son ami à se dépêtrer de tout ce bazar.

    « Euh… ça va ? »



    HRP : Pardon :derp: Hésitez pas à me dire si c'est n'importe quoi /PAN/

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    la foire. Dedene & Le Monde +

    Un bruit assourdissant me fit froncer les sourcils. J'eu un sursaut et un léger haut le coeur et dans un même mouvement de recul je lève les yeux vers la provenance de ce son. Bon sang qu'est-ce-que- ! C'était... fabuleux. J'en oubliais presque les crépitements que cela engendrait dans mes oreilles. Les yeux écarquillés face à ce spectacle, je trouvais cela juste... sublime. On aurait dit des centaines voire des milliers d'étoiles partout dans le ciel ! J'entendis à peine le nom de la panda-roux dans tout ce boucan : elle se nommait Kanaé, donc. Malgré tout, je réussi à revenir à la réalité et je pu remarquer la présence d'une nouvelle personne. Une autre fille, apparemment. Lorsqu'elle émit la possibilité que les étoiles dansaient, je hocha vivement la tête, le regard pétillant. Mais oui ! Ça ne pouvait être que ça ! Les étoiles étaient si heureuses qu'elles s'étaient elles aussi mises à fanfaronner, là, dans les cieux. Je repris néanmoins un air plus méfiant lorsqu'elle me demanda pourquoi ma bouche était cassée. Je ne voulais pas forcément en parler, je n'aimais pas ça du tout. Un petit silence s'abattit entre nous tandis que je repris la parole pour répondre à la rouquine :

    « Aëden. Et... Bah, quelqu'un m'a blessé. »


    Alors que j'allais lui renvoyer la question, j'eu un désagréable frisson le long de la colonne vertébrale. C'était comme si mon instinct se réveillait inconsciemment. Levant un peu la tête en l'air, je tendis l'oreille et fit une moue concentrée. C'est bizarre... Quelque chose me vient au nez, mais là comme ça je n'arrive pas à l'identifier, mes sens sont trop perturbés. J'eu comme un mouvement de secouement et je m'approcha un peu plus du mur pour grimper sur une caisse, peut-être mon nez s'y retrouvera mieux ainsi ? Reniflant doucement, c'est finalement une voix qui vint titiller mes tympans. Olaf ! Il m'appelait ! Qu'est-ce-qu'il se passe ? Quelque chose est arrivé à Théodule ? Descendant de mon perchoir d'un bon, je fis un signe aux deux filles et leur lança subitement :

    « J'reviens. »


    Puis je pars en trombe, scindant la foule en deux un instant. Je me faufile entre les corps et pousse malgré moi un grognement en percutant le coude d'un habitant. Celui-ci semble d'ailleurs mécontent puisqu'il m'arrête brusquement dans ma course en me tenant la manche. Je pris alors un peu peur et ne pu que... le mordre. Surpris, il me lâcha en poussant un cri et j'en profita pour courir en direction de la voix d'Olaf. Et enfin ! Je les aperçois ! Théodule est là ! Mais, il semble préoccupé, inquiet et un poil agacé. Qu'est-ce-qui a bien pu se passer ? Évidement, l'idée que ce sois mes bêtises qui l'aient mit dans cet état. Arrivé à sa hauteur, pas forcément essoufflé, je pose mon regard vairons sur lui et sans rien lui dire l'entraîne lui et mon oncle adoptif vers mon point de départ. Forçant sur sa manche pour qu'il me suive correctement, je donne des petits coups de coude aux passants pour me frayer un passage. Enfin revenu dans la petite ruelle où les deux filles étaient, je reste de marbre et prend la parole :

    « C'est bon, j'suis là. »


    Je chipe trois brochettes de viande des mains d'Olaf et en donne une à Kanaé et une à... l'autre ? Puis engloutit la dernière, l'air de rien.

    « Pourquoi tu fais c'te tête Dudule ? »
    kyro. 017 ldd

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    la foire. avec Gaby & Le Monde +

    Mouais. L'ambiance était bonne, c'était beau, ça changeait, mais tout cela sonnait trop faux. Trop éphémère. Gabryel, habillé de sa tenue de militaire, guette la foule qui semblait s'amuser. Il ne travaillait pas. Il s'était vêtu ainsi simplement pour représenter l'armée en tant que général. Après tout, il fallait tout de même faire comprendre qu'ils bossaient et qu'aujourd'hui n'était pas un jour "purge" où ils pouvaient tous faire ce qu'ils souhaitent ! Plusieurs visages lui revenait en mémoire, cependant il n'avait pas franchement envie d'aller voir ces mêmes connaissances, il ne savait pas trop pourquoi. Il n'était juste pas d'humeur. C'est sûrement dû au fait qu'il ne vive clairement pas bien ce moment. Qu'il trouve tout cela trop hypocrite. Tss, c'est l'hôpital qui se fout de la charité venant de lui, mais il se trouve qu'il adore se plaindre. Marchant un peu en retrait pour ne pas se mêler à la population -oui parce que mine de rien ils transpiraient tous et c'était particulièrement dégueulasse à son goût- il lança un regard vers une scène où des éossiens se mettaient en scène. Bizarrement, il sourit. Oui bon, c'était pas si mal que ça au final... Mais juste trop... étrange. M'enfin, il devait être le seul à penser ainsi, non ? S'éloignant pour s'approcher d'un stand vendant des vins réputés, là il eu un véritable rictus. Voilà de quoi pimenter un peu cette journée ! Piochant une bouteille de bon goût, il paya rapidement le marchand et s'en alla plus loin en ouvrant la boisson. Buvant au goulot -même s'il ressemblait à un poivrot à faire ça- il toisa la foule du regard et- oh. Klaus. Il était accompagné ? Bon. Il ne peut pas passer à côté sans rien dire, il va le voir et taper une crise donc... Gaby s'approcha et lui posa une main sur l'épaule.

    « Salut. » Dit-il simplement en lui offrant un petit baiser. « Désolé, je suis de passage, je dois aller vérifier quelque chose pour le feu d'artifice. On se revoit plus tard ? »

    Sans doute devait-il sentir l'alcool, tant pis. Sans attendre de réponse il cavala à la recherche d'un coin tranquille. Et en effet il remarqua un endroit qui pouvait répondre à ses attentes. Buvant une gorgée -pour se donner de la force- il grimpa une petite colline. De là au moins il pourrait voir le feu sans personne pour le déranger ! Enfin, c'était sans compter sur la présence d'un Homme. Prêt à faire demi-tour en soufflant, il se stoppa net dans son mouvement. Nan ? Ellui ? Ici ? Bordel. C'est trop tentant. J'dois l'énerver. S'approchant avec un sourire forcé, il s'agenouilla à sa hauteur et fit dépasser la bouteille de vin pour lui tendre.

    « Bois pour oublier et te suicide pas, foutue grenouille, je serais chargé de nettoyer ton corps et franchement j'en ai pas envie ce soir. Peut-être un autre jour cela dit. »



    Un brin sarcastique, il lui lança un regard en plongeant ses yeux violets dans les siens. Pourquoi faillait-il qu'ils se croisent toujours lorsque chacun n'est pas dans son meilleur moment ? A croire qu'ils sont fait pour toujours se croiser. C'est fatiguant. Le feu d'artifice se lança à ce même moment, illuminant dans leurs regards quelques petites étincelles. On dirait presque un film cliché, vu comme ça.
    kyro. 017 ldd

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    Oh.

    Reculant légèrement sa tête en arrière, le sourire disparu, jetant un coup d'oeil à droite à gauche. La golem n'insiste pas. Si elle prends les mots pour ce qu'ils sont, elle a bien vite vu sa façon de réagir. Elle aurait peut-être pas dû demander. Elle non plus n'aime pas trop qu'on lui parle de ses bras et jambes. Elle hausse très légèrement les épaules, souriant à nouveau, elle lève la main pour commencer à changer de sujet. En plus, tout le monde a l'air de se présenter.

    Moi c'est A-

    Ah bah il est déjà partit. S'arrêtant dans sa phrase mais pas dans ses gestes, la bleue suit du regard le garçon, sa main levée commençant à s'agiter, pour faire au revoir.

    A tout à l'heure ! D'une voix enjouée mais assez calme.

    Et puis elle laisse ses bras retomber. Droite comme une pique, elle tourne machinalement la tête à droite puis à gauche. Elle a soudainement l'air...interrogée. Elle est passée où Lykos? Elle n'arrive pas à la retrouver dans la foule. Elle est peut-être partit voir des amis, ou des clients? Et puis son regard se pose sur la jeune ado toute rousse. Son regard devient, fasciné, émerveillé même, bouche bée.

    Des oreilles d'ours... Et ses yeux vont jusqu'à...une queue. Ca a l'air si gros, si touffu et doux. Elle a envie de tendre le bras pour caresser mais s'en empêche. Surtout ne pas s'y attarder, ne pas caresser, ne pas tirer. Elle va lui faire mal sinon.

    Est-ce que c'est des vrais?

    Et puis voilà que l'autre garçon -Aeden- revient, avec des petits avec lui. Tout de suite, la grande bleue se tourne et les salue de la main, toute souriante, regard radieux.

    Bonsoir les enfants !

    Hey c'est drôle, il y en a un qui a de la barbe.

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