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  • Mini-Event n°1 - La Foire de 1001 - Page 4
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    Le dragon n'est plus, miracle est arrivé. Yggdrasil a protégé sa cité. Des mois de siège éreintant cessent, la ville millénaire respire à nouveau. Chaque soir, sous la lueur émeraude et bienveillante du grand arbre, les éossiens fêtent et célèbrent ceux tombés au combat. Après tant d'épreuves, la ville semble reprendre vie...
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    Allikah Yeshua
    Samaël Enodril
    Aëly Rietvield
    Faust Donovan
    Gabryel L. de Venomania
    Basmath Yeshua
    Astrid Windberg
    Natsume Shimomura
    Breglamdia Bleuciel
    Théodule Von Griffon
    Linea Hymalae
    Hestia Quynh
    Sélène I. Arvesden
    Klaus H. Evergarden
    Aëden Von Griffon
    Raol Zeteki
    Elyas A. Maresh
    Lysia Thalys
    Jill Lazarus
    Rosemarie Förstner
    Kanaé Cranberry
    Volf Wer
    Howl Wintersong
    Yggdrasil
    28 participants

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    Quelle belle occasion de flâner pour Allikah et sa vieille mère, Sephora. Bien sur, la guilde des marchands proposait de tenir des stands durant la foire, mais Allikah avait suffisamment de commandes en cours pour se donner le luxe de refuser l'offre. Bras dessus – bras dessous, voilà mère et fille dans la foule, à regarder les stands, à rire de futilités. Elles savent que Judith est là, quelque part, mais il faut savoir lui laisser vivre sa vie. Elle a du vivre seule toutes ces années, ce n'est pas pour être étouffée par sa mère et sa grand-mère dès que l'occasion se présente.

    Soudain, un grand brouhaha se fait entendre un peu plus loin. Des poules, se mettant à courir dans tous les sens, avec une drôle de bestiole avec elle. Oh, ça pour sur, Sephora rigolait bien de voir ce bazar. Surtout que la situation commençait à dégénérer. Allikah pouvait reconnaître Monsieur Von Griffon mal en point un peu plus loin. Et un autre molosse a l'air pas trop aimable non plus. Il était préférable de poursuivre sa route, sans faire trop de bruits. Enfin, cette drôle de scène ne semblait même pas mettre à mal l'ambiance générale. C'était le principal.

    Mais la grand-mère avait faim et voulait manger un des plats traditionnels de Caldis, présentés sur un stand de nourriture. Bien évidemment, la vieille ne pouvait pas s'empêcher de négocier sa part. Elle ne lâchait pas, et elle avait eu son plat, comme elle le voulait, au prix qu'elle voulait. Mais, elles voulaient surtout voir le feux d'artifice. Direction le haut de la rue de la négoce afin d'avoir la meilleure vue possible. Sephora pouvait déguster son plat, tranquillement assise sur les marches d'un porche en hauteur. Et Allikah à côté, attendant de voir les explosions illuminer le ciel.

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    Prénom

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    Prénom

    「 Les Angry Chicken 」
    Volf était donc en train de poursuivre la horde de poule. D'autres personnes étaient aussi en train de les chasser. Il fallait les remettre dans leur enclos après tout. Mais le mercenaire avait maintenant une histoire personnelle à régler avec ces poulets. Ils avaient osé le piétiner...

    Il arriva derrière le premier poulet à portée de main et l'attrapa par le cou. A ce moment là, plusieurs poulets se tournèrent vers lui, les yeux remplient de colère. Un petit groupe de volailles se forma pour créer les "Angry chicken". Ils attaquèrent chacun leur tour avec l'attaque picpic. Un coup de bec pointu et acéré. Le mercenaire encaissa les attaques sans broncher. D'ailleurs il répliqua en frappant un poulet à l'aide de son marteau en forme de poulet (celui qu'il venait de capturer).

    La situation était crique pour Volf. Il ne savait pas s'il devait mettre de la sauce pour les manger ou les croquer nature. Pendant qu'il réfléchissait, un poulet l'attaqua avec cru'aile, un coup puissant d'aile qui caressa la joue de l'homme masqué. Par réflexe, il croqua cette aile et bloqua donc le poulet entre ses dents. D'un point de vu extérieur, on pouvait voir un bouffon avec un poulet dans la main, entre ses dents et même un sur la tête en train de lui picorer le crane.

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    la foire. avec Gaby & Le Monde +

    La grenouille semblait avoir un peu reprit ses esprits tandis qu'à présent c'est Gabryel qui les perdaient. Il avait une rage qui grimpait doucement en lui. Ça fait deux fois qu'il se fait percuter par un projectile rocheux. La mâchoire serrée, il tentait néanmoins de se contenir. Faire un scandale maintenant ne servirait à strictement rien. La douleur n'était pas aussi vive que lors de l'émeute, mais il l'a sentait quand même. Fallait dire que c'était pas un p'tit pavé qu'il a reçu.

    Bon, ça ne servait à rien de s'énerver. Sans doute l'imbécile qu'a fait ça n'a pas fait exprès, hein... Il croyait moyennement à cela, mais bon tant pis. Se redressant un peu, il jeta un regard vers Raol qui semblait s'être légèrement calmé.e. Iel ne pleurait plus trop, en tout cas. Gaby n'avait pas un regard de pitié, lui-même n'aimerait pas qu'on ai de la peine pour lui. C'était plutôt un mélange d'intensité, d'interrogation et d'inquiétude. Le feu d'artifice explosait encore dans le ciel, alors le militaire avait un peu du mal à comprendre ce que disait lea éossien.ne, mais il réussi à deviner qu'il lui demanda d'où venait le bruit. Pointant son pouce en arrière pour lui montrer le parpaing, il leva en même temps les sourcils l'air de dire "y'a des abrutis partout." La voix de l'animorphe était encore saccadée et iel peinait à reprendre sa respiration. Et ile était couvert.e de morve. Et ça, c'était dégueulasse.

    Par ailleurs, Raol pouffa discrètement en montrant à Gabryel son torse. Hein ? Quest-ce-que-. Oh bordel. Un mélange de larmes, de morve et de bave glissait sur son armure. Il poussa un petit cri effrayé en se rendant compte de la chose. Faisant une tronche dégoûtée, il s'avança plus près de la grenouille et lui dit, en ayant un haut le coeur :

    « Oh par Omnis enlève moi ça. Oh mon dieu. Oh j'vais crever. »


    Il prit une teinte encore plus blanche de d'habitude tandis qu'il tentait de se débarrasser de la texture visqueuse. S'emparant d'une grosse touffe d'herbe, il tenta de nettoyer la zone mais... Il toucha la bave. Il en avait plein la merde.

    « J'vais mourir. » Lança-t-il en restant parfaitement immobile.« Aide moi, je t'en supplie. Enlève moi cette armure. Ai pitié de moi, je veux pouvoir voir ma famille avant de décéder. »


    Faisant les yeux doux, les larmes aux yeux, il se retenait de faire une tronche proche de celle de quelqu'un qui voulait vomir tandis qu'il fixait Raol. L'alcool jouait un peu sur sa réaction, mais pas tant que ça.
    Quelle journée horrible.
    kyro. 017 ldd

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    Le Spectacle battait son plein, Hestia s’amusait comme une folle, à danser jusqu’à ce qu’une main vint à sa rencontre, un homme lui proposait sa main pour danser, que vous le croyez ou non, moi qui   est aussi sûr de moi par habitude était entrain de bégayer quelque seconde dans sa petite tête, danser elle savait faire, elle l’a toujours fait, mais avec un partenaire ? sa dernière fois remontait avec… son ex, il y avait 1020 ans ? ouais c’était la merde.

    Mais il faut bien tourner la page ? enfin c’était mon choix après tout, tourner la page sur tout ça, ne jamais regarder en arrière, je pris donc la main du jeune homme et me lança dans des pas un peu plus hésitant qu’auparavant, je le suivais dans un premier temps mais lui-même ne savais pas trop quoi faire, je repris donc les rennes subitement.

    Et voilà que le gérant venait nous emmerder, le but est de s’amuser ? il est jaloux c’est ça ? de mon talent ? de notre prestation ? je décidais de l’ignoré vivement, passant à des pas un peu plus compliqué avec mon partenaire, mais un détail me fit à nouveau détourner le regard, fragile ? euh mais ça voudrait-dire…

    Oui, l’estrade allait s’effondrer un craquement se fit attendre, les hommes et femmes les plus proche reculèrent vivement, je ne… savais pas quoi faire ? alors par réflexe je me rapprocha de l’homme à mes côtés, ses accoutrements, son visage, ses cheveux tout était atypique chez lui et semblait régner à plein nez la joie et la bonne humeur.

    Puis ils tombèrent, pas très profond, et pas très dangereux, mais je me mis directement à inspecter mes jambes, m’assurant que rien de grave, que rien n’étais casser mais bien heureusement, ce n’était que des égratignures, ygg- le destin soit loué, une femme vint à leur secours presqu’immédiatement, elle engueula le gérant de tout ça juste avant et elle avait bien raison, je lui répondit :

    Oui merci ! euh… je peux vous emprunter vos main pour nous tirer de là ?
    Elle se tourna par la suite à son partenaire par intérim, lui adressant un sourire :
    Merci pour la danse ! c’était chouette ! J’peux vous donner des cours si vous le souhaitez… à vous aussi ! finis-je par dire à notre « sauveuse »

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    la foire. Dedene & Le Monde +

    Tout allait un peu trop vite à mon goût. Je n'ai pas réellement saisit tout ce qu'il se passait, mon corps a réagit instinctivement sans que je ne puisse y réfléchir. J'avais bondis en avant en apercevant le projectile de pierre qui fonçait sur Théodule, je m'étais confronté à une masse importante qui me mit à terre, puis des bruits de piaillements m'étaient venus aux oreilles. Serrant fort la mâchoire, je ne pris pas la peine de répondre aux remarques inquiètes de ceux m'entourant. Enfin, je ne le fis pas jusqu'au moment où le gobelin me questionna lui-même. Le fixant droit dans les yeux, plongeant mon regard vairon dans le sien, j'hochais vivement la tête. Après tout, j'allais bien, physiquement parlant. Ce n'est pas ça qui allait me faire mal, j'ai subi pire. Cependant... Heureusement que ça n'est pas arrivé au chef de quartier, qui sait ce qui lui serait arrivé. Néanmoins, j'étais en colère. Quelqu'un avait voulu porter atteinte à la vie de mon pè- de mon ami. C'était tout du moins ce que je pensais. Je saisis le morceau de pierre qui gisait près de moi et me mit à frénétiquement le renifler. Rien qu'une petite odeur, quelque chose, je cherchais ce qui pourrait me faire retrouver celui qui a osé faire ça. Puis ça me vint brutalement aux narines. Loup-garou. Poussant malgré moi un grognement sourd, je sentis les poils de mon corps se hérisser. Il va me le payer ce sale type ! Les poules commencèrent à envahirent l'endroit, mais elles s'éloignaient de moi comme de la peste. Leur instinct savait qu'elles étaient face à un prédateur. Malgré moi, je laissa Olaf et Théodule aux griffes des volailles et m'éclipsa pour retrouver ce foutu loup. Grimpant ci et là, suivant une piste faible, je fini par l'apercevoir.

    Ce même bouffon qui jouait sur scène quelques temps plus tôt. Il se bagarrait ridiculement avec des piafs. Les poings serrés, je le fixai avec une certaine colère mêlée à ma peur. Je n'aimais guère mes congénères, mais l'affreuse vision de cette nuit où je me suis transformé me revenait sans cesse en tête lorsque je me retrouvais face à un lycan. Quand faut y aller, faut y aller ! Faisant un pas, puis deux, puis courant vers ma cible, je la percuta de plein fouet faisant voler les quelques poules autour de nous. L'attrapant par le col de son vêtement, je le défigura, lui qui portait un masque. Colérique, je faisais une grimace de rage sous mes bandages. Ils avaient le don de me mettre hors de moi, ces loups ! Pourtant, cela était plutôt rare. Mais si on additionne le fait de s'en prendre à Théodule et le fait que ça sois un gars de la même espèce que moi, ça ne pouvait qu'attiser ma colère. Courroucé, les yeux cependant vides, je fixais son masque avant d'enfin m'adresser à lui pour lui exposer le pourquoi du comment il se faisait agresser :

    « Qu'est-c'tu veux à Théodule, hein ? Tu veux l'tuer ? Espèce de chien va ! J'vais t'exploser ton masque pourri ! On lance pas d'pierres sur lui ! Faudra m'passer sur le corps pour lui faire du mal ! »


    Grognant une nouvelle fois, je le serrais un peu plus fort. Le poing en l'air, prêt à le frapper, je me retenais de toutes mes forces. Laisse lui le temps de s'expliquer, Aëden, il a sûrement une bonne excuse cet espèce d'emmerdeur déguisé ! Sois disant passant, le "espèce de chien" n'était pas une insulte mais plus une humiliation. Dire à un loup garou que c'est un chien, c'est dégradant, nan ? Bon, je m'emportais peut-être un peu trop...
    kyro. 017 ldd

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    C'est la fête à la grande foire



    Mini-Event n°1



                

    Bonjour, c'est ici pour le post de la mauvaise foi ?

    Raol reniflait encore quand iel vit la panique se peindre sur la face du général en armure. Iel se rapella la réaction de ce dernier lors de leur première « rencontre » et sa relation complexe avec quelques gouttes de boue.

    …Oh, par l’Eos, j’avais oublié. Il est grave.


    Consterné, Raol ne sut pas comment réagir alors que Gabryel se mettait à paniquer, c’est presque comme s’il convulsait pour quelques gouttes de bave et de morve. Hoquerant et reniflant encore, la grenouille eut du mal à protester.

    « Rooooh, ç-ça va ! J’ai pas l’tétanos ! »

    Fit iel en roulant des yeux, espérant que ses mots suffisent au plus grand pour qu’il se calme. Mais non, c’était pire. Maintenant, il disait carrément qu’il allait crever et avait l’air d’être sur le point de vomir ou de pleurer, voire les deux en même temps.

    « ...M-mais vous avez bu quoi… ? Vous bavez jamais, vous, peut-être ?! »

    Voyant que l’autre ne se calmait absolument pas, la grenouille finit par émettre un long soupir.

    Ces riches… on a vraiment pas les mêmes préoccupations.

    Remontant la manche large de son kimono sur sa main, iel s’en servit pour essuyer l’armure en quelques coups. Au moins, ça se lave facilement. Au final, le métal avait presque plus propre maintenant.

    « Je prends quand même de quoi noter vos dernière volontés ? »

    La grenouille ne pouvait pas s’empêcher de se moquer méchamment, en toute mauvaise foi, malgré la scène qu’iel venait de faire à l’autre. En regardant ailleurs, Raol vit que quelques poules commençaient à envahir la colline, visiblement perdues. Iel se rendit compte, surtout, qu’iel était complètement exténué.

    Il va falloir que je rentre.

    Cette colline, même en présence du général ouin-ouin, semblait presque plus hospitalière que sa propre demeure, où l’attendait Ziyal. Finalement, Raol se leva en sentant des odeurs sucrées en contre-bas.  N’ayant absolument pas envie de parler de sa crise de larmes ou même d’y penser plus de deux minutes, la grenouille allait trouver le moyen de s’eclipser au plus vite vers la foule. Non, ce n’est pas très poli ni sain, mais bon, qu’attendre de plus de lea Zeteki déjà de mauvaise foi en permanence ? Reniflant une dernière fois, iel se prépara à partir.

    « Bon. Si vous allez pas crever, moi, j’y vais, hein. »

    Vite. Tout de suite.


    Raol entama de descendre de la colline pour descendre dans la foule. Oui, iel s’enfuyait, une fois de plus, sans trop regarder où iel s’en allait. Tant est si bien qu’iel percuta un homme dont le visage lui était familier.

    C’est qui, lui, déjà ? Eveure-quelque chose ? Foreveure ? Eveurgargamelle ?

    « Roh, punaise… Regardez où vous allez ! »

    Ah bah, oui, Raol n’allait pas être aimable, en plus. Ce serait trop lui demander.

    Blblbl :


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    avril
    1001
    La Grande Foire
    Mini-Event
    « Ha ha ! Je vais tenter d'en attirer une partie par là-bas. On se revoit plus tard, frangin ! »

    Je salue Faust et la blonde par un mouvement de la main avant de m'écarter pour partir sur la gauche. Je dévie afin d'amener un groupe de poulets enragés dans une ruelle pour rejoindre la colline où les feux d'artifice commencent déjà à être tirés. Le bruit des feux ont au moins le mérite d'en effrayer quelques unes qui se dispersent. Il est temps de semer les autres ! Me retrouvant tout seul, je suis toutefois surpris dans ma course par un poids qui me tombe dessus. Je trébuche donc à mon tour, le corps d'un inconnu sur moi. Enfin... Pas tout à fait inconnu.

    « Shimomura ?! Ma parole, vous ne pouvez plus vous passer de moi. »

    Sur le coup de la surprise et étant de bonne humeur, je me permets de ricaner un peu. Quelques cocottes toutefois en profitent pour tirer sur nos cheveux avec leur bec comme si elles voulaient s'en emparer. L'une d'elle a même finit par vouloir se faire un nid dans la tignasse épaisse de l'éoniste. On a l'air fin, tous les deux.

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    La foire de 1001


    Mini-Event n°1
    La chute est rude. Très rude. Et vu les roulades que j'ai fait, je ne sais pas si je vais rendre mon déjeuner d'un instant à l'autre. La tête lourde et embrumée à cause de mes mouvements rapides et désorganisés, je ne sais même pas contre qui je suis tombé et peine à reprendre conscience, les images se dédoublant et se brouillant devant moi. Oh, Yggdrasil, ma tête... Je crois qu'on ne peut pas faire pire. Question ridicule et malchance, en tous cas, c'est quand même déjà bien-
    … Oh mais c'est pas vrai, encore lui !
    Mais qu'est-ce que j'ai fait contre l'Eos pour le croiser à chaque détour de rue ?! J'aurais aimé être ramené à la réalité par une autre voix que la sienne, qui m'irrite déjà les oreilles rien qu'à l'entendre ricaner bêtement. Grimaçant de dégoût devant sa plaisanterie, je ne me gêne pas pour me relever au plus vite et m'éloigner, tombant de ce fait à la renverse (mais plus éloigné de l'autre, au moins), du fait de ma précipitation. Du coup, face à ses propos, je me contente de grommeler dans ma barbe inexistante, n'ayant pas grand chose à dire qui, je le sens, soit grandement  utile. Et de toute façon...

    « Des poules... ? Qu'est-ce qu'elles... »

    Déconcerté par les volatiles blancs autour de nous, qui semblent agité mais pas foncièrement agressif, je reste perplexe une seconde, comme si mon cerveau avait brièvement cessé de fonctionner. Pincez-moi, je rêve. Celle sur ma tête semble prendre ses aises, et je ne peux pas m'empêcher de geindre un peu.

    « Ah non, non ! Tu descends de là, ma grande. »

    En râlotant, j'essaie d'attraper la poule qui... Gigote dans tous les sens, car visiblement, elle appréciait mes cheveux comme un futur nid. Encore heureux que ces volatiles-là ne soient pas ceux qui me fassent le plus peur, même si j'ai moins d'affinité avec les oiseaux qu'avec les autres animaux. En reposant la bête par terre – et bon sang, elle veut remonter, cette acharnée ! -, toujours assis au sol, je relève toutefois mon regard vers la colline d'où j'ai dévalé. Gêné, je fais un grand signe de main à l'animorphe qui s'est peut-être inquiétée, afin de lui signifier où je me trouve maintenant.

    « R-rosie ! Je suis là ! »

    Et j'ai encore des plumes dans le visage, dans lesquelles je m'étouffe d'ailleurs la seconde d'après. Oh, mais la honte...

    ft. Tout le monde
    30 avril 1001



    Dernière édition par Natsume Shimomura le Ven 31 Juil 2020 - 21:00, édité 1 fois

    ______________________

    Natsu grogne et fixe des fleurs en #8A4B08

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    「 Calmos 」
    Volf était tranquillement en train de se battre contre les "Angry Chicken" quand soudain, il fut attaquer par quelqu'un d'autre. Peut être le "maitre poulet" en personne ! Ce nouvel arrivant l'attrapa par le col pour le soulever un peu et le menacer. Apparemment, Théodule avait été pris pour cible et le bouffon avait été accusé. Ce nom lui disait quelque chose. Alors que le poing de son agresseur était clairement levé pour le frapper, le mercenaire était simplement en train de réfléchir à la tête de ce Théodule. Au bout de quelques secondes, il se rappela que c'était celui qui l'avait embauché il y a peu.

    - Ah ! Mais je connais ce monsieur. Von Griffon c'est bien ça? Il a eu recours à mes services il n'y a pas longtemps. J'ai été ravi de travailler avec lui. Je ne me permettrai pas de l'attaquer sans raison.

    Volf posa sa main sur celle qui le tenait et serra aussi fort que son opposant. Il voulait clairement le faire lâcher prise mais sans montrer de violence en public. Sa force était surement équivalente à la sienne et la loi du plus fort s'installa entre eux, doucement. Leurs regards étaient plongés l'un dans l'autre. Le bouffon gardait un léger sourire, aucunement inquiet de cette agression.

    En y prêtant plus attention, il se rendit compte qu'il avait en face de lui un loup garou, ou peut être pas. Son odorat était développé mais ce jeune homme ne semblait pas revêtir cette forme souvent. En vérité, même Volf ne se transformait pratiquement jamais.

    - Tiens tu veux du poulet ?

    L'homme masqué lui tendit gentiment le poulet-marteau qu'il avait dans son autre main. Ce n'était pas son poulet mais c'était tout ce qu'il avait à lui offrir sur le moment.

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    Emportés par la fouuuuuule 
    Avec du monde
    ◊ Théodule se perd dans la foule, se daronnise et cherche son Dedennou ◊

    Mais quel bordel ! J’en ai marre, je vais le trouver, ce pendard qui ne sait pas garder ses poules et lui faire ravaler son erreur… il paiera pour les dégâts ! Je gromelle sous le regard désabusé d’Olaf qui n’a pas l’air plus affecté que ça par ce capharnaüm. Il a  cessé de lutter contre les poules et se contente de les laisser circuler en terminant sa brochette.

    Crier un grand coup m’a fait du bien. Je n’aurais pas pensé que grâce à ça, le coupable ait l’outrecuidance de vraiment venir se dénoncer… je vois un espèce d’energumène aux cheveux mal coiffés se présenter à nous et saluer Olaf avec enthousiasme. J’ai l’impression qu’avec son apparence plutôt riche, je devrais reconnaître ce type… ?

    « Mais si c’est pas m’sieur l’nouvel ambassadeur ! J’vois qu’tu profite un peu trop de la fête, héhé, tu sais mettre l’ambiance ! »


    Il lui donna un coup de coude en continuant à s’esclaffer grassement. Ça faisait apparemment beaucoup rire mon frère, que ce type s’excuse avec un ricanement des plus ridicules, tel un enfant. Oh bon sang… c’est lui qui l’abruti qui-- attends.

    IL A DIT « AMBASSADEUR »  ?!

    « M-monsieur l’ambassadeur ? Oooooh ! Si j’avais su ! »

    Olaf fronce les sourcil et me lance un regard en coin, s’étouffant avec sa brochette. Je me frotte les mains, de meilleure humeur que tantôt. Du moins, en apparence. Car il m’énerve, à faire l’andouille, cet ambassadeur. Mais bon, vu sa position, je risque de me mettre dans la mouise à me faire mal voir. Pfff… quelle vie !

    « Je me représente : Théodule Von Griffon, chef de quartier. Je vois que vous connaissez mon frère ? Quelle heureuse coincidence ! J'espère que nous serons amenés à nous revoir pour faire affaire ! Ne vous en faites pas pour les dégâts… après tout personne n’est parfait, hein ? Hahaha ! »

    Je poursuis avec mon rire le plus mondain. Olaf me regarde avec une grimace des plus dégoutées sans faire de commentaire. J’aurais bien continué cette conversation mais le panda roux revient pour sauter sur la tête de l’ambassadeur… comment est-ce que cette pule est arrivée là-haut ?! Je recule pour éviter de me faire renverser à nouveau et c’est là que je vois qu’Aëden a encore disparu. Mais par les collants moulants d’Oros ! Ça suffit, maintenant !!

    « Aëden… ? Aëden !! »
    « J’crois qu’il est parti par-là… il avait l’air d’avoir sniffé un truc... »


    Tandis que je tournais en rond pour retrouver mon protégé-- euh, ce petit garnement,  Olaf m’indique une direction…

    « Pourquoi tu l’as pas dit avant ?! »
    « T’étais trop occupé à lécher des bottes... »
    « Raaaah, tu m’énerves à la fin !! »


    Je pars dans la direction indiquée en fulminant. Et puis… sniffé un truc ?! Qu’est-ce qu’il veut dire par-là. Je finis par reconnaître la bouille du gamin de loin et… qu’est-ce qu’il fiche là, Joker ?! Qu’est-ce que ce malandrin essaie de baratiner à Aëden !

    « Hé ! Aëden ! »

    Essouflé, j’arrive à la hauteur du duo improbable et plisse les yeux à la vue du mercenaire.

    « Qu’est-ce que vous faites là, Joker ? »


    J’espère qu’il ne lui a rien raconté de bizarre… et qui mange des poulets sans les faire cuire à part… Aëden aussi mangeait des carpes crues. Bref. Le sniffage, tout ça c’est… Aëden est définitivement une sorte d’animorphe, je pense. Enfin…

    « Ne pars pas comme ça… ! Après, je-- Olaf ne sait plus où tu es et ça le préoccupe. »




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      Il se passait… tellement de choses. Il y avait soudainement des poulets un peu partout, des gens qui s’amusaient peut-être un peu trop et une petite requine qui ne voulait que regarder les feux d’artifices. Natsu qui lui demandait si elle allait bien en serrant sa main et puis il est tombé….. avec un cri de la jeune femme, cachant sa bouche avec une main. Elle espérait qu’il ne se soit pas fait mal.

      Et maintenant, qu’est-ce qu’elle faisait ? Ça semblait être devenu beaucoup trop intense pour Rosie, mais elle avait peur. Peur de débarquer de son petit bout de bois surelevé. La jeune femme s’accroupit en cherchant son ami du regard, un peu effrayée. Non, en vrai, très effrayée. Il semblait tellement avoir de trucs en même temps, c’était…. Oh non les larmes qui arrivaient.

      Alors le temps passe et Rosie se met à paniquer. Il y a vraiment trop de gens, trop de choses qui bougent. Les bruits, les mouvements, c’est trop pour la petite requine qui veut rentrer chez elle. Tous ses sens sont bien trop stimulés, il y a encore des feux d’artifices, mais elle n’y porte même plus attention. Elle ne veut que rejoindre Natsume, peu importe ou il est.

      Et puis après quelques temps à le chercher du regard (du mieux qu’elle le pouvait, avec ses yeux pleins d’eau), elle entendit son nom plus bas. Elle croit apercevoir une main qui lui fait signe…. C’est surement Natsume.

      Alors doucement, elle débarque de sa plateforme et se faufile entre les gens, les poules et le reste pour rejoindre, les yeux humides, Natsume. La panique du moment, tous ces gens, ça l’avait vraiment mise à bout de souffle.

        « N-Natsu! J’ai… J’ai eu p-peur j-je…. J-je crois q-que je vais rentrer…. Désolée…. »


      Stupide Rosie qui gâche tout, tout le temps, pour tout le monde. Peut-être que ça aurait été mieux si quelqu’un d’autre avait invité Natsume à cette soirée. C’est ce qu’elle se dit en essuyant ses larmes avec la paume de ses mains.

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    La foire de 1001


    Mini-Event n°1
    Je dois avoir l'air bien fin, les fesses ainsi posées sur le sol, à faire signe à mon avis que je suis présent ici. J'en ai pour le coup complètement oublié la présence de l'autre, plus concentré sur le visage de mon amie alors que je m'aperçois, au fur et à mesure qu'elle se rapproche, qu'elle semble en proie à une angoisse grandissante. Les yeux grands ouverts, je la fixe avec surprise, mais... Mais je peux aisément comprendre. Une inquiétude sincère me traverse, venant nouer dans ma poitrine un malaise bourdonnant et désagréable, encore plus quand je l'entends parler. Je peux aisément comprendre les surcharges, alors je ne me formalise pas quand elle me dit vouloir partir. Au lieu de ça, je me relève bien vite, me rapprochant avec lenteur pour venir poser une main que j'espère rassurante sur son épaule.

    « A-ah, euh, pas de soucis. Je vais te raccompagner, ça sera mieux. »

    C'est un peu de ma faute, aussi. J'aurais dû être plus attentif à son malaise... Quel crétin. Mais ça ne me dérange pas du tout de faire le chemin du retour maintenant. Je ne resterai pas si je suis seul, de toute façon. Satisfait malgré tout, j'affiche un sourire bienveillant et serein, la voix amicale et l'expression lumineuse.

    « ... Je suis quand même très content d'être venu avec toi. »

    Et ce malgré les plumes de poules qui traînent encore dans mes cheveux.

    ft. Tout le monde
    30 avril 1001


    ______________________

    Natsu grogne et fixe des fleurs en #8A4B08

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    NiKlaus
    NOM
    La Foire d’Yggdrasil
    J’aurais du pisser sur Gaby pour marquez mon territoire ByLeeeeTh
    AUCUNE POULE n'a été maltraité pour ce rp :lol:
    NOMBRE
    VORNAME

    Ces images se bousculaient dans sa tête, il ne pouvait nier, il l’avait vu AVEC un.e autre, il se sentait très triste, il pourrait chialer là toute suite, devant ce beau monde, mais ce n’était pas dans ses habitudes, lui, son délire était plutôt de pleurer à chaude larme dans ses coussins ou au sol contre l’un des murs de son appart.

    Il faisait demi-tour afin de rejoindre les deux personnes qu’il avait laissé misérablement en plan, franchement, il ne jouait pas le rôle de l’invocateur responsable vis-à-vis d’elle, vraiment pas.
    Il marchait d’un pas lent, si bien que quelqu’un le percuta, Oh mais c’est pas vrai, il était tout sauf de bonne humeur, il soupira un bon coup et se retourna.

    C’est une blague ? Instinctivement il se mit à grogner et montra les crocs à sa provocation.  C’est… c’est… l’éossien de tout à l’heure ? Mais putain que faisait-il ici ? Sans Gabryel, il le lui avait fait faux bond ? Tant mieux… lui qui n’avait pas agit EN partie car il était là, oh ben ça change tout. L’Evergarden se mit à sourire froidement au Zeteki et le toisa d’un regard embrasé.

    Il approcha sa tête de la sienne d’un air menaçant, il voulait lui dire quelque chose en « privé » que seul eux deux pourrait entendre, qu’il comprenne le message, l’enregistre et le respecte le plus possible.
    Évite de re-croiser la route du Général à l’avenir, sinon un éossien pourrait possiblement être déchiqueter par la mâchoire de plusieurs canidés enragés... dit-il en montrant les crocs

    Avait-il l’air sérieusement menaçant ainsi ? mmh.. il avait une sombre idée pour appuyez ses propos. Sous le coup de la colère, sa main droite s’était d’elle-même transformer en une patte acérée, sans une once d’hésitation, il l’a leva la main sur lea joaillier.e et lui griffa la joue. Laissant quelques petites goutes écarlate sur ses griffes ainsi… qu’une substance… incolore, attendez c’est de la bave ?
    Capiche ?

    Cette personne méritait tellement plus, mais Klaus n’avait ni le temps et ni l’envie de faire face aux possibleS répercussions après avoir tabasser un éossien, qui certes le méritait. Ça le frustrait d’autant plus. Alors, lorsqu’il se détourna une nouvelle fois continuant sa route d’un pas accéléré, il- mmh… Shoota une poule, oui bon il était furax. Comprenez le.

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    Petit poisson! Mini-Event n°1



        -->Everybody!!!
    Ce jour-ci, était une bonne journée pour les affaires financières, en redoublant de fois d’effort, les sculptures ont été les plus demandez, je fais très bien celles d’animaux, c’était celle qui se vendait la plus. La lumière du soleil au crépuscule se fait voir à travers du vasistas qui donnait vers la rue, je me dirigeais vers la porte pour afficher que l’atelier était fermé, la foire d’Yggdrasil a été pour moi un vrai boost. Je marchais jusqu’à la petite fenêtre, les enfants déguisés couraient déjà vers les stands à peine installés,

    -Vais-je y aller ? pensais-je

    Je tournis la tête pour contempler mon bureau, mon carnet de croquis ouvert, pleine, de dessin pour des commandes pour ces prochains jours,

    -Je devrais commencer à les faire non ? Arg ! Je ne sais pas ! Je peux manquer une grande opportunité de m’amuser.

    Je réfléchis pendant quelques minutes en faisant le tour de la table, mes doigts touchaient le bois froid de celle-ci. Puis j’ai eu un déclic, je m’arrêtai net !

    -Une grande personne m’a dit « Il faut saisir l’opportunité quand tu l’as voit ! » à moi maintenant de la saisir !

    Je sortis donc pour peut-être une soirée de folie ! Il faisait presque nuit, le temps était chaud, assez pour ne pas avoir froid avec la tenue que je porte. Les rues étaient éclairées de lanternes de toutes les couleurs, les stands ouvraient des jeux qui avaient l’air amusant et à ma grande de joie, il y avait des stands de dégustation à l’aveugle, de quoi me goinfré sans payer trop chers. Les marchands appâtaient les gens pour qu’il joue à leur jeu de pêche, de tirs, de chances et d’adresses, bref tous étaient gais !

    Je m’approchais d’un stand de pêche, malgré que je n’ai jamais pêcher je veux quand même essayer.

    -Comment joue-on à ce jeu Monsieur ?

    -C’est simple, vous devez, à l’aide de la canne à pêche, attrapez les poissons, mais attention le file de la canne est en papier si elle se déchire vous avez perdu ! En fonction du nombre de poissons que vous pêchez vous pouvez gagner une sculpture en bois. Entendu ?

    -Entendue !

    Je commençais alors à pêcher ces poissons, un….. deux……. trois , le jeu était enfaite plutôt simple, je remarquais que les yeux des gens étaient rivés sur moi,

    -Que fait-elle ici ? C’est une adulte, sait-elle que c’est un jeu d’enfant ?

    -Enfant…  

    Mon fil de papier se déchira à cette instant,

    -Zut…. J’aurais pu avoir le chien… Je recommence !

    Les enfants me regardaient avec admiration, pour eux c’était le jeu le plus dur du monde et j’étais l’élu.
    Dans ma détermination, une fille m’interpella

    -Madame… pouvez-vous m’aider.

    Je m’arrêtais dans mon élan et je tournais la tête vers elle, elle avait environ 9/10 ans.

    -Je veux que vous jouiez pour moi .

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    Wowow, beaucoup, beaucoup trop de choses qui débarquent en même temps. Pas de crise mais chaque feu d'artifice qui explose n'arrange en rien ses tremblements. Elle stress de plus en plus et commence à transpirer. Ça va pas être possible à ce stade. Et puis, une voix calme qui déboule de nulle part. Judith se retourne et...la voleuse de l'autre jour...? Qui lui demande si ça va? C'est quoi ça là maintenant? Et dans les secondes qui suivent, chose tout aussi improbable, voilà que Bas' tombe sur elle.

    Bas' -J'-il f-...il fau-je v-me sens pas-

    Et elle commence déjà à marcher précipitamment vers la première ruelle venue, sûrement celle de l'animorphe. Animorphe vers qui elle se tourne.

    J-je je t-t-e te suis- Un feu d'artifice plus puissant et bruyant que les autres qui pète. Un horrible frisson vient jusqu'à secouer littéralement Judith alors que la douleur sur son coté gauche s'empire. Maintenant c'est tout le bras gauche qu'elle serre.

    R-rev-je rev-vie-reviens-

    Dis-t-elle avant de sursauter, manquant de se manger...des...des poules? Des poules sauvages qui passaient par l-OH BREF elle est plus à une merde pr-

    Elle s'arrête deux secondes dans sa course. Elle reconnait Klaus, plus loin. Rien qui ne l'aurait empêché d'aller se cacher mais... C'est l'autre abruti de la dernière soirée? Et Klaus, qu'est-ce qu'il...

    ...

    Judith fonce vers lui, ses yeux commencent à luire à nouveau et ça, c'est pas bon.

    Et là, sûrement venu de nulle part pour Klaus, un gigantesque revers de la main matriarcale qui vient brutalement entrer en collision avec sa joue. Judith est rouge de colère, le regard noir mais les yeux toujours luisant.

    Nan mais ça va pas ?! En pleine fête ?! Espèce de putain de taré psychopathe ! A LA MAISON, TOUT DE SUITE !!!

    Et elle fout une baffe à la grenouille d'à coté; parce que putain que ça la démangeait.

    ET VOUS AUSSI !

    Oui, Judith est en colère.

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      Rosie essuyait, du mieux qu’elle le pouvait, les larmes sur ses yeux humides. La main sur son épaule lui fait du bien et la petite requine lève les yeux humides dans ceux du brun. Elle n’aimait pas ça, quand elle se sentait dépassée par les évènements comme ça. C’était épuisant, c’était trop d’émotions d’un coup comme ça. Elle n’aimait pas ça. Quand Natsume lui dit qu’il allait la ramener chez elle, la requine se sent mal. Peut-être qu’il aurait voulu continuer à s’amuser ? S’il s’amusait, avec les poulets, en tout cas….

        « Pard-donne moi, Natsu. »


      Elle prend sa main, encore une fois, en regardant par terre, se laissant guider par le jeune homme. Rosie se disait qu’encore une fois, elle gâchait tout pour tout le monde avec son tempérament de pleurnicharde et ses émotions qui débordaient tout le temps.

      Mais lorsqu’il dit qu’il était tout de même content d’être venu à la foire avec elle, un maigre sourire s’étire sur ses lèvres. La brunette relève la tête, légèrement, en regardant son ami.

        « Vraiment ?..... M-moi aussi…. »


      Puis, un petit rire gêné et timide s’échappe de sa bouche, alors qu’elle enlève quelques plumes des cheveux du moine. Malgré ce petit éclat d’émotions, ça avait quand même été une belle soirée, finalement...

      Et les feux d’artifices continuent d’exploser le ciel de toutes les couleurs, alors que le couple d’amis se dirige vers la boutique de Rosie.


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